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Chapitre 103 — La Promesse
Last Updated:
2025-09-10 00:09:30
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LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 105 — Le Réveil des Sens
LucianoLa lumière du matin glisse doucement à travers les rideaux, caressant les courbes de Sasha endormie, et je reste là, immobile, à l’admirer, chaque respiration, chaque frisson de sa poitrine me rappelant la nuit que nous venons de partager, un vertige encore brûlant qui pulse dans mes veines. Sa peau est tiède, ses cheveux épars sur l’oreiller, et je me penche pour déposer un baiser léger sur sa tempe, un murmure de tendresse contre le souvenir de nos gémissements d’hier, un souvenir qui continue de me consumer de désir et de bonheur.— Bonjour… souffle-t-elle, sa voix encore douce, encore rauque du sommeil, et je souris, le cœur gonflé d’une chaleur nouvelle, tendre et intense, comme si chaque battement venait d’elle, comme si elle avait gravé sa présence dans mes veines.Je m’installe à côté d’elle, nos corps s’effleurant encore, et je sens son sourire contre ma poitrine lorsque je glisse mes mains sur son dos, la tirant doucement contre moi. Le souffle se mélange, lentement,
LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 104 — La Promesse
LucianoLa nuit s’étire comme un voile chaud et lourd sur la ville endormie, mais pour nous, elle est loin d’être calme, elle palpite, elle brûle, elle vibre de chaque souffle que nous partageons, chaque contact que nous échangeons. Sasha est dans mes bras, ses mains explorant mon dos, mes épaules, traçant des chemins que je croyais perdus, et je sens cette chaleur monter, cette flamme qui consume chaque colère, chaque tension, pour ne laisser que le désir, brut et viscéral.— Reste avec moi… murmure-t-elle, sa voix tremblante, fragile mais pleine de cette force qui m’ensorcelle.Je la guide jusqu’à notre chambre, nos corps collés, chaque frôlement un feu, chaque baiser un rappel de ce que nous sommes ensemble. La lumière tamisée glisse sur ses traits, sur l’éclat de sa peau, et je ne peux m’empêcher de la parcourir du regard, de déposer des baisers brûlants sur sa nuque, ses épaules, jusqu’à ce qu’elle gémit, ce son me dévore de l’intérieur.— Luciano… souffle-t-elle, un frisson trav
LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 103 — La Promesse
LucianoLa journée s’étire comme une lame, tranchante et longue, et quand je sors enfin du siège, le ciel s’est chargé d’une lueur orangée, les vitres des immeubles renvoient un feu qui me brûle les yeux, mais ce n’est pas le soleil qui m’aveugle, c’est la rage que je retiens encore, cette brûlure au creux de ma poitrine que je ne veux pas ramener avec moi.Je rentre à la maison plus tard que prévu, les clés froides dans ma main, et déjà, avant même d’ouvrir la porte, je sens l’odeur familière de Sasha, ce mélange de chaleur et de douceur qui s’échappe jusqu’au couloir, et tout mon corps se détend d’un coup, comme si son simple parfum pouvait apaiser ce que mon père a planté en moi.Elle est dans la cuisine, les cheveux attachés à la hâte, les épaules couvertes d’une chemise trop large que je reconnais comme étant l’une des miennes, et quand elle se retourne, son sourire s’illumine, mais je vois aussitôt son regard se froncer, une ombre qui glisse dans ses yeux clairs.— Tu as eu une
LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 102 — Héritages empoisonnés
LucianoJe quitte l’appartement plus tôt que prévu, laissant derrière moi le parfum de Sasha, ce mélange de café et de peau chaude qui reste collé à mes doigts, à mes lèvres, comme une empreinte que je ne veux pas perdre. Mais mes pas sont lourds, chaque mouvement m’entraîne vers un affrontement que je ne peux plus repousser. Le soleil déjà haut frappe la ville d’une lumière crue, éclatant sur les façades claires, et pourtant je marche comme si je traversais une ombre.Le siège de l’entreprise se dresse devant moi, imposant, majestueux, une forteresse de verre et d’acier où tout le monde baisse la voix quand mon père franchit les couloirs. En entrant, je sens immédiatement la froideur climatisée, l’odeur de cuir et de papier neuf, les pas feutrés sur la moquette épaisse, tout un univers où chaque détail respire le contrôle.Les employés me saluent, certains s’inclinent légèrement, d’autres détournent à peine les yeux, mais je sens leurs regards suivre ma silhouette. Ils savent que je
LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 101 — Vérités et promesses
SashaLe matin se glisse doucement à travers les rideaux, une lumière dorée s’étire lentement dans la pièce, caressant notre peau encore humide, comme si elle voulait rappeler que la nuit n’a pas effacé les traces de ce que nous avons vécu, qu’elle ne fait que prolonger la brûlure douce et lancinante de nos étreintes. Je sens sur mes cuisses la tiédeur de la douche, sur mes lèvres le goût de ses baisers, et pourtant, malgré tout ce bonheur qui pulse encore dans mes veines, il y a une ombre que je n’arrive pas à repousser.Nous sommes assis face à face, autour de la petite table du petit déjeuner, et pourtant j’ai l’impression qu’un gouffre invisible nous sépare, un gouffre creusé par mes doutes, mes jalousies, mes peurs que je cache derrière un sourire fragile. Le café fume dans nos tasses, l’arôme chaud emplit l’air, mais mes mains tremblent, mes doigts serrent la porcelaine comme si je cherchais à m’y accrocher, à trouver un appui contre le vertige qui me prend.Je le regarde. Ses y
LA HAQUEUSE ET LE MAFIEUX Chapitre 100 — L’incendie de nos corps
SashaJe sens sa chaleur m’engloutir, chaque centimètre de ma peau en feu, mes mains parcourant son dos, ses épaules, chaque muscle sous mes doigts vibrant sous mes caresses, et je gémis, long, tremblant, presque désespéré, incapable de retenir ce frisson qui remonte de mes pieds jusqu’au sommet de mon crâne, et je m’accroche à lui, me colle à sa poitrine, cherche son souffle, son odeur, sa présence entière, comme si je pouvais m’y fondre complètement. Ses lèvres descendent le long de mon cou, effleurent ma peau, déposent des baisers brûlants qui font naître une vague de frissons et de chaleur intense, et je serre ses bras autour de moi, incapable de contenir ce qui m’engloutit.— Luciano… oh… je… je…Mes mots se perdent dans un souffle, remplacés par des gémissements chauds, fiévreux, qui échappent à mon contrôle, tandis que mes doigts s’emmêlent dans ses cheveux, tirent doucement, provoquant un grognement rauque qui résonne contre ma peau. Chaque contact de son corps contre le mien
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