« Oui, oui ! » Vincent a hoché la tête en hâte. Comment il osait penser à la collaboration à cette heure-là ? Un moment plus tard, il a accompagné Louis à l’extérieur de la salle d’exposition de la Cité automobile. Apercevant Louis qui sest parti et qui a conduit la Panamera à toute vitesse, il a avisé que toute sa personne était déjà mouillée comme une soupe.« Monsieur Roux, je ne comprends pas, pourquoi vous... » L’administratrice était confuse. Elle y avait réfléchi cent fois mais elle ignorait encore pourquoi. Paf ! Vincent lui a donné un coup de gifle : « Je n’aurais jamais à vous expliquer ce que je fais ! Vous vous souvenez ? Qui ose divulguer ce qui s’est passé aujourd’hui, je le tuerai ! »...Louis, ayant quitté la Cité automobile, trouvait qu’il était un peu tard. Ainsi, au lieu de rentrer à la société, il a envoyé un texto à Christina. Puis il a fait un détour vers le magasin pour faire quelques achats qu’il apporterait à la maison.Quant à Christina, elle se sentait un
Marie aurait connu cet homme, même s’il avait réduit à néant, parce qu’il s’agissait de son beau-fils propre à rien, Louis !La Porsche n’était pas étrangère pour Marie, bien sûr, sa fille en avait une. Mais celle-ci était d’édition démarreur. Elle ne coûtait qu’à peu près sept cent mille d’euros.Mais la Panamera que Louis conduisait coûtait approximativement deux millions huit cent mille. Celle que Christina possédait ne comptait qu’une fraction dérisoire par rapport à celle-là.Quoique la famille Royal soit riche, il ne s’agissait que d’une famille de deuxième ordre. Normalement on avait de la peine à dépenser tant d’argent d’un seul coup pour acheter une voiture comme ça.Cette voiture était censée être la voiture de rêve de Marie. C’est pourquoi l’esprit ne lui est pas revenu tout de suite, même si c’était son beau-fils bon à rien qui y est descendu.Louis n’a pas pris ça à coeur. Il portait des achats à la main et est entré directement dans la maison. Il a salué Christina : « Je
Parallèlement, le portable de Louis, qui faisait la queue à la boutique de thé au lait, a sonné. La voix de Natalie en est sortie de l’autre bout : « Monsieur le président, la vidéo dans laquelle Jacques Royer a été chassé par la société est publiée sur internet. Des internautes nous interrogent pourquoi nous agissions si dur. Vous pensez qu’il faut organiser une conférence de presse pour l’expliquer ? »Louis a rapidement réfléchi, disant : « On garde l’enregistrement électronique de la vidéo surveillante qu’on a installée dans la salle de conférence ? Il suffit de le faire publier sur internet, au condition que le visage de la réceptionniste est masqué. »« D’accord ! » Natalie avait les yeux légèrement illuminés. Le président était le président ! Il arrivait à résoudre un problème tellement grave en deux mots. Pourquoi je n’y avais pas pensé ?Louis a raccroché avant que Natalie exprime son admiration. Il a pris ses verres de thé au lait et s’est apprêté à rentrer.Il avait abordé à
« Oui, c’est toi qui es le plus brillant. Tu viens de trouver un emploi et tu touches un salaire de cinq cent mille par an. Un gendre matrilocal comme lui ne comprendrait jamais ce que ça veut dire ! » La femme trop maquillée triomphait, avec un air disant qu’elle s’attachait à un compagnon très riche.Louis a jeté un coup d’oeil sur Simon avec curiosité. Il semblait que ce mec jouisse de certaines compétences.Simon a pris le regard de Louis pour la jalousie. Il a dit d’un air humble : « Tu n’irrites pas mon vieux copain. J’ai seulement un peu de chance. Mon cousin Luc Dubois est cadre supérieur de la Société d’investissement Boucher. Il y a déposé mon CV. La société m’a trouvé très bien et m’a recruté. Ça ne dit rien ! »En parlant de la Société Boucher, Simon s’est senti très fier. A N, on savait de toute façon, que la Société Boucher était sous la protection de la famille Boucher. Ce qui s’attachait à une famille puissante telle que ça, aurait un avenir promettant.C’était Louis q
« C’est un gendre matrilocal ! Il perd la face à tous les hommes ! »« Hélas, d’après la parole de ce beau garçon, ce gendre matrilocal a servi de complice du vendeur de vin pendant la réunion des anciens copains. Il n’a pas réussi à tricher, et il se vante d’épargner l’addition ? »« Comment ce type-là existe au monde ? Quelle honte pour les hommes ! »« Un bon à rien comme ça mériterait d’être écrasé par la voiture ! »Des discussions s’entendaient, ce qui a irrité Louis.J’étais tellement joyeuse aujourd’hui que je sorte pour acheter un thé au lait à ma femme. Comment était-il possible que je tombe sur cet idiot ? Pourquoi je n’avais pas aperçu que Simon était si nigaud ?Et la femme à côté, elle est devenue plus arrogante qu’avant.Au moment où Simon a compté reprendre sa narration, Louis a mis les deux verres de thé au lait par terre avec précaution. Par la suite, il a dit froidement : « Simon, en tant que mon ancien copain, ne sois pas trop gonflé, je t’avertis ! »« Comment ? Tu
Ces mots ont rendu Simon fier comme un coq. Il a allumé le haut parleur par exprès au vu et au su de tous. Puis il a dit à haute voix, après une toux : « Monsieur, vous voulez dire que le président de la Société Boucher a signé mon contrat de recrutement ? »À cette parole, les badauds qui avaient raillé, laissaient paraître tous une admiration.« Ce talent brillant vient de dire qu’il travaille pour la Société Boucher et qu’il gagne cinq cent mille par an.« Il est sûrement cadre supérieur et un bel avenir l’attend. »« On dirait qu’il est jeune et brillant ! La Société d’investissement Boucher est très exigeant, voire pour le recrutement des gardiens. Et elle demande beaucoup sur les connexions et ne recrute que les spécialistes par excellence du secteur. »Maintenant, beaucoup fixaient Simon d’un regard rempli d’admiration et de jalousie. Ils souhaitaient le remplacer avec un vif désir...La femme maquillée à l’excès qui était près de lui, l’a contemplé avec vénération. Comme l’hom
En apercevant que Louis y était entré, Marie avait la mine grise. Elle a crié des injures : « Bon à rien, tu es sorti si longtemps pour acheter peu de truc ! Tu accoucherais un bébé ? Tu ne sais pas que M. Royer a déjà envoyé des gens qui demandent à Christina et toi d’y aller ? »Les injures et la mine grise de Marie ont bien informé Louis que la coopération entre la famille Royer et la Société Boucher n’était pas bien arrangée. La famille Royer avait sans doute accusé Christina faussement, autrement Marie n’aurait pas eu le teint tellement affreux.Christina était aussi inquiète en ce moment. Une fois que Louis était rentré, elle n’avait pas le temps de prendre son thé au lait et elle est montée directement dans la Porsche de Louis. Louis n’a rien dit et a rapidement démarré la voiture.Bientôt, Louis, Christina et Marie sont arrivés à la villa des Royer.À ce temps-là, M. Royer a rassemblé tous les membres de la famille Royer qui avaient la parole.Tout le monde portait une express
M. Royer la regardait avec indifférence. Il s’ennuyait à expliquer. La branche à laquelle Christina appartenait, n’avait donné naissance qu’aux filles. Elle ne jouait pas de sa faveur. Et maintenant, elle a provoqué un ennui tellement grave. Il leur faisait beaucoup de grâce en les chassant seulement. Au moment où Marie et Christina n’y rien pouvaient et avaient l'esprit confus comme du chanvre emmêlé, Louis, qui avait assisté en spectateur sans intervenir, s’est levé lentement. Il a dit en souriant : « M. Royer, je trouve que c’est injuste, ce que tu fais. »Quoi ?Injuste ?Ah, ah, ah !Dans la salle de réunion dont l’ambiance était rigide, quelques personnes ne pouvaient pas s’empêcher de rire.Ce Louis était vraiment ridicule. Ici il s’agissait de quelle occasion ? Un gendre matrilocal avait la parole ? Et il parlait de l’injustice ? Il était fou ? Il se croyait faire un feuilleton ?M. Royer était toujours homme de parole. Ce qui était décidé par lui serait fait. Quand ce serait