LOGINAh oui ! Elle s’est fait rusée. Alidou, son homme, au début, lui disait qu’elle ne devrait pas s’inquiéter parce qu’elle allait toujours continuer à aller à l’église. C’est-à-dire, chacun allait suivre sa religion dans le foyer. Ma sœur m’en avait parlé et je lui ai dit que c’est ce font la plupart des hommes. Ils te font de fausses promesses juste pour avoir ton cœur. Une fois le cœur obtenu, basta, ils oublient tout. Je lui ai dit cela mais elle ne m’a pas cru. Le lendemain du mariage, ma sœur m’appelle, les larmes aux yeux, pour m’informer que son époux avait décidé qu’elle se convertisse. En quelques jours seulement, la cérémonie de conversion a eu lieu après quelques semaines d’enseignement. Et voilà comment elle est devenue une femme souffrante au foyer. Alidou, son homme, sort de la maison le jour pour revenir quand il veut la nuit. Tout simplement parce qu’il avait la liberté de divaguer entre les femmes de la ville. Et de surcroît, il revient parfois avec des capotes à la maison. Ma sœur, voyant tout cela, n’a pas le droit de dire un seul mot.
Et comme on le dit très souvent, la vie est un choix. Chacun choisit ce qui lui va mieux. Moi, j’en ai déjà choisi et je pense que ça me sied.
Eh oui, Xavier n’a pas ce comportement. Malgré sa fortune, il n’aime pas courir après les femmes de peur d’être victime d’une maladie sexuellement transmissibles.
Ah oui ! Xavier est un grand trouillard. Il a tellement peur de la mort qu’on dirait qu’il oublie que la mort est comme un petit vent qui souffle sur le corps de l’homme dans un dernier moment. Et, le connaissant de trouillard, je le menace à des moments de l’empoisonner par taquineries surtout quand il refuse de me donner suffisamment d’argent. Très rapidement, il m’en donne assez et plus que ce que j’en veux. C’est très génial de connaître le point faible de son partenaire n’est-ce pas ? Lol.
En effet, il est temps que nous revenions à nos mots et tons !
Et comme je le disais au plus haut, je commençais à me souvenir de ce que je vivais dans ce mariage. J’avais presque tout à ma disposition mais c’était comme si je souffrais énormément ; c’était comme si j’étais la plus malheureuse du monde, juste à cause du sexe. Voilà qu’à l’église, on nous enseigne que la masturbation n’est pas une bonne chose. On nous a tant enseigné combien ça bloque nos finances, nos activités, beaucoup et beaucoup de choses. Or, je suis une femme qui aime suivre les conseils. Depuis qu’il est enseigné que la masturbation n’était pas une bonne chose pour la foi chrétienne, j’ai procédé par tous les moyens pour l’abandonner. Sinon, je la pratiquais correctement. Toutes les nuits, il fallait me voir avec mon concombre ou ma bougie.
Eh oui, c’est l’un ou l’autre ! Je me masturbais toujours avant le coucher. Et en faisant cela, j’avais toujours une visite dans mon sommeil.
Eh oui, il y avait toujours quelqu’un qui venait me faire l’amour. Je jouissais correctement avant de me réveiller le matin, le lit correctement mouillé.
Mais depuis que j’ai entendu les conséquences néfastes d’une telle pratique, par les prières, j’ai dû abandonner. C’est même à cause du sexe que je me suis vite précipitée dans le mariage à l’âge de 22 ans. Et voilà qu’on choisit de me priver du sexe. Comment on peut me faire ça.
Dans ce divan, la silhouette de Guy, le nouveau répétiteur que nous devrions, mon époux et moi, engagé à notre fille, me revenait à l’esprit.
« Je suis tombée fan de ce mec ; est-ce qu’il acceptera d’être mon amant ; juste mon amant ; celui-là qui va souvent me combler de plaisir sexuel ? », pensai-je.
Et, pensant à ses gabarits, j’ai l’impression qu’il pouvait bien me tenir au lit.
Sur ce divan, je rêvassais. Oui, je me faisais d’énormes idées.
« Et s’il arrivait que cet homme faisait aussi partie de la nature de ton homme qui n’aime pas tromper son épouse, que ferais-tu vu que tu penses déjà trop à lui ? »
Et là, c’était une voix intérieure qui venait de me parler.
Effectivement, que ferais-je si ce mec était de ce genre ?
C’était encore un grand problème à évaluer et à traiter avant tout.
Les yeux fermés, le dos contre le dossier du divan, je tournais un grand film au plus profond de moi. J’étais presque proche du résultat lorsque j’ai entendu une voix appeler "maman" et j’ai tiqué avant d’ouvrir les yeux.
– Est-ce que ça va ? m’a demandé ma fille.
– Oui, ça va ! Où est-ce que tu vas comme ça ?
– Veux-tu donc me dire que tu as oublié que je dois aller voir ma couturière et lui prendre ma tenue ?
– Oh, j’ai complètement oublié ! Et reviens vite s’il te plaît ! L’heure du retour du boulot de ton père s’approche déjà.
– Maman, tu sais bien que papa m’aime tellement qu’il ne peut rien te dire même s’il ne me voit pas !
– C’est vrai ! Mais écoute, c’est parce que je ne veux pas répondre à ses questions incessantes aujourd’hui. Tu sais très bien comment il se comporte lorsqu’il ne te voit pas…
– Ça va, maman ! Je vais vite revenir à la maison. Je vais même prendre un taxi-moto pour vite aller…
– Pourquoi pas ta moto ?
– Je veux aller plus vite, maman !
– D’accord, vas-y ! À très vite.
Marchant, la tête baissée, je me posais des questions au plus profond de moi ; des questions qui n’auraient peut-être jamais de réponse. Les cours, cela fait plusieurs jours que je n’y allais plus. Je ne sais pas si c’étaient les grosses fesses et gros seins de Florence qui m’empêchaient d’aller au cours. Or, c’est la seule raison qui me laissait une place sous le toit de mon oncle.Pendant deux heures de temps, je me suis donné du plaisir à me promener ; non, à vadrouiller. Le crépuscule, cédant place à l’obscurité, rendait tout le ciel noir.Revenu à la maison, j’ai vu mon oncle et son épouse au salon. À leurs côtés, s’était assise Charlotte. À mon entrée dans la chambre, je me suis approché de mon oncle et l’ai salué avec tout le respect du monde. J’avais le cœur qui battait parce que, voyant sa fille préférée à ses côtés, je ne sais pas si elle avait peut-être oublié les billets que je lui avais remis.– Oui, fiston, comment vas-tu ? m’a-t-il répondu avec sourire.– Je vais bien,
Voyant ma vie foutue, je me suis plongé en larmes. Dans cette circonstance, je savais que seules mes larmes pouvaient me sauver si et seulement, cette fille était de bon cœur.Voyant ma vie s’écrouler, je me suis fondu en larmes.– S’il te plaît Charlotte, je te jure que je ne reprendrai plus jamais !– Désolé, Daniel ! Aucune goutte de tes larmes ne me fera changer de décision, crois-moi !Sous mes yeux, Charlotte s’est levée et s’est dirigée vers la porte. Tête basse, je laissais couler les larmes en quantité.Charlotte, en quelques minutes, est partie de ma chambre, me laissant dans l’inquiétude et la tristesse.Quelques minutes après son départ, est revenue Florence.– Qu’est-ce qu’elle a dit…– S’il te plaît, va-t-en ! Je suis déjà en danger…– Ne dis pas ça ! J’ai la solution…– Quelle solution ? Rien ne peut arranger cette situation…– Ne dis pas n’importe quoi ! Tiens ces trois billets de dix mille francs et va rapidement dans sa chambre. Remets-lui les billets et promets-lui
Et puisqu’il n’y a jamais de conclusion sans expérience, j’ai gardé dans ma tête que j’allais essayer pour voir.J’ai levé mon regard vers la pendule murale et là, il sonnait quinze heures trente minutes.Parce que j’avais trop faim, je n’ai pas tardé à vider mon assiette. Florence, s’approchant de moi, a saisi les assiettes sans attendre une seconde et s’est dirigée vers la porte.Soulevant la bouteille, j’ai tourné la partie notice et ai commencé à lire les maladies que le produit était appelé à guérir. Parmi les troubles, il y avait bel et bien, l’éjaculation précoce.Trouvant cette maladie à la cinquième position, j’ai arrêté la lecture. Je n’ai même plus cherché loin. Je l’ai ensuite ouvert pour découvrir l’intérieur et là, l’odeur de la boisson de la boisson locale, communément appelée "Sodabi" a embaumé mes narines.Je reculais la tête soudain lorsqu’une silhouette, toutes nue, est entrée de nouveau dans ma chambre.Et puisque le corps nu de Charlotte ne m’était plus étranger,
Pendant une vingtaine de minutes, Florence avait célébré ma bite. Tournant mon regard à l’adresse de la pendule, midi était à l’approche.– Mince ! me suis-je écrié.Prise de peur, Florence arrête la pipe et me fixe.– Qu’y a-t-il ?– Regarde ! Le temps nous a surpris.Réalisant la vérité, elle a ouvert la bouche.– Dans ce cas, allons sur les divans au salon. Comme ça, lorsque la sonnerie sonnera, nous allons vite nous ranger et aller ouvrir.– Belle idée ! ai-je dit.Je la relève et…– Ramasse-moi et emmène-moi au salon comme une reine.Qui suis-je pour éviter de faire cela ?La ramassant comme une ordure, je l’ai emmenée au salon. M’approchant des meubles, je l’ai déposée calmement comme un œuf sur l’un des divan. Mon pénis, très rapidement, a repris sa forme dure. Il fallait le réchauffer. Et puisque le temps filait et Florence comprenait déjà quelque chose, elle s’est jetée là-dessus et à commencé à le chauffer avec sa bouche, sa langue et sa salive. Ses deux seins suspendus dans
Fermant calmement les yeux, je me suis mis à jouer dans ma tête la vidéo de ce moment impeccable ; ce moment chaleureux.Les yeux fermés, je voyais mon gros pénis en suspense dans la bouche de ma cousine. Et comme si je suis dorénavant accro au sexe de Florence, l’envie de la dévorer a commencé à me posséder.Fermant les yeux, je revivais la belle histoire comme si elle était en cours.***J’ouvre les yeux et je vois devant moi, ma cousine.Comme si je venais de me réveiller d’une transe, je frotte les yeux pour mieux voir et devant moi, était bien debout, Florence. Les souvenirs, comme une pluie, inondèrent mon crâne, me rappelant que ma cousine avait promis de revenir à dix heures.– Euh…il est déjà dix heures ? ai-je demandé.– Depuis ! Tu es certainement fatigué !– Trop ! Je vais me reposer un peu…– Non s’il te plaît, ne me fais pas ça ! Papa et maman y compris ma sœur vont revenir tout à l’heure.– Je sais, mais je suis fatigué !– S’il te plaît, viens me défoncer et à la fin,
Seule dans notre lit, on se parlait amicalement. On se touchait aussi de temps en temps. Ne nous suffisant pas, Florence s’est approchée de moi et est montée sur moi. Ses seins, en un coup, m’ont affaibli. Tout de suite, le joli corps de ma cousine a commencé par réveiller mon pénis qui, même en nous entendant parler depuis quelques minutes, ne réagissait pas.Soulevant la tête, il a commencé par cogner les jambes de Florence.– J’aime ce que me fait ta queue, a-t-elle murmuré calmement dans mes oreilles.Sa douce voix, tout de suite, a inséré une envie inimaginable dans mon corps et la serrant contre moi, les caresses commencèrent. Les bouches collées, le suçage des langues et des lèvres s’enchaînèrent. Ses seins en suspense dans mes mains, se faisaient maniés avec soin et précautions.Laissant de temps en temps ses seins, j’attrapais par derrière ses fesses que je maniais comme un boulanger manie le blé avant qu’il ne devienne la pâte.« Ah, vas-y ! Je suis toute à toi ! Tue-moi et







