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Au nom de l'amour

Au nom de l'amour

Mes parents, parmi les plus riches du pays, jouissent d’une réputation nationale en tant que philanthropes renommés. Pourtant, toute dépense de plus de cinq euros devait faire l’objet d’une demande formelle auprès d’eux. Quand le médecin m’a appris que mon cancer était en phase terminale, j’ai rassemblé tout mon courage pour leur demander 100 euros. Résultat : trois heures d’humiliation. « À ton âge, tu veux vraiment me faire croire à un cancer ? Trouve une excuse plus crédible pour demander de l’argent. » « Tu sais qu’avec 100 euros, des enfants dans les régions pauvres pourraient survivre longtemps ? Même ta sœur adoptive est plus raisonnable que toi. » À bout de force, traînant mon corps malade, j’ai marché plusieurs kilomètres pour retourner dans mon sous-sol étroit et sale. Et sur le chemin, sur un écran géant d’un centre commercial, je les ai vus : mes parents, souriants, dépensant une fortune pour offrir Disneyland à ma sœur adoptive. Les larmes que je retenais depuis longtemps se sont mises à couler. 100 euros ne suffisaient même pas pour une séance de chimiothérapie. Je voulais seulement acheter une tenue neuve pour partir dignement.
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L'amour ne se commande pas

L'amour ne se commande pas

Lakhita
Des chercheurs ont mis en place un questionnaire avec 36 questions qui pourraient faire tomber amoureux n'importe qui. Quand j'ai entendu cela j'ai explosé de rire. S'il y a bien une chose incalculable c'est bien l'amour. Mais je me suis peut être trompée.
Romance
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L’Amour et ses souricières

L’Amour et ses souricières

Mon frère Dylan, parce que sa maîtresse Rosalie avait exprimé le désir d'assister à une pluie de météores, avait emmené tous ses gardes personnels à la campagne pour lui organiser ce spectacle romantique. Cette nuit-là, des anciens rivaux qu'il avait écrasés en ont profité pour s'introduire chez nous, bien décidés à exterminer toute la famille en guise de vengeance. Ma mère m'a protégée de son corps, subissant des blessures mortelles. J'ai appelé Dylan en pleurs, le suppliant de revenir. Heureusement, il a fini par rentrer avec ses gardes. Les intrus étaient alors capturés, mais des nouvelles horribles nous sont parvenue de la campagne : Rosalie s'était suicidée, laissant une lettre m'accusant d'avoir volontairement éloigné Dylan, ce qui l'avait conduite à être torturée par des ennemis. Dylan a brûlé froidement sa lettre d'adieu tout en murmurant : « Ce n'est pas grave. » Plus tard, notre père, déçu par son comportement, m'a promis la direction de l'entreprise familiale. Mais le soir même, après le banquet de célébration, Dylan est entré dans ma chambre et m'a assassinée. Ses derniers mots ont glacé mon sang : « Une personne aussi malfaisante que toi méritait de mourir ! » « C'est toi qui devrais être mort ! L'héritage me revient de droit ! » Je suis morte les yeux grands ouverts, pleine d'amertume. Quand j'ai rouvert les yeux... j'ai entendu à nouveau les intrus défoncer la porte d'entrée...
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Help

Help

« Tu es encore là ?» « J'en ai encore besoin.» « Il peut quand même venir se la prendre tout seul sa drogue.» Troian Beliwill x Zayn Malik ©Copyright [chapitres courts!]
Mystère/Thriller
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Yorick

Yorick

Écrivain rêveur
Ca fait 3h que j'attends les résultats de ce fichu baccalauréat. A vrai dire je suis stressé je me souviens qu'a chaque fois que je sortais de la salle j'oubliais tout ce que j'avais fait. Était-ce un bon ou un mauvais signe? En fin bref cela faisait déjà 3h de temps, il y'avait des éleves partout tous attendant les résultats du bac. Charlene: stressé? Moi: qui ca moi, du tout. Elle: ca fait combien de temps qu'on se connaît?! Je sais quand tu es stressé et quand tu ne l'es pas. Moi: Bon j'avoue que je ne tiens plus en place, je veux que ca se termine maintenant. Elle: patience! Moi:pfff! C'est vrai que charlene me connaît bien . Qui c'est? Charlene c'est ma meilleure amie. On se connaît depuis la classe de 6eme bizarrement on a été que dans les même classes. A vrai dire ca fait 4 ans déjà que je suis fou amoureux d'elle mais je n'ai jamais osé le lui dire parce que je tiens trop a notre amitié. Quand elle sourit même si je suis en colère, mon coeur s'apaise. Rien que le simple fait de la voir chaque matin, me rend heureux. J'ai tout le temps envie de l'embrasser, de la serrer dans mes bras, de la réconforter. Je l'aime!
Urbain
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La tragédie du sourire masqué

La tragédie du sourire masqué

J'étais en phase terminale d'insuffisance rénale. Le rein le plus compatible qu'on ait enfin trouvé pour moi, mon mari Régis l'a offert à ma sœur Laurine. J'ai refusé la proposition du médecin d'attendre un autre donneur et suis sortie de l'hôpital. Dégoûtée par ces gens, j'ai compris qu'il était inutile de continuer à me battre. Alors j'ai légué à ma sœur toutes mes économies des années passées. Enfin, j'ai vu mes parents sourire. Régis s'épuisait chaque jour à prendre soin d'elle. Loin de m'irriter, je l'encourageais à être plus attentionné. Quand notre fils a demandé si ma sœur pouvait devenir sa maman, j'ai même acquiescé en souriant. Mais pourquoi, maintenant que tout leur a réussi, regrettaient-ils soudain ?
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Pour qu'ils n'aient aucun regret

Pour qu'ils n'aient aucun regret

La meilleure amie d'enfance de mon mari a été diagnostiquée d'une maladie incurable. Pour qu'elle ne parte pas avec des regrets et puisse ressentir l'amour d'une famille, Gabriel Dumas, mon mari, lui a offert mon collier, puis a même cédé mon anniversaire pour le lui consacrer. Notre fils, en privé, l'appelait aussi « maman ». Il m'a dit un jour : « Élise, Violette est en train de mourir… laisse-lui un peu de place. » Chaque fois que j'espérais recevoir un peu plus de son attention, de son temps, mon fils, Théo Dumas, se précipitait pour défendre son père et Violette : « Maman, tu me dis toujours qu'il faut être généreux, non ? Violette va mourir… pourquoi tu lui en veux autant ? » Petit à petit, j'ai cessé de demander quoi que ce soit. Un soir, j'ai surpris une conversation entre mon fils et Gabriel, de retour de l'hôpital : « Violette est si douce et élégante ! Si seulement maman pouvait lui ressembler… » Gabriel a souri tendrement en ébouriffant les cheveux de notre fils : « Ta maman est peut-être un peu stricte, mais c'est pour ton bien. Si tu aimes vraiment Violette, que dirais-tu qu'elle devienne ta marraine ? » C'est à ce moment-là que j'ai compris : même l'enfant que j'ai mis au monde de toutes mes forces… ne m'aimait pas. J'ai baissé les yeux, refermé silencieusement la porte de la chambre, comme si rien ne s'était passé. Puisque tous deux semblent avoir tant de regrets, alors je vais m'effacer, en silence, pour les combler.
Histoires courtes · Mafia
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Mille trahisons, une libération

Mille trahisons, une libération

Cela faisait neuf ans que j'étais mariée à Ryan Toutain. Lui, un pur-sang, l'Alpha suprême de la Meute de Crocs d'Argent. Moi, juste une Luna par intérim, choisie pour une alliance politique au sein du clan. En neuf ans, il avait ramené cent quatre-vingt-dix-neuf femmes. Ce soir, ce serait la deux-centième : une jeune Oméga à peine majeure, qui lui avait lancé des signaux d'accouplement en pleine réception. Ryan n'avait pas refusé. Il l'avait même ramenée sur nos terres. En entrant, la fille m'a aperçue assise sur le canapé du salon. Son regard s'est fait immédiatement narquois : « Alpha… c'est donc ça, ta Luna… celle que tu n'as même pas marquée ? » Ryan, affalé dans son fauteuil, a répondu avec nonchalance : « Ouais. » Elle s'est approchée, me dominant de toute sa hauteur, un sourire insolent aux lèvres. Sa main est venue tapoter ma joue, doucement mais avec une provocation évidente : « Écoute bien ce soir… comme ça, tu sauras enfin comment rendre un Alpha fou. » Cette nuit-là, j'ai dû rester plantée devant leur chambre, subissant jusqu'à l'aube les gémissements qui dégoulinaient de l'étage, comme un « rituel » d'humiliation. Au matin, Ryan est descendu comme d'habitude, l'air indifférent : « Prépare le petit-déjeuner. De la viande crue et du thé de cèdre. » J'ai refusé. Il semblait avoir oublié : notre union n'était qu'un contrat. Aucun marquage, aucun lien. Et il ne restait plus que trois jours avant son expiration...
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Croisade…

Croisade…

Écrivain rêveur
Jusqu'à mes dix ans j'ai été la fille la plus heureuse du monde. J'étais insouciante. Je prenais du plaisir à aller partout. Les gens que je rencontrai à San Francisco n'avait aucun préjugé sur ma couleur de peau. Que j'ai la peau blanche, des cheveux crépus(enfin plus bouclés que crépus quand même) et blonds, des yeux tirant sur le vert et tout ça avec un père noir, une mère et un frère métissés n'a jamais fait tâche. Jusqu'à ce que j'arrive à Dakar C'est dans la ville où j'aurai dû me sentir plus chez moi où je me suis sentie étrangère et non désirée. Les gens en dehors du cercle familial me regardaient bizarrement. J'ai découvert la méchanceté gratuite et la mise en quarantaine alors que je ne suis porteuse d'aucun virus mortel ni autre maladie grave. Juste parce que je suis albinos je mérite qu'on me traite de la sorte. À la limite je préférai être mise en quarantaine parce que quand on me parle c'est pour me traiter de sorcière, de Djinn, d’être maléfique et je ne sais quoi d’autres. On a même accusé ma famille d'avoir pactisé avec le diable pour être riche et que j'étais le résultat de ce pacte. Devant moi certains parents ne se gênaient pas d’interdire leurs enfants de m’approcher. Au début ça me touchait mais maintenant ça ne me fait plus rien. . Ce qui est bien dans mon cas c’est que j’ai tout ce que je veux. Il suffit juste de demander.
Romance
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Hier comme la brume, le passé comme le vent

Hier comme la brume, le passé comme le vent

J'ai patienté trois heures à la fête d'anniversaire de mon petit ami, Roméo Bossuet. Celui qui devait être le héros du jour dans son costume élégant a été appelé à l'hôpital par son premier amour, Gisèle Favre. Prétextant une entorse à la cheville pour susciter la sympathie, cette femme a même filmé une vidéo d'un baiser avec Roméo. Pris par l'émotion, Roméo, soi-disant invalide des jambes, s'est levé pour la plaquer contre la porte. « Roméo, pourquoi tu dis pas à Nina que tes jambes sont guéries ? » La voix de Roméo était pâteuse : « Si elle l'apprenait, elle insisterait pour que je l'épouse. Mais qu'est-elle pour moi ? Juste une bonne gratuite ! Elle est pas digne de devenir ma femme. » Ils s'embrassaient passionnément. Gisèle, vêtue d'une robe de mariée que j'avais conçue de mes propres mains, regardait la caméra avec provocation. La vidéo s'est arrêtée sur le son de leurs baisers fougueux. À ce moment-là, j'ai compris que Roméo m'avait toujours menti… J'ai jeté le gâteau que j'avais préparé pour lui à la poubelle, puis ai pris mon téléphone pour envoyer un message à ma mère : « Maman, j'irai au rendez-vous arrangé, je te promets. »
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