Ma Boyfie Artinya

Amara, haletante et presque au bord de la rupture, elle murmura : — Valerio... je… putain, je ne peux pas... c’est... trop... Alors que je murmurais ces mots, le souffle coupé, il m'attrapa fermement les poignets, me forçant à les maintenir derrière mon dos. Sans hésiter, il continua de me pénétrer avec une intensité implacable, me consumant totalement dans cette étreinte brûlante qui semblait n’avoir aucune fin. — Ma douce, tu es tellement parfaite pour moi, tu le sais ? Tu vas jouir pour moi, amore ? me murmura-t-il avec une voix basse et rauque, tout en laissant sa main descendre doucement pour stimuler mon clitoris. Mes gémissements étouffés se perdaient dans l’oreiller. Il relâche mes poignets pour saisir mes cheveux, s’approchant pour me chuchoter à l’oreille : — Crie pour moi, Amara. Fais savoir à ton fiancé à quel point je te fais du bien dans son propre lit. Et c’est exactement ce que je fais. ------ **Amara Wilson** Je suis une jeune femme de 22 ans marquée par un passé douloureux. Mon père et mon frère me détestent et me blâment depuis quatorze ans pour la disparition de ma mère, une tragédie survenue alors que je n’étais qu’une enfant. Avant ce drame, nous étions une famille unie. Avant cela, nous étions une famille aimante qui passait les soirées à cuisiner ensemble et à regarder des films chaque vendredi. Mais ma mère cachait un secret… qui a bouleversé ma vie. **Valerio Hernandez** Chef impitoyable de la mafia italienne, âgé de 27 ans, indifférent à tout… sauf à moi. Sa famille est divisée : ses parents vivent en Grèce, son frère jumeau est resté en Italie. Bien que Valerio soit submergé par les affaires de la mafia, sa mission la plus importante reste… Moi.

Moi : je suis enceinte Lui : et.. Moi : c'est tout ce que tu trouves à me dire Lui : tu veux que je saute de joie non ma belle je ne voudrais jamais un enfant avec toi Moi : mais je.. Lui : je quoi.. si tu penses que je t'aime tu te trompes moi Boubacar Condé aimé une fille de basse classe comme toi je t'ai jamais aimé si j'étais avec toi c'était juste à cause d'un pari Il m'a humiliée devant toute le monde Moi c'est Mariame Ciré Camara j'ai 20ans guinéenne.

"Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Je n'étais pas morte, du moins pas physiquement, mais je ne me sentais pas plus forte pour autant. J'étais surtout vide. En perdant l'homme de ma vie je m'étais perdue moi même alors j'avais tout quitté: travail, famille et amis pour tenter de me reconstruire loin de lui. Je me sentais désormais prête à plonger dans l'inconnu. Mon inconnu. *contient des scènes suggestives*

Mariée par contrat depuis cinq ans, Claire Dupont a choisi de rester silencieuse et résignée, même après avoir appris que François Foulin entretenait une maîtresse. Jusqu’à ce qu’elle découvre que son fils, qu’elle avait toujours traité comme le sien, était en réalité l’enfant de François et de sa maîtresse. C’est alors qu’elle a réalisé que leur mariage n’avait été qu’une grande illusion depuis le début. La maîtresse, se prétendant légitime, est arrivée chez elle avec un accord de divorce que François avait déjà préparé. Ce jour-là, Claire a appris qu’elle était enceinte. Puisque l’homme était souillé, qu’il dégage. Puisque le fils était celui de la maîtresse, qu’il retourne d’où il vient. Claire, désormais déterminée à couper tous les liens, a révélé sa véritable force et s’est lancée dans la quête de son indépendance. Les proches qui l’avaient humiliée dans le passé ont amèrement regretté leurs actes et ont cherché à se racheter. Les jeunes héritiers, qui s’étaient moqués d’elle pour sa prétendue ascension grâce à un homme, ont regretté leurs paroles et ont tenté de la reconquérir à coups de richesses. L’enfant gâté par d’autres femmes, qui l’avait mal jugée, pleurait en l’appelant « maman ». Une nuit, Claire a reçu un appel inconnu. Au bout du fil, elle a entendu la voix enrouée de François : « Claire, tu ne peux pas accepter sa demande en mariage, je n’ai jamais signé l’accord de divorce. »

I was sitting in City Hall, about to sign that damn mate bond certificate with Logan—Alpha of the Eastside Moonclaws—when his phone buzzed. One glance. Then he stood up like this was all just another errand. Didn’t even flinch when he said: “Something came up. Let’s push the bond signing to another day, yeah?” And just like that, he was gone. Left me sitting alone, surrounded by bonded pairs, all glowing with that sickly sweet “forever” vibe. Why? Because Emma, his darling little childhood packmate, twisted her ankle during pack-speed training—trying to keep up with the advanced wolves when she barely passed the basic shifts. Ten minutes later, I get a text: “Emma’s injury’s kinda serious. I gotta stay with her. Let’s move the wedding, okay?” Just another time—maybe the last—Logan picked her over me. But this time? No tears. No begging. No rage. The clerk gave me a quiet look, like she already knew how the story ended. “Ma’am... do you still want to proceed?” I pulled out my phone.Didn’t wait for him to change his mind. The clerk gave me that soft, pitying look. “Ma’am... do you still want to proceed?” I shook my head, and dialed home. The moment my Beta sister picked up. “Tell Alpha Dad I’m coming back to the Ridge. Today.” A pause. “You sure?” “Yeah,” I said, standing up, my voice steady. “I’m done here.” And just like that, I walked out. Not just from the building—but from him.

HUNCHING my shoulders against the cold, I watched my breath mist out in front of me. It was either that or head into the convenience store opposite and grab some cigs, which I couldn’t do. Ma’d already threatened to lop off my head if she caught me stinking of smoke, and while I wasn’t averse to a clipped ear, what with being twenty, I didn’t give much of a anymore. My wrist was , thanks to how many times Da had broken it, and I’d been shot at twice. I could cope with her pulling on my ear like it was stuck on with Velcro. Dealing with Mariska’s repugnance, however, was another matter entirely.

Après six ans de batailles sanglantes, je suis revenu en tant que roi du monde. Grâce à ce corps, je pourrais combattre les canailles tout en protégeant ma charmante femme et mon mignon enfant.

Ma vie était toute tracée. Je savais que j’hériterais de la meute, mais je ne savais pas qu’un mariage arrangé faisait partie des devoirs de l’Alpha. Donc, évidemment, je n’aimais pas la fille que mes parents avaient choisie, même si c’était ma compagne — belle et intelligente !Mon instinct de compagnon m’avait poussé à la revendiquer, mais mon côté rationnel me força à la rejeter après une nuit parfaite. Je n’ai réalisé mon amour pour elle que lorsque je l’ai perdue, quand elle a quitté la meute pour réaliser ses rêves. Cependant, mon amour n’était pas mort quand je l’ai revue, lors de mes fiançailles avec quelqu’un d’autre. Cette fois-ci, je ne la laisserai pas partir, même si ça voulait dire blesser une autre fille, ou même provoquer une guerre de meute. Mais elle m’avait dit que ce n’était pas possible, qu’elle aimait quelqu’un d’autre et qu’elle avait déjà eu un enfant de lui. Déçu et désespéré, je pensais l’avoir perdue pour toujours, mais… Pourquoi est-ce que son bébé me dit quelque chose ?

I am Angel Lim. An avid fan of a popular novel called, 'The Angel They Adored'. It was a reverse harem story where countless men fell in love with the heroine. It's a great masterpiece but I always hated it whenever the greatest villainess harrases her. Yes. That's what I thought before reading the last chapter of the novel. It was the dying moment of princess Ledecia and for the first time, she reminisced her life. "Why did I even exist in the first place if all in my life I'll be in pain?" Those are the last words she utters before dying. And It was very painful. *Knock knock* I paused my thoughts when I heard a loud knock coming from the front door of my apartment. "I'm coming" "Delivery from lily's shop ma'am" I opened my door as I slowly approached the man standing before me. "Oh sorry? But I didn't---" realizing what he said, I immediately tried to said that I didn't order anything but my words were interrupted by a sudden pain. A sharp thing, pierced through my stomach I groaned as I see the blood flowing from my chest. How unfortunate. I wish I had treasured my life more. In the middle of losing conciousness, my honest feeling came out If I'll have the chance to live once again, I'll live free and happy. But then when I opened my eyes, I was transported into Princess Ledecia's body - a villainess from my favorite novel!

Addison wakes up thinking this day is going to be like any other, but soon she finds out her uncle has other plans: she is going to marry King Gregory Dominis, the most handsome yet intimidating man she has ever met and the ruler of a far away kingdom. Now she is going to be the wife of a man that terrifies her and the queen of a place she knows nothing about. ******* excerpt ******* “I have great news for you, Addison,” he announced. “You are to be married today!” At first, his words made no sense, how could I be getting married today if wasn’t even engaged? I didn’t even have a suitor! “Ma… married?” I babbled. “Yes, don’t you know what married means? I don’t understand why you look so baffled, girls your age marry all the time!” He exclaimed. The king was right, it wasn’t unusual for girls my age to get married in Lerene, but they were usually informed in advance, not the very same day of the wedding. “But… today? It is so soon…” I mumbled. “I know, but the groom is a busy man who has no time for a long engagement,” he said. His reply made me realize I hadn’t asked the most basic question. “Who is the groom?” “I am glad you asked, Addison, because that is the best part,” he said smirking. “You are to be married to King Gregory Dominis of Dranda.” My heart sinked into my stomach. I felt like I was going to get sick. Did he just say I was going to marry King Gregory Dominis? How could I marry a man I have never met? And he was not just any man but a king!