Fell Sans

Unexpected Encounters. One agreement. One dark secret. Lily Russell is the new apple of the eye of the dominant and ruthless billionaire, Wade Chilton. She intentionally entered his life for only one purpose - revenge. But what if, she fell in love with her foe while working with him as his assistant at the same time, as his secret lover? Will she continue her mission or will she give herself a chance to experience one true love?

“Name your wish.” “Not many, just one.” Rakia gave Dashtan a suspicious look. The man looked curious. “Tell me you love me. I need your confession, that’s enough.” Dashtan fell silent immediately and stared at Rakia with a surprised look. “Give me time for that,” Dashtan said again after he had found the correct answer. Rakia sighed and nodded. “Alright... I’ll give you until the divorce date you promised me back then, if you don’t say anything until then, we’ll divorce and Dalilah will be the mother of your children and you’ll never hear from me again in your life, as if you never knew a Rakia Adeline. “ ** Rakia and Dashtan’s marriage was just a 1 million dollar deal with six months to go. However, as they lived together at the wedding, they fell in love. Still, Dashtan’s ex-girlfriend, Dalilah, tried to usurp Rakia’s position and wanted Dashtan back. After Rakia returns from Peru and completes her assignment as a journalist, she finds that Dashtan and Dalilah have officially married in Dubai. What will Rakia do about Dashtan’s betrayal? Hold on or Divorce?

Forbidden love, that’s what came to mind by Yvo De Luna when he fell in love with Karadine Monteza, the daughter and the heir of the leader syndicate in the city of Eldefonso, Renato Monteza. Yvo is one of the personnel of Renato Monteza and it got inevitable that he was closed with Karadine, the first lady who could shown him an arrogance and braviness. That if not because of their agreement for some things, he would not see the genuine heart of her. Yvo and Karadine have easily fell in love to each other. But when Renato Monteza has find out their closeness to each other, it was the time that they got separated their path together. Karadine has stayed in the mansion for few months and got warned from any illegal transactions of her father to other clients, simply because, she had the trust of taking care before for her father’s business. The reason why their Yvo’s meeting have became elusive as well as the foundation of love that they build together have been shattered. However, it was true that a forbidden thing is really fun to do. The reason why it could provoke them to comply with their desire to love each other in the midst of illegal ways where they were living. And despite of the weapon that serve as their defense everyday, will they going to defense their love despite of the forbidden love?

Audrey Brown is a werewolf who also happens to be the son of Sir Rowland Brown, head of the Brown clan and CEO of a multi million dollar company called Brown Holdings. Stephanie is a human , trying to find a balance in her rather plain and empty life. They both stumble upon each other in the most unlikely place and though they hate each other, they both fell in love. Their relationship lasts until he left for school...

Pragmatic Marriage will bind them together. She fell but he didn't catch her, yet she still stayed. Not until a revelation wrecked her heart out. A secret that was kept as a hidden agenda revealed and it ruined everything between them. She left with a heavy baggage - a baggage she never expect to have in life, a baggage that made her a strong independent woman. [THIS IS THE TAGALOG VERSION OF ROMANCING THE DEVIL BY BABYBLUEAYE]

"Nos pères étaient ennemis, mon tatouage juste au dessus de ma poitrine prouvant fièrement que je suis la fille de Espanto. Je respire un bon coup avant de m'avancer alors qu'il discute avec un autre homme l'air lui aussi important. Je prends le verre et m'abaisse pour le poser sur la table alors que je sens déjà son regard tomber sur mon tatouage. Je me redresse alors que mes pupilles s'enfoncent dans les siennes comme une ancre dans la mer. J'ai sentis mon cœur se retourner dans ma poitrine à son regard. Je m'apprête à repartir mais il m'arrête m'attrapant par le poignet. Il se relève me dépassant de toute sa carrure imposante. J'ai crus qu'il allait prendre une arme mais non, il sort un billet de cinq cents qu'il glisse dans mon soutien-gorge en frôlant sans hésitation mon tatouage de ses doigts. Un éclair de frisson me frappe violemment alors qu'il retire sa main. - Achète-toi quelque chose de jolie princesse."

« Tu ne veux pas t'excuser ? Alors, réfléchis bien ici ! Ressens un peu combien Agnes a été blessée ! » Le premier amour d'Alpha Kennard avait été accidentellement enfermée dans un débarras pendant trois jours. Pour me punir, il m'a enfermée seule dans un entrepôt frigorifique abandonné. Il m'a laissé un minuscule morceau de pain, puis, il a verrouillé la porte. Mais il ne savait pas que cet entrepôt n'était pas vraiment hors service. À peine est-il parti que le système frigorifique s'est mis en marche. J'ai crié désespérément, j'ai cherché partout un moyen de survivre, mais en vain. J'ai gratté les murs jusqu'à ce que mes ongles laissent apparaître mes phalanges, sans que personne ne vienne me sauver. Une semaine plus tard, il s'est enfin présenté à l'entrée de l'entrepôt, espérant m'entendre lui présenter des excuses. Mais lorsqu'il a ouvert la porte, ce qu'il a vu, c'était mon cadavre, morte de froid.

Il y a eu une altercation à l'hôpital. Un proche du patient a brandi un couteau et, par réflexe, j'ai poussé mon mari Alex Martin pour l'écarter. Mais il m'a saisi la main et m'a placée devant sa camarade d'université. Alors, le coup de couteau m'a transpercé le ventre. Il a tué mon enfant qui venait à peine de se former. Quand mes collègues, en larmes, m'ont transportée vers les soins intensifs, mon mari m'a brutalement tirée hors du brancard. Il a crié d'une voix dure : « Sauvez d'abord ma camarade ! S'il lui arrive quoi que ce soit, je vous renvoie tous ! » Mes collègues, stupéfaits et furieux, ont protesté : « Alex, tu es fou ? Ta camarade n'a qu'une égratignure, c'est ta femme qui est dans un état critique ! » En pressant mon ventre qui saignait sans cesse, j'ai lentement hoché la tête, « Faites comme il le demande. » « Alex, en t'offrant cela, je n'ai plus rien à te devoir. »

À la veille de notre cinquième anniversaire d'union, je m'apprêtais à lui annoncer mon héritage : la meute de mon père Alpha. C'était alors que je les ai surpris, lui et la louve qui jadis m'avait tant humiliée, échangeant un baiser passionné. « Cinq ans à jouer cette comédie, il est temps d'y mettre fin. » « La voir accourir comme un chien obéissant était si ennuyeux. Quelle idiote... Se laisser berner par un faux certificat d'union ! Croire qu'une orpheline pourrait devenir la Luna de la Meute de l'Ombre Lunaire ? Si elle n'avait pas eu un minois acceptable, je n'aurais même pas daigné jouer ce rôle. » Chaque mot m'a transpercée comme une lame de glace. Un tremblement incontrôlable m'a parcouru l'échine. Cette lumière dont je croyais avoir été sauvée des ténèbres du harcèlement... n'était qu'un leurre perfide, un mirage d'infidélité... Dans ce cas, je rejetterais sans regret cette comédie mensongère !

Les trois fils de la famille Dubois, qui m'avaient toujours chérie plus que tout, ont disparu quand la tumeur cérébrale maligne m'a torturée. L'opération risquait de me faire perdre la mémoire. Ne voulant pas les oublier, je leur ai téléphoné pour demander de l'aide. Mais après qu'ils ont raccroché, ils m'ont reprochée sans cesse : « Chloé, c'est l'anniversaire de Judia aujourd'hui, arrête de nous déranger ! » Je me suis évanouie de douleur. À mon réveil à l'hôpital, j'ai vu le message de Judia sur mon téléphone. « Chloé, les frères m'ont offert trois talismans de protection ! » Sur la photo, on voyait les trois talismans que j'avais obtenus pour eux, après sept heures à genoux sous la pluie. Mon cœur s'est brisé. Je suis partie seule à l'étranger et a subi l'opération pour les oublier. Jusqu'au jour où trois hommes inconnus se sont agenouillés devant chez moi, suppliant frénétiquement mon pardon.