Gene Brewers Sci Fi

Sent miles from home as part of an Alliance Contract to Thunderwolf Pack, the most powerful pack in the world. Promised mate to the Alpha's son? Fated mate to the Dragon-blood Fae Leader's son? Aria finds herself in the path of two formidably powerful entities as she struggles with her own identity as a werewolf Omega, daughter to an Alpha in the small country of New Zealand, she possesses a rare Alpha-positive gene that guarantees Alpha progeny. In this modern time of low birthrates and failing magic she holds the key to the survival of both races. But will she get to pick the one she loves or will she be forced to be a breeder guaranteeing Alphas where so far none have been born for twenty four years, worldwide. To save werewolves from a fate worse than death - chaos and madness from having no Alpha to control them. No one knowing the true meaning behind her Alpha+ genes - a destiny steeped in ancient fae scripture.

He's cold and ruthless and one of the most feared alphas in this new world where the werewolves rule. He cares about nothing, and no one can break through the formidable defence he's built around himself- that is until he met her! Nancy is just an average human girl and in this new world dominated by the werewolves, that's a code for 'target for lab rat'. An agency is taking the few surviving humans into custody for experimenting on genetic coding and gene modification. Problem is, she's been spotted on the agency's radar while snooping around and helping an injured wolf and now she needs protection from them. Throw in an alpha who's bent on paying his debt to her for more reasons than one by taking her under his protection, and buried secrets that will rear its ugly head soon and change every truth Nancy has ever known and you'll have yourself a story you'd want to read. Will their love story survive or will there be too much for either of them to handle.

These are the five things on the list that could bring the spoiled brat named, Iris Gene Rodríguez, privileged life back; First, take public transportation instead of a car when going to the university or when only necessarily leaving the house. Second, no alcohol, no bars, and nightclubs alone and with friends unless you're with the family. Third, look for a job where you can earn money by yourself. A decent one, please. Fourth, don't ditch classes, featuring no sleeping, take studies seriously, and get good grades. And last but definitely not the least, kiss Leon Gael Johansson, the man with a beautiful face, indeed. . . remember, with consent.” The list is only good for two months and needs to be accomplished within the time frame. If he happened to fail, then should Iris forever live the harder way around. The last thing on the list is definitely the tough part, as they also started as enemies. Will Iris become successful with his list? Or will he end up getting hurt amidst accomplishing it that made him say, “You’re the worst, Leon Gael Johansson.”

"Nous voilà arrivés à votre nouvel établissement, votre Altesse." Je baissais la vitre teintée pour avoir une meilleure vue de l'édifice avant d'attraper mon sac prête à sortir de la limousine. "Pas si vite mademoiselle." Je me tournais vers Edgar la bouche en cœur. "Cela ne marche pas sur moi, votre Altesse." Je soufflais contrariée et reprenais place sur la banquette arrière. "La directrice de l'établissement va venir vous chercher. Elle vous donnera votre emploi du temps et votre chambre. Vous allez devoir la partager avec une autre jeune fille." Je n'en pouvais plus d'attendre mais je me forçais à rester assise. J'étais dans une limousine après tout je ne voulais pas attirer les regards. "Je peux y aller maintenant? -Abrielle n'oubliez pas que vous êtes ici sous couverture. Personne ne doit découvrir qui vous êtes ou sinon... -Sinon Gaspard risquerait de me retrouver. Je le sais. -Vos parents seraient fières de vous. -Fières? Satisfaits maximum. Je leur obéit au doigt et à l'œil sans rechigner. On me cache d'un psychopathe qui me veut du mal pour prendre de l'argent à mes parents. Personne ne sait que j'existe... -Ils font cela pour votre bien. Ils tiennent à vous. -C'est cela oui. Je ne les ai pas vus depuis mes quatre ans. Ils ne m'ont même pas envoyé de carte pour mon anniversaire. Tout ce que j'ai d'eux est une carte bancaire. Pour moi ce n'est pas cela tenir à quelqu'un. J'ai de la chance qu'ils aient acceptés que j'aille à l'école avec les autres adolescents de mon âge. Si ça ne tenait qu'à eux je serais enfermée dans une tour. -Mademoiselle Abrielle... -Je serai sage."

Sous l'Habit, la Fièvre Sœur Clara a toujours vécu dans l'ombre des murs du couvent Saint-Raphaël. Dévouée à sa foi, elle a fait vœu de chasteté, mais une soif d'absolu brûle en elle, un désir qu’elle n’a jamais osé nommer. Lorsqu’elle est envoyée en mission pour assister les malades d’un hospice isolé, elle ignore qu’elle vient de poser le pied à Poudain-Bassé, un lieu dont les murmures parlent d'interdits et de damnation. C'est là qu'elle rencontre Raphaël, un homme dont l’aura est une promesse de péché. Il est tout ce qu’elle a fui : la chair, l’arrogance, la tentation incarnée. Lui, amusé par cette nonne trop fière, s’amuse à la provoquer. Mais sous la soutane, il perçoit autre chose. Une femme en lutte, un brasier caché sous le marbre de la dévotion. Les jours passent, et ce qui n’était qu’un affrontement de principes devient un jeu dangereux. Chaque regard échangé, chaque frôlement accidentel les consume un peu plus. Clara tente de résister, priant avec plus de ferveur, mais la voix de Raphaël résonne dans son esprit plus fort que celle de Dieu. Et quand enfin il ose briser la dernière barrière, lorsqu’il murmure à son oreille que le ciel n’a jamais brûlé aussi fort qu’entre ses bras, elle vacille. Céder, c’est trahir sa foi. Résister, c’est trahir son propre cœur. Mais dans ce lieu oublié du monde, où les âmes perdues se cherchent, où le bien et le mal s’entrelacent, une seule vérité demeure : il n’y a pas de salut sans passion, et pas d’amour sans damnation.

Pour pouvoir sortir avec son assistante le jour de Noël, mon mari a mis des somnifères dans le lait de notre enfant. Lorsque j'ai emmené ce petit pauvre, qui avait une forte fièvre, à l'hôpital, je l'ai vu là-bas, portant cette femme dans ses bras. « Manon s'est fait une entorse, je viens l'accompagner pour consulter. » Oui, c'était son explication. Notre enfant était en train de subir une opération d'urgence, mais il semblait n'en avoir rien à faire. J'ai serré dans ma poche le billet de loterie gagnant de dix millions d'euros, et je me suis dit que c'était peut-être le moment de mettre fin à ces sept années de mariage.

Dario Morello came from old money in Santria City—but his family was cursed. Every guy in that bloodline dropped dead before twenty-five, like something sucked the life out of them. The only way out? Marry someone with a rare fertility gene. In my last life, my adopted sister Serena jacked my wedding dress and took my place at the altar. I exposed her right there in front of everyone. She became Santria's biggest joke. Then she killed herself. My parents said I was heartless. Cut me off without blinking. Dario? He hated me too. On the anniversary of Serena's death, he locked me in a basement, strapped me with explosives, and snapped, "That fertility gene lie? You made it up for clout and cash. Serena was pregnant with my kid. You killed them both. So now—you're going with her." Next thing I knew, I was waking up on the morning of the wedding. This time? I helped Serena with the veil and wished them a perfect life.

"You want to play a game, wolf? Fine, let's play a game. The game is called making that throbbing sensation between your thighs go away. " * Isberlt have been a rogue for as long as she can remember. After the death of her mother, and sudden disappearance of her father from being thrown out of the pack; Isberlt made it past the outskirts of the life she was used to, with a promise to never return again. Now living her supposed normal human life by being a medical assistant to one of the most intrigued scientific researchers world, Isberlt is finally living the life she wants. —The life that puts her werewolf gene behind. The life outside her past. But that's until she's caught by The Alpha King. The big, feral Alpha. An Alpha that's referred to as deadly. An Alpha that other Alphas bows to. An Alpha that loathes disrespect and disobedience. An Alpha whose name makes all others tremble. What could such an Alpha possibly want from a rogue like Isberlt? Just when she thought it couldn't get any worse; he unleashes his feral fury on her; Chained and strapped down of power. Will Isberlt make it through the brutal life that she's forcefully being dragged back into? Or will her contrasting attitude to that of the Alpha be the end of her?

Cela faisait cinq ans que j'aimais Jacob, mon Alpha. Le jour où nous devions célébrer notre cérémonie de marquage, il a secrètement marqué une autre louve derrière mon dos. « Molly porte mon enfant. Ce sera mon héritier ! » a fièrement annoncé Jacob sous les acclamations de la meute. Au centre du cercle, j'ai ignoré le regard provocant que Molly, blottie contre lui, m'adressait. Alors que leur rituel touchait à sa fin, je me suis détournée d'un pas mécanique. Comprenant que je n'avais plus ma place dans cette relation, je suis retournée dans la maison que je partageais avec Jacob pour faire mes valises. J'étais venue vivre dans son clan par amour. Maintenant que cet amour n'existait plus, il était temps de partir...

Une intrigue a abusé de l’innocence d’Isabelle Leroy, du jour au lendemain, elle a tout perdu, et a été forcée de quitter la maison…Six ans plus tard, elle est retournée avec ses trois petits enfants pour se venger. Pourtant, ce à quoi elle ne s’est attendue pas, c’était que les trois petits semblaient plus éveillés qu’elle. Ils ont trouvé leur père pour les aider. Un jour, ils l’ont même amené à la maison et ont dit fièrement : « Maman, nous avons amené notre papa ! » L’homme a observé les trois enfants qui lui ressemblaient et, soudain, il a tout compris.Il a bloqué Isabelle contre sa poitrine dans le coin, et a souri sournoisement : « On a déjà trois enfants, il est temps de commencer le processus de conception d’un autre enfant ! »Isabelle : « Pas question ! Va-t’en ! »