Batman: Arkham Asylum Costume

Sabi nila lahat ng bagay at tao my lugar may pwesto, may panahon at oras makakapagpasaya man sayo o hindi. Gaya na lang ng araw sa umaga bwan sa gabi, ang tubig sa ilog umaagos at ulan ay pumapatak, ang tao ay nabubuhay at namamatay... But Im not buying it kasi kung ganon? Bakit kinuha agad ang mahal ko? Ang lugar at pwesto pati panahon at oras nya ay dapat sa tabi ko. Kaya isa lang ang ibig sabihin LIFE IS A BIG BULLSHIT UNFAIR! Sandali ko lang syang nakasama pero kinuha na lang sya bigla. Marami pa kaming gustong gawin at puntahan. Marami pa syang pangarap na gustong tuparin. Kung maibabalik ko lang ang oras. Pero kahit anong gawin ko di na ko makakabalik sa oras na yon. Yong masaya at kasama ang mahal ko. *** Tumgin ako sa salamin at yuko. Tumingin uli ako sa salamin... Tingin sa likod.... Sa salamin uli.... "Oh jesus!!!!" "Waaaaaaahhhhhh..." Sigaw ko habang nakaturo sa salamin. Subra talaga ang takot ko kaharap ko ang bata kong pag mumukha! Sigaw pa rin ako ng sigaw buti na lang walang tao kundi para akong baliw. Totoo ba to? Kinurot ko sarili ko at pinag sasampal. "Aray! Putik ang sakit" "Ano bang nangyayari? Ganito ba sa heaven?" Lumabas ako hahanapin ko na si mahal walang duda patay na ko! As in dead. Pero pano si mommy? Hinihintay ako. "Bala na si batman basta mahanap ko si mahal." Napadaan ako sa labas ng at.. Ano ba showing nila mga luma na pang 2014 pa. sariwa pa sa akin ang mga taon ng nakilala ko si mahal. Teka? Parang may di tama. Kaya nag duda na ko nagtanong- tanong ako at sa 20 na taong tinanong ko isa lang ang sagut... Today is APRIL, 17,2014. Hindi pwede, 2055 na sa panahon ko.

-Adjugé vendu *** Nash ne comprenait rient , un masque lui recouvrait le visage , Toutefois il y avait des trou au niveau des yeux Elle était entouré de miroir lui renvoyant son propre reflet, elle ne portait que ses sous vetements . Elle se sentait observée , il devait probablement avoir des gens derrière ses vitres . L'homme qui l'avait jettée dans la pièce vint la récupérer il envoya dans une autre piéce où se trouvait deux hommes tout deux en costumes noire l'homme me tenait solidement Sans un mot un des hommes en costume tendit une malette au djihadiste qui l'ouvrit , puis un rictus déforma ses lèvres . Sans un mot de plus il sortit de la pièce . Cameron Dark commevtout les présent dans la pièce d'ailleur a été émerveillé par ce corps parfaitement dessiné et ses yeux vert derrière ce masque qui ajoutait encore plus de mystère a son identité Il venait de claquer pratiquement 50 millions dans l'achat de cette femme -Retire ton masque *** Nash ne comprenait pas un mot de ce qu'il disait , il était en retrait depuis Voyant qu'elle n'obeissait pas il s'approcha énergiquement d'elle prise de peur elle voulu reculer et se retrouva , la les fesse au sol lui debout la regardant de toute sa hauteur , cet homme etait immense , il respirait la peur . Il se pencha vers elle tétanisée elle resta immobile , il lui retira délicatement le masque le laissant voir son visage ........

Je courais derrière le ballon de Samira comme si ma vie en dépendait. Elle riait aux éclats, cette petite tornade de cinq ans, pendant que le vent emportait son jouet vers l’inconnu. — Naïla, attrape-le ! cria-t-elle, les bras levés. J’avais dix-huit ans, une gamine encore, mais déjà tout pour elle : sa sœur, sa mère, son monde, depuis que le nôtre s’était effondré. Alors je courais, pieds nus, ma robe trop grande flottant autour de moi. Le ballon roula jusqu’aux marches d’un grand hôtel. Il atterrit… juste devant lui. Un homme. Immobile, costume noir, une rose blanche à la main. Son regard perdu dans le vide. Derrière lui, des dizaines d’invités en tenues élégantes. Silencieux. Figés. Je me suis arrêtée, haletante. Tous les regards s’étaient tournés vers moi. Mais lui… ne voyait que moi. Il m’a fixée longuement. Ses yeux se sont allumés, comme si une idée folle venait de naître. Puis il a tendu la main — vers moi, pas le ballon. — Toi, viens ici, dit-il d’une voix glacée. Je suis restée figée, tremblante. Un murmure a traversé la foule : — C’est elle… Il l’a choisie. Derrière, une femme a crié : — Il a perdu la tête ! Épouser une inconnue ? Une gamine ? Mais il s’est avancé. Lentement. Et quand il s’est arrêté, il a dit, calmement, comme une évidence : — Tu es au bon endroit, au bon moment. Tu seras ma femme. Aujourd’hui.