Livia, nymphe insatiable aux désirs inavoués, est sur le point de devenir bien plus qu’une simple servante aux yeux du puissant homme d’affaires Alessandro. Chaque regard du milliardaire Alessandro la brûle de l'intérieur. Lui, impitoyable et arrogant, sait exactement ce qu'il veut, et il sait aussi que son pouvoir peut tout obtenir, y compris son cœur, si elle le lui donne. Mais un contrat, signé sous l'impulsion d'une passion grandissante, va lier leurs vies d'une manière inédite. Un contrat qui dépasse les simples termes d'un accord. Livia doit porter son enfant, et Alessandro, bien plus qu'un simple homme d'affaires, se voit obligé de se perdre dans un jeu dangereux où les sentiments et la sensualité s'entrelacent. La question demeure : un contrat signé dans l’extase peut-il vraiment être une promesse d’amour, ou n’est-ce qu’un piège ? Livia aura-t-elle le contrôle, ou sera-t-elle celle qui se laisse dominer par un milliardaire dont le cœur semble aussi froid que son regard ? Ils vont franchir des frontières qu'aucun des deux n'avait anticipées…
View More1: Une nuit de solitude et de désirs inavoués
LE Point de vue de Livia
Dans cette immense villa où le marbre froid côtoie les lustres scintillants, je suis la seule âme éveillée à cette heure tardive. Comme chaque soir, une fois mon service terminé, je m’accorde ce moment d’intimité, où je peux enfin baisser ma garde et être juste moi.
Je referme la porte de ma chambre à clé. Le silence de la maison est rassurant, presque complice. J’allume mon ordinateur portable, un cadeau du feu patron, un homme bon qui avait toujours eu un faible pour mon dévouement. L’écran s’illumine dans l’obscurité, projetant une lueur bleutée sur mes cuisses nues sous ma nuisette légère.
Le silence de la maison est absolu. Seuls les légers grésillements de mon ordinateur viennent troubler l’obscurité feutrée de ma chambre. La lueur bleutée de l’écran caresse ma peau, révélant les courbes douces de mes cuisses sous ma nuisette fine.
Je glisse une jambe sur le matelas, l’autre pendant légèrement dans le vide. Mes doigts pianotent sur le pavé tactile, cherchant la vidéo qui saura me captiver ce soir. Un film pornographique . Une histoire de passion interdite, de regards brûlants et de corps qui se cherchent.
J’appuie sur lecture.
L’image s’anime. Une femme hésitante face à un homme puissant, son souffle saccadé sous l’emprise d’un désir qu’elle peine à contrôler. Il l’effleure, joue avec ses nerfs, attend qu’elle cède.
Je frissonne.
Mes doigts remontent lentement le long de mon cou, effleurent ma clavicule, avant de descendre plus bas, là où la chaleur s’accumule insidieusement. Mes jambes se resserrent sous le frisson qui me traverse.
Sur l’écran, l’homme approche. Sa main s’attarde sur la hanche de la femme, il la frôle sans la toucher vraiment, attisant son impatience.
Je mordille ma lèvre, mon corps réagissant à chaque geste, chaque murmure du film. L’excitation est une onde lente qui glisse sous ma peau, un appel silencieux qui ne demande qu’à être comblé.
Je laisse ma main explorer, doucement, en suivant le rythme de la scène. Mes doigts s’attardent sur la dentelle de ma nuisette, caressent le tissu fin qui couvre ma poitrine. Mon souffle se fait plus court.
Dans la vidéo, la femme ferme les yeux, prise dans la tourmente de son désir inassouvi. L’homme murmure quelque chose à son oreille, des mots que je ne perçois pas, mais qui me font frémir.
Ma main glisse sur mon ventre, plus bas, frôlant l’endroit où le besoin se fait plus intense. Une douce torture. Mon dos s’arque légèrement, mes cuisses se pressent.
L’envie monte, inexorable, mais… il manque quelque chose.
Quelqu’un.
Un poids, une présence, un souffle chaud contre ma nuque, des doigts plus grands que les miens qui parcourraient ma peau avec une lenteur insoutenable.
Mais il n’y a personne.
Seulement moi, ce manque lancinant, et cette chaleur qui refuse de s’apaiser.
Je ferme les yeux, laissant mon imagination combler l’absence.
J'imagine un homme à côté de moi. Son regard perçant, sa voix grave qui me trouble plus que je ne l’admets. Ses doigts longs et assurés qui effleureraient ma peau, s’attarderaient sur mes hanches, exploreraient chaque centimètre de mon corps sans aucune précipitation.
Je retiens un gémissement. Mais la réalité me rattrape. Je suis seule. Je m’enfonce dans mon oreiller, mon corps s’échauffe au fil de la scène. Mon esprit s’égare, et je m’imagine à sa place. À la place de cette femme, soumise à un désir incontrôlable, un frisson me traverse.
Mon souffle retombe peu à peu. Mes doigts s’immobilisent, la frustration toujours ancrée dans mon ventre. D’un geste las, j’arrête la vidéo. Je me laisse tomber sur le dos, fixant le plafond dans l’obscurité. Et je m'endors.
Dans cette immense maison, je suis la première à me réveiller. Toujours. Avant même que le soleil ne commence à réchauffer les vitres teintées, avant que le silence ne cède place aux bruits du quotidien.
J’ouvre les yeux lentement, encore engourdie de ma nuit trop courte. La chaleur de mon lit me retient un instant, mais la réalité me rattrape vite : je n’ai pas le luxe de traîner.
Je me redresse, passe une main dans mes cheveux emmêlés et jette un regard rapide autour de ma petite chambre. Elle est simple comparée au reste de la maison, mais c’est mon refuge.
Ma patronne, Madame Isabella, est malade. Très malade. Son cancer l’affaiblit de jour en jour, et je suis la seule personne sur qui elle peut compter. La seule qui veille sur elle au quotidien.
Je repousse mes draps et pose les pieds sur le sol froid, un frisson me parcourant l’échine. Mes mouvements sont lents, presque mécaniques. Direction la salle de bain attenante à ma chambre.
Devant le miroir, je passe de l’eau fraîche sur mon visage avant d’attraper ma brosse à dents. Mes gestes sont précis, méthodiques. Une fois prête, je prends quelques minutes pour me maquiller légèrement. Rien de trop voyant, juste de quoi rehausser mes traits : un trait fin d’eye-liner, un peu de mascara pour accentuer mon regard, une touche de gloss sur mes lèvres.
Puis, vient le moment d’enfiler mon uniforme.
Un ensemble noir et blanc, ajusté, plus court que nécessaire. Une jupe moulante qui s’arrête bien au-dessus des genoux, un chemisier blanc cintré avec un décolleté discret mais suggestif. Pas le genre d’uniforme qu’on imagine pour une domestique, mais ici, tout est dans le paraître. Je l’enfile avec une précision presque rituelle, lissant le tissu sur mes hanches, ajustant le col pour qu’il tombe juste comme il faut.
Un dernier regard dans le miroir. Parfaite.
Je sors de ma chambre et monte l’escalier qui mène à l’étage, mes talons résonnant légèrement sur le marbre. La maison est encore endormie, l’air chargé d’un calme presque irréel.
Arrivée devant la porte de Madame Isabella, je frappe doucement.
— Entrez, murmure-t-elle d’une voix faible.
J’ouvre la porte et me glisse à l’intérieur.
Elle est là, allongée dans son immense lit, son corps frêle perdu au milieu des draps luxueux. Son visage est pâle, marqué par la fatigue, mais ses yeux, eux, ont toujours cette lueur vive, cette élégance naturelle qui impose le respect.
Je m’approche.
— Comment vous sentez-vous ce matin, Madame ?
Elle esquisse un léger sourire.
— Comme chaque matin, ma chère… Vivante, mais fatiguée.
Je m’assieds sur le fauteuil près de son lit, posant mes mains sur mes genoux.
— Je suis là si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Elle hoche la tête, puis, après un court silence, ses yeux se perdent dans le vide, comme si elle réfléchissait à quelque chose d’important.
— Mon fils va bientôt rentrer d’Italie, dit-elle enfin.
Je fronce légèrement les sourcils. Son fils ?
Je ne l’ai jamais vu. Je sais qu’elle a un enfant, mais il n’a jamais mis les pieds dans cette maison depuis que j’y travaille.
Elle semble lire mes pensées et tourne légèrement la tête vers le mur à sa droite. Mon regard suit son mouvement, et c’est là que je le vois.
La photo. Accrochée au mur dans un cadre en argent, elle trône là, comme un souvenir figé dans le temps. Je me lève et m’approche. Le portrait est saisissant.
"Alessandro."
C’est le prénom inscrit discrètement sous la photo.
Un homme dans la vingtaine, au sourire charmeur, aux traits ciselés avec cette pointe de nonchalance qui lui donne un air irrésistible. Des yeux sombres, profonds, un regard à la fois intense et mystérieux. Il dégage quelque chose de captivant.
Un frisson me parcourt l’échine, sans que je sache pourquoi.
— Il arrivera ce soir , continue Madame Isabella d’une voix douce. Je veux que sa chambre soit prête.
Je me détourne de la photo, retrouve mon air professionnel et hoche la tête.
— Bien sûr, Madame. Je vais m’en occuper immédiatement.
Avant de sortir, je lui demande si elle a besoin de quelque chose d’autre.
— Non, pour l’instant, tout va bien.
Je m’incline légèrement et referme la porte derrière moi. Mais alors que je m’éloigne, l’image d’Alessandro me hante encore. Et une seule pensée traverse mon esprit. Quel genre d’homme est-il réellement ?
CHAPITRE 57 : ÉPILOGUE — Le calme après la tempêteUne villa isolée au bord du lac de Côme, en Italie. Une vaste demeure aux murs blancs, recouverte de bougainvilliers violets. Le ciel est clair, l’air doux. L’eau du lac scintille sous le soleil du soir.Nikolaï sort sur la terrasse pieds nus, un verre de vin rouge à la main. Il porte une chemise blanche déboutonnée au col, les manches retroussées. Son regard se perd à l’horizon. Derrière lui, Alina apparaît, vêtue d’une robe légère couleur crème, ses cheveux relevés en chignon décoiffé. Elle le rejoint silencieusement.Alina (doucement) : Tu as l’air ailleurs…Nikolaï (sourire en coin, sans la regarder) : Je suis exactement là où je veux être.Elle passe ses bras autour de sa taille, pose sa tête contre son dos.Alina : Tu te souviens de ce qu’on a traversé ? On dirait une autre vie.Nikolaï (se retournant, la regardant dans les yeux) : C’en est une. Celle-là, c’est la nôtre. Celle qu’on a gagnée… à la dure.Ils s’assoient ensemble s
Chapitre 56 La salle est faiblement éclairée par des lampes suspendues. Sur les murs, des cartes, des photos aériennes, des visages d’ennemis, des plans de bâtiments. Sur une grande table au centre, un plan en 3D de l’entrepôt fortifié du Baron.Nikolaï, debout, les mains appuyées sur la table, l’air grave. Autour de lui : Alina, Aleksandr, deux des meilleurs stratèges de leur organisation, et un ancien militaire expert en infiltration.Alina, habillée en noir, ses cheveux attachés en queue de cheval, prend la parole d’une voix calme mais assurée.Alina : (pointant la carte) L’entrepôt se situe ici, au port Est. Sécurisé sur tous les côtés. Caméras thermiques. Gardiens sur les toits. Entrée principale blindée. Mais il y a un point faible… ce tunnel ici. Un ancien passage d’évacuation condamné depuis cinq ans. Personne ne pense qu’il est encore fonctionnel.Nikolaï hoche lentement la tête.NIKOLAÏ: On entre par là. Silencieusement. Une équipe réduite, expérimentée. Une fois à l’intéri
Chapitre 54 : Le Supplice du TraîtreL’air était lourd dans cette cave aux murs de béton, imprégnée de l’odeur métallique du sang et de la rouille. Une ampoule suspendue au plafond oscillait légèrement, projetant des ombres mouvantes sur la silhouette affaissée du captif.Assis sur une chaise en fer, les poignets menottés dans le dos, le visage tuméfié et les lèvres éclatées, l’homme peinait à reprendre son souffle. Son torse se soulevait lentement, chaque respiration un supplice. Il sentait encore l’impact de la dernière droite qui lui avait brisé une côte.Devant lui, le Baron le toisait d’un regard froid, impitoyable. Son costard immaculé contrastait avec la crasse et le sang de cette pièce sinistre. Entre ses doigts, un cigare rougeoyant laissait s’échapper des volutes de fumée.— "Tu sais pourquoi tu es là ?" demanda le Baron d’une voix glaciale.L’homme releva péniblement la tête, fixant son tortionnaire avec un sourire en coin, teinté d’une insolence suicidaire.— "T’as besoin
Chapitre 53 : La Confrontation : Nikolaï et AlinaNikolaï fixait le plafond de sa chambre d’hôpital, l’esprit en ébullition. Il avait du mal à tout assimiler. Alina… Sa femme douce et fragile, avait pris sa place dans le chaos.Un léger bruit de talons claquant contre le sol attira son attention. Il tourna lentement la tête et la vit.Alina venait d’entrer dans la pièce. Ses cheveux étaient relevés en une queue de cheval serrée, son regard brûlait d’une intensité qu’il ne lui connaissait pas auparavant.Ils s’observèrent en silence quelques secondes.Puis Nikolaï fronça les sourcils et cracha d’un ton dur :— « Qu’est-ce que tu as foutu, Alina ?! »Alina sursauta légèrement, mais son regard ne vacilla pas.— « J’ai fait ce qu’il fallait. »— « Ce qu’il fallait ?! Tu réalises seulement dans quoi tu t’es mise ?! » Nikolaï grogna en serrant les dents. « T’as foutu en l’air le Baron, tu lui as volé des millions, tu as mis une cible sur ton dos ! Putain, Alina, tu te rends compte que t’as
Chapitre 52 : L’Ascension d’une Reine de GuerreLa nuit était encore sombre lorsque Alina franchit les portes du manoir, le visage marqué par la rage et la détermination. Son cœur battait encore sous l'adrénaline de l'attaque. Elle n'avait qu'une seule idée en tête : devenir plus forte.— « Rassemblez les meilleurs hommes. Immédiatement. » ordonna-t-elle d’un ton sec.Les gardes s’exécutèrent sans discuter. Ils avaient tous vu son évolution. Elle n’était plus cette femme fragile qu’ils avaient connue.Quelques minutes plus tard, dans une immense salle d’entraînement au sous-sol du manoir, Alina se tenait face à six de ses hommes. Elle retira sa veste, attachant ses cheveux en une queue-de-cheval serrée. Ses yeux brillaient d’une lueur féroce.— « Je veux être prête à tout. Arme, corps-à-corps, défense… Rien ne doit me surprendre.** »L’un des hommes, un ancien mercenaire du nom de Viktor, esquissa un sourire en coin.— « Tu veux vraiment qu’on y aille sérieusement, patronne ? » demand
Chapitre 51 : La Chute du Baron – Répercussions et VengeanceAlina quitta la banque avec une satisfaction froide. Le Baron venait de perdre tout ce qu’il possédait—une humiliation qu’il ne pardonnerait jamais.Dans la voiture, Aleksandr, assis à côté d’elle, croisa les bras et soupira.— « Tu viens de signer notre arrêt de mort, Alina. »Elle tourna la tête vers lui, un regard brûlant de détermination.— « Non, Aleksandr. Je viens de signer le sien. »Un silence pesant s’installa.— « Maintenant, il est acculé. Il n’a plus d’argent pour payer ses hommes, plus de pouvoir pour contrôler ses alliances. Il va être vulnérable. Et quand il sera au plus bas… je l’achèverai. »Aleksandr secoua la tête, mais il ne dit rien. Il savait qu’Alina ne reviendrait pas en arrière.Chez le Baron – La Descente aux EnfersLe Baron, assis dans son immense bureau luxueux, fumait un cigare lorsqu’un de ses hommes entra précipitamment.— « Patron... On a un problème. »Le Baron plissa les yeux.— « Quel genr
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