A Través De Mi Ventana

Maria Genessia Rodriguez - a Commoner, a simple lady who finds magic in everything that's ordinary. But what if a sweet chance encounter will bring her the most important person not just in her life but to the whole Kingdom as well. "You made things beautiful and interesting, Genessia. You made me believe in pixie dust and dancing unicorns...hell, I now believe that every story starts with once upon a time and ends in a happily ever after." -H.R.H. An alternate reality story. Meet the Royal Family of the Philippines. Witness the glitz, glamour, intrigue, and drama as they find the elusive happily ever after.

Shifters have come out of hiding. Not all of them are good, but its not just the shifters that are the bad guys anymore. I was only 12 years old when the announcement came over the news. I had no clue what a shifter was but I knew I was just human. Until I met him. The only one who made me doubt everything I had been taught and made me realize what type of world we really live in.

Excerpt: "If possible, I'll make a deal with the devil and wipe you out of existence!" She yelled. "You will?" He asked, advancing on her, slowly and steady. She staggered backwards. "Y...yes, I would!" "Then I'll give you just that... Let's make a deal" "Uh?" "Who are you to make a deal with me?" She finally felt her back hit the cold wall, behind her. "I'm the devil you seek" ********** Anastasia Chadwick is a twenty years old, wayward and careless lady. All her life, she had been a slave to her own mother who turned her into something she never imagined herself to be, but she wished to find someone who loves her or someone she could love, before she dies, which is still a long journey. Ever since she was little, she had the fear of dieing and this had prompt her to live her life to the fullest, but when she came across Devi Notham, her life took a drastic turn and it got so hard to keep on with her wishes.

Deux mois après ma mort, mes parents, dans leur indifférence habituelle, se sont enfin souvenus que j’avais disparu quelque part au retour d’un voyage. Mon père, avec son éternelle impatience, a froncé les sourcils : « Je ne lui ai pas seulement demandé de revenir à pied, qu’est-ce qu’elle a à faire une scène comme ça ? » Mon frère, toujours aussi détaché et cynique, m’a envoyé un message sur son téléphone, un émoji suffisant accompagné d’un texte froid et sans âme : « Tu ferais bien de rester morte là-bas, sinon la fortune de ma grand-mère sera la mienne, et celle de Léa. » Je n’ai pas répondu. Qu’aurais-je pu dire de toute façon ? Ma mère, elle, a grimacé et a lâché d’un ton dur : « Dis-lui que si elle arrive à temps pour la fête d’anniversaire de sa grand-mère, je ne reviendrai pas sur le fait qu’elle a délibérément poussé Léa dans l’eau ! » Ils n’ont jamais cru que je n’étais pas sortie de ce sous-bois. Alors, après un temps, ils ont commencé à y creuser. Et c’est ainsi qu’ils ont fini par retrouver mes os, éparpillés au fond des bois...

“Fuck, Ada…”“Brad...oh, fuck... deeper... harder!” Ada’s shrill voice begged between breathy moans.The banging of the headboard against the wall intensified as Ann froze. No... it couldn’t be!Ann took a deep breath and nudged the door a little more. Her chest felt like it would explode as she held her breath whilst the crack widened.When it revealed her sister lying underneath her husband-to-be, her hands flew to her mouth to stifle the gasp of horror as her heart shattered instantly.As Brad roared his release inside her sister, Ada turned her head towards the door with a smirk.An icy chill descended over Ann as if a bucket of ice water had been thrown over her and she stood and stared, her eyes wide and mouth slightly open in disbelief.Ada lifted her hand and waved in Ada’s direction with a smug smile plastered on her face as Brad collapsed on top of her, kissing her neck tenderly.Is there anything you can do if your mate had sex with your sister?

Avant le divorce de Lyne Gauthier, quelqu’un l’a conseillée : « Il t’a trompée et a donné naissance à un enfant illégitime, c’est vrai, mais beaucoup d’hommes dans le monde entier font ces erreurs. Tu ferais mieux de faire preuve d’indulgence et bien élever son enfant. » Lyne, après le divorce, est devenue la femme la plus riche du monde, et beaucoup de jeunes hommes l’entouraient. Chaque fois que des rumeurs sur sa relation amoureuse se répandaient, la première personne à les dissiper était Julien Alber, son ex-mari. « Je crois en mon ex-femme, ces gens n’ont rien à voir avec elle. » Un jour, Lyne a été interviewée par un journaliste. « Madame Lyne, que se passerait-il si vous tombiez amoureuse de quelqu’un d’autre que votre petit ami ? » Lyne a répondu en souriant : « J’espère que mon petit ami sera plus indulgent, après tout, ce n’est qu’une erreur que font les femmes du monde entier. » Julien s’est écrié : « Je n’arrive pas à l’être ! »

On their engagement day, her fiancé cheated with her sister, and pushed her down the stairs even though she was pregnant!Five years later, Charmine Jiang made an impactful return, rooted with a deep hatred for scumbags. She was cold-hearted, ready to fight for the family money, eyed to become a supermodel. She was ready to stun the world.Although she was determined to make her own money for revenge, hordes of men still insisted on helping her, spoiling her.“Who offended my lady? Get the gears ready!”“AK999 ready, I’ve got the scumbags! Dad, Mom, please bring me a little sister!”

On a rusty iron lies a man. Alpha Xavier, the most notorious of the werewolves. He was asleep under the effects of the drug, unaware that I had shackled his hands and feet to the frame. I drew the curtain to isolate the and... Slowly removed my clothes. Today was the thirty-fifth day I had been forced to be a Slave in Sin Pack, and I had thirty-five years of my sentence remaining. I had to do this in order to get out of here as soon as possible. "Who?" He was perceptive. He woke up as soon as I threw the bra to the floor. "Who are you? Who the are you?" I didn't say a word and let him struggle with his arms and legs. His eyes were covered by his tie and he couldn't see me. "Is that you, Leila?" He couldn't see me, but he unexpectedly called out my name anyway. "Leila, is that you? Get off me!" I didn't say anything, I didn't have time to waste. All the Guards in Sin Pack were looking for him. But no one would have thought that a lowly Slave like me would dare to kidnap their fiercest Alpha. Kidnap for the sake of rape. I climbed on top of him, picked up his hard , and sat down hard without any hesitation. I felt the inside of my body being torn apart. Blood flowed down my thighs. I was no longer a . I crumpled onto him from the pain, tears falling onto his chest. "Alpha Xavier, please... Let me carry your child." There was no in my eyes, only the desire for revenge.

Jean-Baptiste Messier nous livre ici un recueil de nouvelles érotiques torrides à souhait. Toutes ont été saluées par les lecteurs à part une nouvelle inédite « Ma lecture de vacances » qui dénote par sa perversité assumée. On retrouve avec délice et dans l’ordre : Un train d’enfer, Femme-chatte, nuit féline, Le lys noir, La féministe et le peintre, Ma lecture de vacances, L’impossible retour, La femme du sculpteur, Sex-toy au journal télévisé, Ma femme avec une femme (vengeance de femme), Hotline. Il y en a pour tous les goûts et même plus que ça ! « Sexe, mensonges et vidéos… quoi de plus déroutant et excitant pour un homme viril de voir son épouse sexy succomber à une autre femme… Mouss va en faire les frais… entre désirs et jalousie… plaisirs érotiques… et quel dénouement… encore une fois la plume de Jean-Baptiste Messier m’aura transporté aux confins du plaisir » Valérie L « un coté doux rêveur qui se raccroche à son monde présent dans le regret de ses fantasmes. des dialogues codés, des sous-entendus qui ouvrent les portes de sensations tactiles « non sages ». Les mots effleurent puis enflamment notre libido. j’y ai trouvé beaucoup d’humour…L’Asie et la Scandinavie. Deux autres fantasmes, dans l’esprit masculin, ici revisités par Jean-Baptiste Messier. » Eva C. « La plume est franche, très masculine y compris dans la description de la scène sensuelle, cependant j’ai aimé ce vocabulaire cru sans être vulgaire, dernier instant pour deux hommes qui savent qu’ils vont mourir. Un français impeccable, un mystère qui reste entier car trop peu d’éléments dans un si court récit pour bien s’imprégner et pourtant il y a un petit quelque chose qui vous attire. » Samba

Alors que j'étais enceinte de neuf mois, le premier amour de mon mari est venue s'installer chez nous sous un prétexte quelconque. Chaque fois qu'elle me voyait, elle se portait la poitrine, feignant une profonde tristesse. Mon mari était convaincu que je faisais exprès de montrer ma grossesse pour la provoquer. « Magali est trop fragile pour avoir des enfants ! Et toi, tu te balades tout le temps avec ton ventre bien visible devant elle, tu l'exaspères ! Sans une leçon, tu n'apprendras jamais ! » Puis, il a donné l'ordre qu'on me ferme dans un grenier abandonné depuis longtemps, interdisant à quiconque de m'apporter de la nourriture. J'ai supplié, lui expliquant que l'échographie montrait que les jumeaux que je portais étaient trop gros et que le médecin avait recommandé que je sois admise à l'hôpital immédiatement. Mais il a éclaté de rire, comme si c'était une blague. Sa voix était aussi froide que la glace : « Tu as encore trois jours avant ton terme ! Ne viens pas jouer la victime ! Va dans le grenier et réfléchis à ce que tu as fait ! Voilà le prix à payer pour avoir embêté Magali ! » Les contractions étaient tellement douloureuses que mes ongles se brisaient, mais personne n'est venue m'ouvrir. Mes cris déchirants résonnaient dans le grenier pendant un long moment. Finalement, je suis morte en couches, avec mes deux enfants, dans ce sombre grenier. Trois jours plus tard, mon mari, buvant une soupe qui ne lui plaisait pas, s'est souvenu enfin de moi. Il a dit : « Demande à Jade de venir me préparer une soupe, puis envoie-la présenter des excuses à Magali. Si elle est sincère, elle pourra aller à l'hôpital pour accoucher. » Personne n'a osé lui répondre, car le sang, qui s'était répandu du grenier, avait atteint la deuxième marche du palier…