Onna No Ko Ni Naritai

« Si tu vexes l'Alpha Charles, Inès peut encore plaider pour toi. Mais si tu agaces Inès, il ne restera même pas tes cendres. » C'est une phrase très répandue dans les cercles aristocratiques des loups-garous. Je suis Inès. À cause d'un simple jeu, j'ai décidé de rompre le pacte du couple avec Charles. Dans le jeu, complètement ivre, il a dit : « J'adore poser ma tête sur le ventre d'une femme enceinte pour écouter les battements du cœur du bébé. » Un silence de mort a envahi la salle. Tous les regards des loups-garous se sont tournés vers moi. Il n'y avait pas de surprise dans ces regards, seulement de la pitié pour moi, la Luna légitime, et de la panique face à un secret révélé. J'ai compris instantanément : ils savaient tous que Charles avait un enfant avec une autre femme, mais ils l'avaient tous aidé à me le cacher. Tout simplement parce qu'ils savaient que j'étais la raison de vivre de Charles. Si j'apprenais la vérité, je partirais. Et Charles, il deviendrait fou. Je devais admettre qu'ils me connaissaient vraiment bien. Après avoir découvert la vérité, j'ai décidé de faire trois choses. Premièrement, j'allais jeter dans un fourneau l'alliance que Charles avait conçue pour moi. Deuxièmement, j'allais enregistrer sur une clé USB la vidéo dans laquelle Lily m'avait provoquée avec son enfant. Troisièmement, j'allais déposer un dossier auprès du Département des Affaires des Loups-Garous pour devenir chercheuse sur l'île glacée, isolée du monde. Le jour où j'ai quitté la tribu était justement le jour de notre septième anniversaire de mariage. Et moi, je disparaîtrais de sa vie comme un filet de fumée.

Son secret. Sa honte. Son âme sœur. **** « Paige Murphy ? Comme si elle était plus qu’une simple remplaçante. » **** Pendant des années, Paige Murphy s’est accrochée à un seul et fragile espoir : qu’un jour, son âme sœur destinée, le puissant Héritier Alpha Blaze Sullivan, la reconnaîtrait enfin comme sienne. Il était l’homme qui l’avait sauvée du cauchemar de son enfance, abusée par sa mère et son beau-père. Il était devenu sa lumière, son protecteur, le père de son enfant. Pourtant, au grand jour, elle n’est pour lui qu’une louve faible qu’il garde dans l’ombre, sans jamais officialiser leur lien, sans jamais faire d’elle sa Luna. La cruelle vérité la blesse plus profondément que n’importe quelle lame, mais c’est leur fille gravement malade, dont les soins dépendent de sa fortune, qui la maintient enchaînée à lui. Paige sait qu’elle doit rester, même si son cœur se brise, mais Blaze ne prévoit que d'épouser Eileen et compte bien la forcer à rester comme sa maîtresse. Il croit détenir tout le pouvoir, car sa faible Oméga n’a nulle part où aller. Il a tort… car Paige Murphy n’est pas celle qu’il croit. Un amour bâti sur des mensonges et brisé par la trahison peut-il jamais être réparé, ou l’Héritier Alpha a-t-il perdu sa véritable âme sœur à jamais ?

Elle l’a aimé plus que tout. Elle a tout sacrifié pour lui : sa jeunesse, ses rêves, même sa carrière. Pendant trois longues années, Rebecca a été l’épouse parfaite, soignant Gregory après son accident, croyant qu’un jour il l’aimerait autant qu’elle l’aimait. Mais la trahison a été impardonnable. La femme qu’il a choisie… sonya , son ex fiancée et sœur de Rebecca , cette même femme qui l’avait abandonné après son accident Brisée, humiliée par sa famille et laissée seule, Rebecca n’a eu qu’une seule issue : divorcer et reconstruire sa vie. Alors qu’elle renaît enfin, qu’elle reprend confiance et qu’elle attire à nouveau tous les regards, Gregory réapparaît. Jaloux. Obsédé. Prêt à tout pour la récupérer. Mais Rebecca n’est plus la femme soumise qu’il a connue. Cette fois, c’est elle qui choisit. Et si Gregory regrette… il pourrait bien regretter pour toujours.

De dix à dix-huit ans, mes parents m'ont fait signer deux cent quatre-vingt-dix-neuf reconnaissances de dette. Chaque somme que je leur ai demandée, j'ai dû l'emprunter et je devais les rembourser une fois que je serais adulte. Puis j'ai eu un accident de voiture. Quand il a fallu payer les frais de chirurgie, il manquait encore trois mille euros sur mon compte. À bout de ressources, je n'ai eu d'autre choix que de supplier mes parents. Mais ils ont juste eu un rire froid : « Manon Besson, tu as déjà dix-huit ans, nous n'avons plus l'obligation de te donner de l'argent ! Tu dois signer une autre reconnaissance de dette ! » Les larmes aux yeux, j'ai signé la trois-centième reconnaissance de dette. Après l'opération, cependant, j'ai vu les photos que ma sœur adoptive avait publiées sur Instagram. Sur les photos, elle fêtait ses dix-huit ans sur un paquebot à l'étranger, entourée de personnes, comme une petite princesse. Mes parents lui ont offert un luxueux appartement dans le centre de Paris et les clés d'une Maserati. Même mon ami d'enfance la regardait avec des yeux pleins d'amour. Elle a écrit : « Merci à ceux que j'aime le plus pour ce bonheur parfait. » Et moi, j'ai baissé les yeux vers la reconnaissance de dette froissée dans ma main et j'ai soudain souri. Après avoir remboursé les dettes, je n'aurais plus besoin d'une telle famille.

An unserem siebten Hochzeitstag saß ich rittlings auf meinem Mafia-Ehemann Lucian und küsste ihn innig. Meine Finger tasteten in der Tasche meines teuren Seidenkleides nach dem Schwangerschaftstest, den ich dort versteckt hatte. Ich wollte ihm die Nachricht meiner unerwarteten Schwangerschaft erst am Ende des Abends mitteilen. Lucians rechte Hand, Marco, fragte mit einem anzüglichen Lächeln auf Italienisch: „Don, dein kleiner Kanarienvogel Sophia – wie schmeckt sie?“ Lucians spöttisches Lachen vibrierte in meiner Brust und ließ mir eiskalte Schauer den Rücken hinunterlaufen. Er antwortete ebenfalls auf Italienisch: „Wie ein unreifer Pfirsich. Frisch und zart.“ Seine Hand streichelte immer noch meine Taille, doch sein Blick war in die Ferne gerichtet. „Behaltet das unter uns. Wenn meine Donna das erfährt, bin ich ein toter Mann.“ Seine Männer grinsten wissend, hoben ihre Gläser und schworen Stillschweigen. Die Wärme in meinem Blut erstarrte Stück für Stück zu Eis. Was sie nicht wussten: Meine Großmutter stammte aus Sizilien, also verstand ich jedes Wort. Ich zwang mich zur Ruhe und bewahrte das perfekte Lächeln einer Donna, doch meine Hand, die das Champagnerglas hielt, zitterte. Anstatt eine Szene zu machen, öffnete ich mein Handy, fand die Einladung zu einem privaten internationalen Medizinforschungsprojekt von vor einigen Tagen und tippte auf „Annehmen“. In drei Tagen würde ich vollständig aus Lucians Welt verschwinden.

Pinatay si Rosaline at personal na nilagay ni Sean si Jane sa kulungan ng mga babae dahil dito. “Alagaan mo siya ng mabuti” — ang mga salitang sinabi ni Sean ay ginawang impyerno ang buhay ni Jane sa kulungan at nagdulot pa para mawalan siya ng kidney. Bago siya mapunta sa kulungan, sinabi niya, “Hindi ko siya pinatay,” ngunit walang epekto ito kay Sean. Matapos niyang makalaya mula sa kulungan, sinabi niya, “Pinatay ko si Rosaline, kasalanan ko ito!” Gigil na sinabi ni Sean, “Tumahimik ka! Ayokong marinig na sabihin mo iyan!” Tumawa si Jane. “Oo, pinatay ko si Rosaline Summers at nakulong ako ng tatlong taon para dito.” Tumakas siya at hinagilap ni Sean ang buong mundo para sa kanya. Sabi ni Sean, “Ibibigay ko ang aking kidney, Jane. Kung ibibigay mo ang iyong puso.” Ngunit tumingala si Jane kay Sean at sinabi, “Hindi na kita mahal, Sean...”

Hindi ko inasahan na muli kaming magkikita ng lalaking minsan ko nang minahal… si Michael Brian Lucero. Akala ko siya na ang lalaking makakasama ko habang buhay, pero nalaman kong pustahan lang pala ang dahilan kung bakit siya lumapit sa akin. Pagkamatay ni Papa, hindi na kami tumagal sa iisang bahay—palipat-lipat kami dahil paiba-iba ang kinakasamang lalaki ni Mama. Hanggang sa pinakasalan niya ang isang bilyonaryo, na babago sa takbo ng buhay ko. Sa paglipat ko sa mansyon ng bagong asawa ni Mama, bumungad sa akin ang mukha ng gwapong lalaki na matagal ko nang kinalimutan—si Michael, ang kaisa-isang anak ng stepfather ko. Akala ko, madali lang makisama. Pero nang magtagpo ang aming mga mata, ramdam ko ang kakaibang init sa pagitan namin—isang damdaming mali, pero hindi ko kayang pigilan. Habang pilit kong itinatago ang bawal na damdamin, mas lalo lang akong nahuhulog sa kasalanang hindi ko kayang tanggihan. Dahil minsan, kung ano pa ang bawal, siya rin ang pinakamasarap tikman. “He’s the sin I can’t stop craving.”

((( Julius POV’s )))Napabangon ako dahil sa bungangang yun. Tinignan ko yung babae.“Huwag kang lalapit sa akin!” Bigla akong ngumit at natawa sa sarili ko. Kung gano'n ang babaeng 'to ay walang iba kundi si Janine.“Seems I have a “good” Morning. Good morning Janine.”Bigla akong pinaghahampas ng unan ni Janine. Ewan parang ang saya eh. Nakalapit ako sa kanya. Pinigilan ko ang kamay niya saka hinila ko siya palapit sa akin.“Bitiwan mo ako Julius!” Hinalikan ko siya sa noo. Natigilan siya sa kakapalag.“Now, your mine.” Saka ko siya hinalikan sa labi.Bakas sa mukha niya ang pagkagulat. Kaya bigla niya akong sinampal. Ngumiti lang ako bilang tugon...“I know. I deserve it.” At muli ko siyang hinalikan.“Julius! Gumising ka nga!” At pinagsasampal ako ni Janine, magkabilaang pisngi. Pinigilan ko ang kamay niya.“Gising na gising ako. Gusto mo pa?” Pak!Aww...yun ang masakit.“Di ako nakikipaglokohan sa'yo!” Ngumiti ako.“Sa tingin mo niloloko kita?”“Ahhhh....hmmm..” Hinalikan ko eh.At bago ako bumangon, hinalikan ko siya sa pisngi. Natulala siya.Bumangon na ako. Tinali ko ang robe ko at kinindatan siya bago ako pumunta ng banyo.Nang makapasok ako, narinig ko ang pagsisigaw ni Janine.Nakita ko naman ang refleksyon ko sa salamin. Ngiting-ngiti na napapailing. Naghilamos ako. Iniisip ko kung sino sa dalawang ama-amahan ko ang gumawa nito.

“Bakit sumunod kayo rito?" tanong n'ya sa mga kaibigan n'ya. “Nandito ang bagong misyon natin kaya pinapunta kami ni Boss dito." sagot ni Via sa kan'ya. "Sino?" tanong ko kay Via. “Ang pamilya Lazardo." sagot naman ni Fritzie. “The hell! Ang pamilya ni Franz,?" gulat kong tanong sa kanila. “Kilala mo ang mga Lazardo?" tanong naman ni Mau. “Guys, naalala ninyo iyong lalake na nakabangga ko sa Hongkong?" tanong ko sa kanila. “Anong kinalaman ng lalake na 'yon sa misyon natin?" tanong ulit ni Mau. “Puta naman oh! Ano question and answer portion ba ito ha Pia?" naiinip na tanong ni Cassy. “Ang nakabangga ko sa Hongkong na lalake at ang tinutukoy ninyo na pamilya Lazardo ay related sa isa't-isa. Siya lang naman ang panganay na anak nina tita Victoria at tito Mauro." mahabang paliwanag ko sa kanila. “So iyong lalake na tinutukoy mo ang mas dilikado ang buhay dahil s'ya ang tagapagmana ng isang Mafia Boss." sabat ni Via sa usapan. “What the hell!? Ibig sabihin si tito Mauro ay isang Mafia Boss! Kaya pala no'ng kaarawan ni tita Vicky ay may nagtangka sa buhay nila, mabuti nalang at matalas ang pakiramdam ko kaya nakita ko 'agad ang tatlong lalake na balak sanang maglagay ng lason sa mga baso ng mga Lazardo," mahaba kong paliwanag sa kanila. “Pero ang pinaka punterya nila ay iyong lalake dahil s'ya ang tagapagmana sa lahat kaya mas dilikado ang buhay n'ya." saad ni Mau. “Kaya lumapit ang mag-asawa kay Boss upang humingi ng tulong para maproteksyonan ang mga anak nila." sabi naman ni Via. "At nabalitaan namin na may mga ibang grupo na ang 'andito sa probinsya kaya kami napasugod 'agad." dagdag pa ni Via. Paano pagnalaman ni Franz na ang babaeng nasa likod ng maskara at ang babaeng pinakamamahal n'ya ay iisa?

“Pakasalan mo ako!” lasing at wala na yata ako sa hulog habang namunungay ang aking mga matang nakatitig kay Omeng, my body guard/ secretary. Ito lang ang paraan ko para matigil na ang kalokohan ni Mommy. Gusto kong galitin si Mommy, makaganti man lang ako kahit paano sa ginawa niyang pag iwan sa amin ni Daddy fifteen years ago. Alam kong manggagalaiti si Mommy kapag pinakasalan ko ang isa sa mga tauhan ko. Sakto si Omeng, my body guard secretary. Hah, sino bang magulang ang matutuwang magoakasal ang anak nya sa isang hampas lupang gaya ni Omeng? Pero bakit ang yabang ni Omeng? Bakit parang unti unti, ako ang nalulunod? Bakit parang habang tumatagal, sarili ko na ang pinaparusahan ko sa pekeng relasyon naming ito ni Omeng?