H2o Mermaids Tails

My mate, Andrew Claude, is the Alpha of the Celestial Pack, the sworn rival of my father’s Venus Pack. For three years, we have hidden our bond, knowing that our union could either bring peace between the packs or ignite war. On Lunar Year's Eve, beneath the full moon’s silver glow, we stand on the castle terrace, whispering promises of our future. Tonight, we finally agree to perform our bonding ritual, sealing our fates before revealing our love to our parents. My wolf stirs in anticipation, her instincts urging me toward him. But then, Andrew leaps down into the grand fire-dance festival, his powerful wolf form shifting mid-air before landing in a flourish. The scent of burning pine and roasted venison fills the air, warriors howling in celebration. The pack’s bonfire crackles with enchanted flames, casting shadows of prowling wolves against the towering stone walls. I watch from above, heart pounding with joy—until my smile fades. In the heart of the revelry, Carol Sinclair, an Omega maid, clutches a bundle of enchanted fireworks. Andrew strides to her, a warm, easy grin on his face. With a flick of his fingers, golden flames dance from his palms, sparking the firework in her hands. "A little fire magic to help you, Carol," he chuckles. She gasps in admiration, giggling as the firework ignites—only for it to spiral out of control. It veers wildly, the enchanted embers lashing through the air. Searing pain blooms across my arm. The stench of burning flesh fills my nose. I barely react before Carol bursts into tears and flees into the crowd. Before I can speak, Andrew turns on me, his golden eyes flashing with rage. The onlookers fall silent, ears twitching to catch their Alpha’s words. “Did you bully her, Bella?” His growl rumbles deep in his chest. “Just because you’re an Alpha’s heir doesn’t mean you can do whatever you want!” The warriors glance at each other, their tails stiff with tension. I stagger back, stunned. He doesn’t even ask if I’m hurt.

Ne trouvant plus d'échappatoire, Chloé Dumont a donc passé un accord avec la mère de Lucien Bernard. Elle a fini par épouser Lucien. Pendant trois ans de mariage, Chloé était douce, obéissante, supportait tout sans jamais se plaindre. Elle est allée même jusqu'à aider Lucien — paralysé des jambes et au caractère explosif — à se remettre debout. Elle pensait naïvement qu'ils pourraient continuer à vivre ensemble, malgré tout. Mais c'était sans compter sur le retour de Jeanne Laurent, la femme qu'il avait toujours aimée. Un jour de pluie torrentielle, sans une hésitation, il l'a abandonnée, trempée et misérable, pour aller chercher Jeanne. Par la suite, il a inventé un déplacement professionnel… alors qu'il emmenait Jeanne à un concert. Pire encore, il l'a ramenée chez eux, flirtait ouvertement devant Chloé… Déçue encore et encore, Chloé a fini par prendre une décision : divorcer. ... La prochaine fois que Lucien recroisait Chloé, c'était à une soirée mondaine. Son ex-femme — autrefois terne et insignifiante — portait une robe de haute couture, elle était rayonnante, gracieuse, d'une élégance à couper le souffle. Mais ce qui le rendait fou de jalousie, c'est qu'elle ne le regardait même plus. Elle souriait à un autre, riait doucement dans ses bras. Il l'a coincée dans un coin de la salle, le regard noir : « Chloé, qui t'a permis d'être avec un autre homme ? » Elle l'a giflé sans hésiter : « C'est qui ce chien qui me colle ? Dégage, ou je porte plainte pour harcèlement sexuel ! » ... Chloé déménageait dans un nouvel appartement et faisait la connaissance d'un voisin calme et bienveillant. Cet homme s'appelait Xavier Marchand. Il lui apprenait à faire confiance, à s'appuyer sur quelqu'un. Avec lui, elle devenait presque une enfant qu'on protège. À chaque obstacle, il était là, toujours présent, solide comme un roc. Leurs rendez-vous, ses déclarations, la demande en mariage, même les moindres détails du mariage… Xavier s'en occupait, tout était pensé pour elle. C'est là que Chloé comprenait : Être aimée, chérie, portée dans le creux de la main par quelqu'un… c'est ça, le vrai bonheur.