Horror Sans

"t-they will k-kill me , pl-please save me . Please" She begged in front of him and almost fell on his knee he kept on Looking at her and inhaling on the cigar for a longer time. Red eyed fixed on her teary ones as he smoked out the nicotine stick . He scoffed at her pathetic state , so weak !! Too much innocent but that's the exact thing he hated the most . He hates weak people . "P-please , I ...I beg y-you" she started sobbing hard Looking down while he throws the cigar on his feet and stepped on it ... "She must be somewhere here , get her" they heard someone , clear as crystal . His eyes looked on the direction , of the source of sound . And her eyes got widen in horror . They are coming to kill her and there will be no one to protect her . "Come on Wifey , isn't this what married couple supposed to do on their wedding night?" Timothy said as his lips were ghosting on her neck . Every inch of her skin were shivering and hands trembling in fear. The fear which she faced years ago , when her dignity were ripping apart . Loud scream , yelling for help , when the monster was biting and feasting her like a meal . Layla tighten her lips and cleanched the bedsheets , Hoping this will end soon . "I never admire your beauty Darling , you're so beautiful . Damn I was blind all the time looking at those whores when I already have the most beautiful girl on earth. Join the journey of Laila Davis and Timothy Salvatore .

On Independence Day, I was on my way to my boyfriend's house when a car slammed into me. The stretch of road was deserted. The collision jammed my door shut, and the acrid smell of gasoline filled the air. My car was about to explode. I scrambled for the emergency hammer, only to find it had been swapped out for a pink toy mallet. Panic rising in my chest, I dialed my boyfriend's number. To my horror, his ringtone sounded from the very car that had crashed into me. He stepped out, arm wrapped around his childhood sweetheart. She put on a pitiful face, tears in her eyes. "Oh no, I'm so clumsy. It's my first time driving, and I hit someone." When my boyfriend realized the victim was me, he didn't hesitate to console her. "Don't worry. She must have collided with you on purpose." I pounded on the window, desperate. "Nick! The emergency hammer's been switched out. Help me get out of here!" His childhood sweetheart lit up with a mischievous smile. "Katie, I swapped it! Isn't the pink hammer super cute?" Disgust flickered across Nick's face. "It's just a little crash. Get out on your own." By now, thick smoke was pouring into the car, and the heat was searing my lungs. I begged him to save me. But the girl only giggled, covering her nose in mock annoyance. "Katie, why are you cooking in there? The smoke is awful." Then she patted her stomach. "Oops, my tummy is rumbling. Nick, let's go home and eat." He tightened his hold around her and turned to leave. "Enough already. Stop pretending. My parents are waiting for us at home." Just as suffocation closed in on me, I slammed my hand against the car's emergency distress button.

Des étincelles jaillissent, des mensonges se déroulent et des erreurs qui mènent au péril sont commises lorsqu'un riche éleveur de bétail du Texas cache son identité alors qu'il rencontre la fille gâtée et mondaine d'un homme d'affaires de la Nouvelle-Orléans qui lui a été aveuglément promise en mariage. Aiden est un propriétaire de ranch texan beau et sexy qui a été approché par un associé de la Nouvelle-Orléans pour fusionner par mariage avec la fille de l'associé. Voulant voir sa future épouse dans son propre élément sans savoir qui il est, il prétend être celui qui a été envoyé pour la chercher à la place. Pauline est la fille gâtée qui résiste au mariage avec un homme dont elle est sûre qu'elle ressemble à un vieux crapaud et, après être tombée amoureuse du cow-boy sexy qui a été envoyé la chercher, s'enfuit et est capturée par de méchants trafiquants. Maintenant, Aiden doit la retrouver et la sauver... et avouer sa véritable identité. La trouvera-t-il à temps pour la sauver d'un destin aussi méchant ? Et... Seront-ils capables de survivre aux dangers qui les menacent, de s'aimer et de surmonter tout cela pour une vie heureuse ensemble ?

Lorsque je suis allée refaire le certificat de liaison conjugale, l'agent du service administratif m'a annoncé : « Votre ancien certificat de liaison est un faux. Nous n'avons aucune trace de votre enregistrement ici. » Je n'en croyais pas mes oreilles et j'ai insisté : « Sébastien et moi sommes pourtant officiellement liés depuis cinq ans… Comment est-ce possible ? Pouvez-vous vérifier à nouveau, s'il vous plaît ? » Cyrille a compulsé une seconde fois nos dossiers et a conclu : « Les documents de l'Alpha Sébastien sont bien là… Mais selon nos archives, son partenaire officiel n'est pas vous. » Ma voix s'est brisée : « Qui, alors ? » « Lorie. » Sa réponse était nette. À ce nom, j'ai serré le dossier de la chaise jusqu'à blêmir, luttant pour ne pas m'effondrer. Avant que Cyrille ne prononce le nom de Lorie, j'espérais encore une erreur. Mais maintenant, tout prenait un sens terriblement cohérent. Lorie… n'était autre que l'amie d'enfance de Sébastien ! À cet instant, tant de choses trouvaient enfin une explication : ces cinq années passées comme son partenaire, sans qu'il ne me marque jamais. Notre cérémonie de liaison, cinq ans plus tôt, n'avait été qu'une mascarade. J'avais tout abandonné pour lui, croyant à un bonheur possible. Mais ces cinq années de « félicité » n'étaient qu'une illusion, soigneusement fabriquée par lui. Puisque rien de tout cela ne m'appartenait vraiment… il était temps de partir...

Le jour du verdict, mon fiancé Alfred Fresnel m'a suppliée de renoncer à plaider non coupable et d'accepter l'aveu de culpabilité. « Je sais que tu es innocente, mais elle porte mon enfant. Je peux pas la laisser croupir en prison », il a serré mes mains en sanglotant, « Ségolène, c'est aussi pour ton bien. » J'ai signé alors l'aveu sans hésiter. Dans ma vie antérieure, j'avais obstinément refusé d'endosser le crime à la place de Romaine Jégou. Résultat : non seulement j'avais écopé de prison, mais Alfred, fou de rage, m'y avait fait torturer jusqu'à la stérilité permanente. Cette fois-ci, j'ai choisi de lui donner satisfaction. Le lendemain, les médias ont déversé des nouvelles sur mon « vol de secrets commerciaux ». La vraie coupable, Romaine, a joué même le témoin oculaire : « C'est bien elle ! Je l'ai vue s'introduire en catimini dans le groupe Thiers ! » Mais l'après-midi même, à l'audience, le plaignant Isaac Thiers a retiré plainte. Sous les regards médusés de l'assistance, il a sorti même une bague de fiançailles et a mis un genou à terre : « Ségolène, cette fois-ci, veux-tu m'épouser ? »

La violence faite aux femmes ? Qu'en est il des hommes ? Prisonnier de son lourd passé Ismaël Koné est un jeune homme qui fut violé et abusé à l'âge de quinze ans après la mort tragique de son père. Pourtant ce jour il ne voulait qu'une simple et seule chose : soigné sa mère malade et nourrir sa petite sœur. Plusieurs années se sont écoulés après cet incident. Aujourd'hui devenu un mâle agressif, aigri, violent et possessif sans aucun état d'âme Ismaël pour échapper à la justice se verra accepté un dernier contrat, protéger Zeïna la fille d'un commissaire mourrant. Quand la haine laisse place à l'amour la donne change complètement. Mais surtout aussi longtemps que l'on vivras le passé fini toujours par nous rattraper.

Le troisième mois après la disparition mystérieuse de mon compagnon Alpha lors d'une patrouille, je l'ai retrouvé, par hasard, dans un bar à la frontière. Il éclatait de rire, son bras enlacé autour de son premier amour : « J'ai toujours voulu me débarrasser de l'emprise de Béatrice. Merci pour ton idée, enfin, je respire la liberté ! » Mélodie se blottissait contre lui, lui tendant un verre avec des gestes doucereux. « Quand comptes-tu rentrer ? » a-t-elle murmuré. Il a haussé les épaules, indifférent : « Encore une semaine. Je laisserai Béatrice devenir folle d'inquiétude avant de réapparaître. Une bonne leçon pour qu'elle arrête de se mêler de ma vie. » Ses amis l'ont approuvé avec admiration : « Génial ! Après ça, Béatrice t'obéira au doigt et à l'œil. » « La potion de métamorphose est vraiment efficace. Personne ne t'a reconnu depuis tout ce temps. » Mais ils ignoraient une chose : cachée dans l'ombre, je venais de voir son petit jeu. Sans hésiter, j'ai sorti mon téléphone et ai appelé le Conseil des affaires de notre meute. En tant que leur Luna, j'ai déclaré officiellement la mort de l'Alpha… et ai annoncé l'élection de son successeur !

Sur une scène noyée de lumière pourpre, Sélia, danseuse de cabaret au tempérament incandescent, envoûte le public de ses mouvements sensuels. Mais une chute brutale interrompt le numéro : le noir total. À son réveil, plus de musique, plus de néons… seulement l’odeur entêtante du bois poli, le vacillement des torches, et des hommes en armure qui l’empoignent sans ménagement. Sans comprendre comment, elle a quitté son époque pour se retrouver projetée au XVIIᵉ siècle, au cœur du Royaume de Valcoris, un domaine prospère bordé par les déserts brûlants et les falaises océanes, où toute danse provocante est perçue comme un acte de sorcellerie. Face à elle se tient le Roi Lucian Aurel, jeune souverain redouté, aussi froid qu’implacable. Fasciné malgré lui par cette étrangère aux gestes envoûtants, il la déclare sorcière et ordonne sa mise à mort. Jetée dans une cellule humide, Sélia comprend qu’elle n’a que deux voies : mourir… ou séduire l’homme qui veut sa tête. Mais deux femmes rôdent déjà dans l’ombre du trône. Il y a Calandra, maîtresse officielle du Roi, jalouse et rusée, prête à défendre son privilège par le poison ou le mensonge. Et Lyria, mystérieuse conseillère royale, manipulatrice habile dont les sourires cachent des desseins plus noirs encore. Entre alliances fragiles et trahisons voilées, Sélia se retrouve prise dans un duel de regards, de mots et de désirs interdits. Plus la passion interdite grandit entre elle et le Roi, plus le fil de la lame se rapproche… car dans ce royaume, l’amour peut tuer plus sûrement que la guillotine.

 "Why?" Skylar muttered shivering in tears,her leg were weak and she was barely holding up,her heart was pounding and beads of sweat form on her hair She was looking at the people she lived with for years,her family,he everything "Why do this?I thought we are family,why do this to me?? "hahahaha you still think we are family huh?" Her so called father said "Guess she's still don't know" her angelic sister said smiling sinisterly "We are not your family you are a bastard father picked up to take care of" every word said sank in,she grasp She look at them all and saw a mocking look "This….this can't be" she muttered and felt a warm liquid on her lap,it went down to her leg she look at her leg and her face turn ghastly "My....my baby" she cried out All she heard around her was their laughter She cried out,clutch her tummy but she knows her baby was gone that killed her baby Her's and Leon's baby,and she lost it at that moment,she felt an undefeatable energy,her eye turn red  "I will kill you all!" She yelled and rushed toward her sister "Mom!!" Her sister screamed in horror "You bastard" her father dragged her hard from her sister and she lose energy from her leg,she was pushed "Ahhhhhh!!" She screamed in horror,she felt unexplainable pain,her body rolled down the stairs at that moment she knew she was gone She tried to fight her eyes open but it not working and after a while she black out        Skylar woke up from comma with no memories She suddenly got a husband and family what happens when her family is not what she thought they are

Deux mois après ma mort, mes parents, dans leur indifférence habituelle, se sont enfin souvenus que j’avais disparu quelque part au retour d’un voyage. Mon père, avec son éternelle impatience, a froncé les sourcils : « Je ne lui ai pas seulement demandé de revenir à pied, qu’est-ce qu’elle a à faire une scène comme ça ? » Mon frère, toujours aussi détaché et cynique, m’a envoyé un message sur son téléphone, un émoji suffisant accompagné d’un texte froid et sans âme : « Tu ferais bien de rester morte là-bas, sinon la fortune de ma grand-mère sera la mienne, et celle de Léa. » Je n’ai pas répondu. Qu’aurais-je pu dire de toute façon ? Ma mère, elle, a grimacé et a lâché d’un ton dur : « Dis-lui que si elle arrive à temps pour la fête d’anniversaire de sa grand-mère, je ne reviendrai pas sur le fait qu’elle a délibérément poussé Léa dans l’eau ! » Ils n’ont jamais cru que je n’étais pas sortie de ce sous-bois. Alors, après un temps, ils ont commencé à y creuser. Et c’est ainsi qu’ils ont fini par retrouver mes os, éparpillés au fond des bois...