Tous les chapitres de : Chapitre 501 - Chapitre 510

Charles est rentré à le maison. Antoine et les autres sont finalement partis. Christine s’est changée d’une robe qui allait parfaitement à sa ligne et s’est maquillée légèrement. Sa coiffure a également été soigneusement arrangée et ses longs cheveux raides noirs ont été transformés en boucles ondulées. Elle portait une robe blanche avec un col en V et un collier étincelant autour du cou. Tout cela lui allait parfaitement. Elle était charmante.Charles a regardé Christine et n’a pas pu s’empêcher de demander : « Chérie, est-ce que tu vas sortir ? » Christine a hoché la tête et a répondu : « Oui, Céline m’invite à dîner. Elle a tellement aidé la famille Cyr, alors je dois la remercier en personne. » Charles n’a pas encore dîné, donc il a demandé en souriant : « Puis-je aller dîner avec toi ? » « Oui, si tu veux, allons-y. » Christine ne l’a pas refusé.« Parfait. »À peine que Charles était entré dans la maison qu’il en est resorti sans même s’asseoir. Les deux sont sortis ensemble.

Jérémie, directeur du restaurant Joyeux, a jeté un coup d’œil aux agents de sécurité qui avait été jetés au sol, il était également furieux. Il a dit : « Gamin, tu es fini. Quelle que soit ton origine, tu as battu des gens à Joyeux, tu es complètement fini. » En disant cela, Jérémie a passé un coup de fil. Il a dit : « Boss, quelqu’un a créé des problèmes au restaurant. C’est Charles, le gendre matrilocal de la famille Cyr. »C’était l’heure du dîner et le restaurant était bondé. Mais il y a eu soudainement une bagarre, donc la plupart des clients qui étaient venus dîner avaient peur de souffrir et ont rapidement évacué les lieux. Seuls ceux qui étaient audacieux les regardaient de loin. Certains clients ont même sorti leur téléphone portable et ont secrètement filmé cette scène.Le visage de Christine était rempli d’impuissance et de désespoir. Charles était bon en tout, mais il aimait se battre. Elle savait bien que Charles se battait pour elle. Mais chaque fois qu’il rencontrait ce

Dans le restaurant Joyeux, seuls Tristan, Adèle et César étaient debouts, tous les autres étaient allongés sur le sol et ont crié de douleur.« Qu’est-ce qu’il est fort ! » César n’a pas pu s’empêcher d’haleter.« J’ai entendu depuis longtemps le nom du Dragon Noir. Je l’ai vu aujourd’hui. Il mérite vraiment sa réputation. » « Oui. » Tristan a également dit : « Il est trop fort, sa force est invincible dans le monde et ses compétences médicales sont les meilleures au monde. Il est bien digne d’être le Dragon Noir.» « Papa. » Adèle a regardé Tristan avec impatience.Tristan avait l’air impuissant et a dit : « C’est le Dragon Noir, que puis-je faire ? Allons-y, rentrons d’abord. » À l’extérieur du restaurant, Christine a refusé de partir. Elle connaissait la force de Charles, ils ne pouvaient pas du tout le battre. Elle craignait que Charles n’agisse à nouveau de manière imprudente et qu’il rende la famille Cyr dans une situation encore plus difficile. Juste au moment où elle était e

En voyant cette épée tranchante, Valentine était contente. C’était l’Épée Pénale, qui repensentait le droit pénal du Royaume Estival. Celui qui possédait cette épée pouvait juger n’importe qui, et celui qui la possédait était Charles. Bien que Charles ait démissionné, l’épée n’avait pas encore été reprise.« Qu’est-ce que c’est ? » En regardant l’épée dans les mains de Valentine, Christine n’a pas pu s’empêcher de demander.« Rien, ce n’est rien. » Valentine a secoué la tête, a rangé rapidement l’épée et l’a enveloppée dans le tissu noir.Elle ne pouvait pas prendre cette épée pour sauver Charles. Elle avait beaucoup appris et savait bien ce que représentait cette épée. Elle représentait le droit pénal et pouvait juger ceux qui ont échappé à la loi, elle pouvait juger ceux qui ne pouvaient pas être punis par la loi.Cette épée était extrêmement spéciale. Lors de la fondation du Royaume Estival, d’innombrables généraux avaient conjointement demandé l’abolition de cette épée. Néanmoins,

Hélène s’est approchée de lui. Elle a mis ses mains sur ses hanches et a réprimandé : « Si tu ne dis pas la vérité aujourd’hui, ne pense plus à entrer dans cette maison à partir de maintenant. » Charles a dit avec impuissance : « Maman, je n’ai vraiment rien fait. La police a fait une erreur. Si j’avais fait quelque chose de mal, la police aurait-elle pu me laisser sortir le lendemain ? » « Vraiment ? » Hélène n’arrivait pas à y croire. Ce qui s’était passé hier soir l’avait effrayée.Charles lui a répondu solennellement : « Oui. Au fait, la Rue d’Asclépios est très animée aujourd’hui. Maman, veux-tu y faire une balade ? » « Je ne suis pas d’humeur. » Hélène n’était pas de bonne humeur à faire une balade. Tant de choses étaient arrivées à la famille Cyr récemment. De plus, Simon était toujours à l’hôpital.« On en parle dans le salon. » Christine a traîné Charles dans le salon, puis a fermé la porte.Après être entré dans le salon, Charles s’est assis sur le canapé. Il a regardé Bay