Chapitre 3 : je n'ai rien vu

Harry 

Je commence à lui donner des coups de reins puissants, je me vide en quelques minutes, et me retire, pars me nettoyer.

sors vite d'ici et dis à la "grand-mère" (Lisa) de venir.

Elle arrange sa robe et sort , cinq minutes plus tard, la nouvelle rentre, le visage rouge, je ne sais pas si c'est ce qu'elle a vu qui en est la cause ou si ce sont ses pleurs.

Elle rentre, la tête haute, le regard abaissé, 

- Vous m'avez demandé monsieur ?

- Qu'est ce que tu as vu ici ?

Je lui demande de faire un pas dans sa direction, elle recule d'un pas, j'avance d'un autre pas, elle est toute petite à côté de mes 1,90 m. Elle essaie de reculer encore

- N'ose plus faire un pas, ne bouge pas, d'un pas.

Je m'approche, elle est vraiment petite , elle recule, j'avance jusqu'à ce qu'elle soit stoppée par la porte.

- Qu'est-ce que tu as vu ?

- Je n'ai rien vu monsieur.

Je m'approche plus, 

- Tu es sûr que tu n'as rien vu ?

- Oui monsieur , je n'ai rien vu .

- Cela vaut mieux pour vous, débarrasser le plancher que ça saute, tu ne verras et n'entendras rien en étant ici, si non c'est la porte, compris ?

- Oui, je peux vous apporter votre café ?

- Si vous êtes sûr qu'il est bon apportez-le, si ce n'est pas le cas vous le regretterez.

Elle sort pratiquement en courant. j'adore l'effrayer ainsi, c'est tellement gratifiant.

Harry 

- Oui, je peux vous apporter votre café ?

- Si vous êtes sûr qu'il est bon apportez-le, si ce n'est pas le cas vous le regretterez.

Elle sort pratiquement en courant. j'adore l'effrayer ainsi, c'est tellement gratifiant.

Elle revient deux minutes plus tard, avec deux bols de café, je prends le premier

qui est amer comme je les aime, mais froid, je jette le contenu sur ses vêtements minables , elle pousse, un cri d'indignation

- C'est froid

je prends le second, je goûte c'est au lait

je verse le contenu au sol.

- Prochainement apporte-moi le premier café, je veux que ce soit chaud. 

Et nettoie ça .

Elle ressort, du bureau encore en larmes.

C'est très drôle, c'est si facile de la broyer

Lisa

Je sors du bureau encore en larmes, comment peut-il être aussi méchant en étant si beau. C'est un salaud, un égoïste, sans cœur , ça s'annonce m'a

pour moi, comment travailler pour quelque qui vous déteste ? Je sens que je le dégoûte .

Il faut que j'arrête de pleurer à tout bout de champ. C'est lui faire trop plaisir de me voir pleurer .

Avec tout ça j'ai oublié de me présenter

Je m'appelle Elisabeth Dawson, j'ai 20 ans . Je suis orpheline de mère à ma naissance et de père il y a deux ans, à force de boire ,son foie s'est détérioré et il en est mort, me laissant d'énormes dettes, dû à des jeux de hasard, il me reste encore à payer 600 000 dollars.

j'habite Chicago depuis ma naissance.

Je n'ai jamais eu de vacances, ni de nouveaux vêtements, c'est les associations qui nous donnaient des habits

depuis mes dix ans monsieur père m'a toujours obligé à travailler, pour lui apporter un peu d'argent pour sa boisson

grâce à notre voisine qui avait une fille un peu plus âgée que moi donc je récupérerais les livres de sa fille et elle payait ma scolarité. Ma vie n'a été qu'une succession de malheurs et de misère.

Que le seigneur me vienne en aide, pour un changement dans ma vie. 

Seigneur par ta grâce, par ta miséricorde

regarde ton enfant qui souffre depuis sa naissance, je me mets en genou, je vous supplie mon Dieu , aidez-moi.

Je vais aux toilettes pour essayer d'enlever les tâches de café.

Je reviens dans mon bureau, pour voir arriver ma nouvelle amie.

- Mais qu'est ce qui t'ai arrivé ?

- j'ai apporté le café comme tu me l'avais conseillé, quand je suis arrivé, il était occupé avec son assistante.

- Ne dit plus rien, il est midi, nous allons profiter pour aller chez moi, tu vas bien te laver, et te changer.

Elle me conduit au parking, où est stationnée sa voiture ,

- Tu as une très belle voiture .

- Merci, c'est mon petit ami qui me l'a acheté . Même où je loge, c'est lui qui paye le loyer .

Elle monte et je fais de même, elle démarre, nous arrivons très vite devant une duplex, waouh, c'est vraiment beau

chez elle.

Elle ouvre son garage avec une commande, elle gare et descend, je l'imite, 

- C'est vraiment beau chez toi. vous avez combien de chambres ? C'est très grand

- Nous avons trois chambres, mais ça tombe bien nous cherchons une troisième personne pour cohabiter avec nous, si ça t'intéresse, je serai heureuse

de parler avec ma sœur.

- Bien sûr que ça m'intéresse, mais c'est pas trop cher ?

- Si on divise par trois, ce n'est pas cher.

Ma sœur est top-model , elle travaille dans une très grande agence, qui offre toujours des nouveaux habits, parfums 

chaussures et accessoires de mode, donc tu seras bien servi .

Elle me fait une visite guidée, trois grandes chambres, comprenant une douche chacune, un grand placard, une terrasse.

nous partons dans une grande chambre inoccupée, un grand lit baldaquin ,une 

grande armoire, elle me montre la douche, rafraîchis-toi le temps que j'aille chercher les vêtements.

Je me rince rapidement, et sors, je regarde le lit qui était vide tout à l'heure est actuellement rempli de vêtements

- Tu me fait penser à ma petite sœur que j'ai perdu quand j'avais douze ans, alors je vais te considérer comme telle, je veux que tu amenage avec nous, j'en ai parlé à ma sœur et elle est d'accord, elle n'est pas beaucoup en place, alors elle serait plus rassurée si tu venais vivre ici.

- Mais tu sais que je ne m'entends pas bien avec le PDG, rien ne prouve que je vais garder mon travail.

- Ne t'en fais pas, je vais t'aider pour que tout se passe bien.

Elle me tend un ensemble vraiment beau

qui va mettre en valeur mes belles formes, il faut que je suis bien foutue , si bien que parfois je parfois, je préfère mes habits négligés Pour ne pas attirer l'attention sur moi . Je suis brune, avec des cheveux mi-longs , une belle poitrine, de belles fesses.

- Porte ça .

Je l'enfile et me regarde, on dirait une autre personne, je suis vraiment belle.

- Ce n'est pas fini, elle prend des pinceaux et commence à me maquiller,

puis , elle me recoiffe en libérant mes cheveux qui était attaché en un chignon

Je me regarde et ne me reconnais pas moi-même, je suis élégante, belle, magnifique .

- Je ne sais pas comment te remercier, c'est le seigneur qui te remerciera pour moi.

- Ho arrêt, il n'y a pas de ça entre soeurs.

Elle m'apporte des flocons de parfums, cinq au total, 

- Tu peux changer de parfum comme de vêtements, selon tes humeurs.