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The hotel called, politely reminding me that the condoms used last night were unpaid and had been charged to my membership card. I was stunned. I'd been working late until midnight and hadn't set foot in any hotel. I confronted my husband, the only person who knew my card code. Nathan Phelps looked at me, bewildered. "Honey, that hotel costs over $10,000 a night. I'd never go there. It's probably a system error. Someone must have mistyped the card number. I'll file a complaint tomorrow." Unconvinced, I called my best friend, who managed the hotel. "Tracy, check who Nathan was with at the hotel last night. I'm catching him red-handed."

This is no ordinary werewolf tale. Romance and fantasy collide with a curse spun from prophecy and obsession. This is a story of torment and resilience. Of wolves and gods. Of a woman broken again and again, only to rise stronger each time. And at the heart of it all… is a love fated by the Moon. If you’re the kind of reader who thrives on slow-burning tension, this tale will consume you. But tread carefully: the deeper you go, the darker it gets. -------------- Alinta Ull, a bookish, headstrong, and haunted werewolf. Since her eighteenth birthday, tragedy has stalked her in a cruel pattern. Every three years, it brings death, rejection, or abandonment. She believes the Moon has cursed her, and… maybe it has. Desperate to escape her fate, she and her fierce wolf, Angela, travel to the rumoured resting place of the Rogue Deity, a mythical werewolf prophesied to rise beneath the eighth crimson moon. Coincidentally, on Alinta’s thirtieth birthday. But fate is a cruel thing. Something, or someone is watching. A wolf obsessed. A monster in disguise. One who has waited years to possess her, and now has no intention of letting go. In a world where devotion becomes delusion, and love becomes a weapon, one truth remains: Some mates are chosen by the Moon. Others are stolen by monsters. -------------- Content Warning: This novel contains dark and mature themes, including sexual assault, emotional and psychological abuse, trauma, captivity, and manipulation. While it ultimately becomes a tale of hope, rebirth, and true love, the road is long, raw, and often tragic. Reader discretion is strongly advised.

Trois ans auparavant, j'ai drogué l'héritier mafieux, Victor. Après cette nuit de folie, il ne m'a pas tuée. Au lieu de cela, il m'a baisée jusqu'à ce que mes jambes faiblissent, en m'agrippant à la taille et en murmurant le même mot encore et encore : « Principessa ». Alors que j'allais lui demander sa main, son premier amour, Isabelle, est revenue. Pour la rendre heureuse, Victor m'a fait renverser par une voiture, a fait jeter le relique de ma mère à des chiens errants et m'a envoyée en prison... Mais quand j'ai finalement été brisée, m'envolant vers Marseille pour épouser quelqu'un d'autre, Victor a mis Paris sens dessus dessous pour me retrouver.

Vincenzo Moretti était le plus jeune magnat de la finance à Paris. Il dirigeait un groupe technologique coté en bourse, pesant plusieurs milliards d'euros, et faisait la une des magazines économiques comme l'un des nouveaux prodiges de la capitale. Mais seuls quelques initiés savaient qu'il était en réalité le parrain qui contrôlait le cœur même de la mafia du sud de la France. La richesse, le pouvoir, le destin… à ses yeux, ce n'étaient que des pions sur un échiquier. Et moi, je n'avais été qu'une pièce qu'il avait utilisée pour sceller une alliance entre familles. Dix ans de mariage… pendant lesquels il avait couché avec mes amies, mes collègues, avec des personnes en qui j'avais placé toute ma confiance. Un matin, je portais notre bébé à peine un mois pour aller à un contrôle médical. Sa dernière maîtresse, Sienna, a foncé sur moi en voiture. Mon enfant pleurait à s'en étouffer et je l'ai suppliée de nous emmener à l'hôpital. Lorsque Vincenzo est arrivé, son visage n'exprimait que le mépris. « Isabella, depuis quand as-tu appris à te jeter sous les voitures ? Même si tu mourais devant moi, je ne te jetterais pas un seul regard. » Puis, il a tourné les talons, la main serrée dans celle de sa nouvelle conquête. Quand j'ai finalement été conduite à l'hôpital, le bébé avait déjà cessé de respirer. Ma mère, en apprenant la nouvelle, a été foudroyée par une crise cardiaque… elle n'a pas survécu. Je suis restée deux jours dans le coma. À mon réveil, Vincenzo n'était pas venu. C'est son père, Renato Moretti, le véritable vieux parrain, qui se tenait devant mon lit. Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai dit calmement : « Laissez-moi partir. Ce que je devais à votre famille, je l'ai déjà payé de ma vie. » Plus tard, cet époux mafieux qui m'avait toujours traitée avec froideur s'est agenouillé devant moi pour me supplier de revenir. Mais je n'étais plus cette femme pitoyable qui baissait les yeux en l'attendant. J'étais… celle qui tourne les talons et ne se retourne jamais.

J'ai découvert que j'étais enceinte en même temps que Rosa, l'amour de jeunesse de mon mari mafieux. Pour protéger son bébé de l'avortement que ses parents souhaitaient, mon mari a revendiqué l'enfant de Rosa comme étant le sien. Quant au mien ? Il m'a manipulée, me disant qu'il ne réclamerait le mien qu'après la naissance de celui de Rosa. Je l'ai confronté, exigeant de savoir pourquoi il m'avait fait ça. Sa réponse a été froide et implacable : « Revendiquer son bébé comme le mien était le seul moyen de les protéger tous les deux. Je ne laisserai rien leur arriver, ni à elle ni à l'enfant. » À cet instant, en regardant l'homme que j'avais aimé pendant dix ans, j'ai réalisé que mon amour pour lui était mort. Peu de temps après, ma famille m'a condamnée, me traitant de s*lope pour avoir eu un enfant sans père et m'a mise sous pression pour avorter. Pendant ce temps, mon mari était dans une autre ville, avec sa bien-aimée, à l'aider à travers sa grossesse. Lorsqu'il est revenu, j'étais déjà partie.

Dans un monde où la plus part des croyances ne sont tournés que vers les progrès scientifiques et techniques, il est difficile de croire en l'existence d'un autre monde. - Tout ça, ce sont des foutaises. Moi, je ne crois qu'en ce que je vois. Mon smartphone par exemple... Un monde parallèle à celui que nous connaissons, mais qui existe bel et bien. Fils unique à mes parents, à mes 17 ans j'ai dû voir toute ma vie se bouleverser avec la rencontre d'une mystérieuse créature dont pour moi l'existence ne relevait que du conte de fée. - Mais, quelle sorte de créature es-tu ? Qu'est ce que tu me veux ? Mes origines, ainsi que des réalités dont j'ignorais l'existence m'ont été dévoilés. - Je l'ai su dès l'instant où j'ai posé mon regard sur toi. - Non, mais de quoi tu parles ? Il faut que je fasse un choix, mais tellement de choses sont en jeu, elle dit que c'est mon destin, mais comment savoir que c'est la vérité. - Je t'en prie. Entend l'APPEL DE L'OCÉAN. Je m'appelle Dilane et ceci, est mon histoire.

Annie read the contract file, again and again, to see every clause of it so that she doesn't regret anything later. Her eyes widened as she saw a particular clause and she grabbed the file and entered the cabin swiftly. "Smart, isn't it?" Annie asked with a small smile as Sandy turned to her side. "Why don't you add some more conditions in this contract from my side too?" She dared to ask him but Sandy didn't show his surprised look as he just nods to let her proceed. "It stated that I can't leave the job. Why don't you add that you too can't fire me without any reason?" She asked showing that she won't ever leave the job even if she had to go through hell. Sandy smiled realising how fun it would be to play with her. "Anything else?" Sandy asked without breaking his stares toward her. "I don't know why you want me to work under you. But the only thing matters to me is the salary package" she replied with a wide grin making him more curious about the girl in front of him. "Welcome to hell, Cinderella" he spoke handling the appointment letter. "I am not Cinderella" she snapped at him immediately. Why is so hard for him to call her Annie? Shoes can be a cupid to normal Cinderella tales. But here, it's not normal love story neither is she is Cinderella. She looks as innocent as Cinderella. She looks as beautiful as Fairy. But that is the problem. In reality, she is something whom no one can ever think to mess with. Sandy captured her to give her hell of time. But is it really him who have captured her or there is something more to her?

Dix jours. J'ai dû passer dix jours avec M. Jones, le patron de mon père, pour que mon père pourrait garder son emploi. Mon père a été surpris en train de voler son entreprise et M. Jones l'a viré sur-le-champ. Mais cela signifiait la ruine financière de ma famille. Nous n'aurions pas d'endroit où vivre, rien à manger et je devrais abandonner l'école. Mais ensuite, M. Jones a proposé une solution. Je passerais dix jours avec lui dans son manoir et tout serait pardonné. Sauf que le mâle alpha avait des règles. Je devais porter ses vêtements. Mangez sa nourriture. Et le pire de tout, mendier quand il a demandé. Et j'ai honte de le dire… mais je le voulais désespérément !

This book contains a few people's points of view. (POV) Which makes the book a little... let's say more dimensional. The main story is about Lilith Taylor being in the wrong place at the wrong time, although it was planned out. She witnesses some gruesome scenes done by Arthur Mikhailov but soon realizes that the one bringing this upon her is the only one who can take it away. The book is filled with mysterious characters and events to keep the reader guessing throughout. Never a too dull moment. Give it a try guys. You never know who will betray you next...

Jusqu'à mes dix ans j'ai été la fille la plus heureuse du monde. J'étais insouciante. Je prenais du plaisir à aller partout. Les gens que je rencontrai à San Francisco n'avait aucun préjugé sur ma couleur de peau. Que j'ai la peau blanche, des cheveux crépus(enfin plus bouclés que crépus quand même) et blonds, des yeux tirant sur le vert et tout ça avec un père noir, une mère et un frère métissés n'a jamais fait tâche. Jusqu'à ce que j'arrive à Dakar C'est dans la ville où j'aurai dû me sentir plus chez moi où je me suis sentie étrangère et non désirée. Les gens en dehors du cercle familial me regardaient bizarrement. J'ai découvert la méchanceté gratuite et la mise en quarantaine alors que je ne suis porteuse d'aucun virus mortel ni autre maladie grave. Juste parce que je suis albinos je mérite qu'on me traite de la sorte. À la limite je préférai être mise en quarantaine parce que quand on me parle c'est pour me traiter de sorcière, de Djinn, d’être maléfique et je ne sais quoi d’autres. On a même accusé ma famille d'avoir pactisé avec le diable pour être riche et que j'étais le résultat de ce pacte. Devant moi certains parents ne se gênaient pas d’interdire leurs enfants de m’approcher. Au début ça me touchait mais maintenant ça ne me fait plus rien. . Ce qui est bien dans mon cas c’est que j’ai tout ce que je veux. Il suffit juste de demander.