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Je réclame justice, après avoir passé trois ans en prison, puis relâchée après avoir prouvé mon innocence, je retrouve mes jumeaux, que j'ai cachés à leur père.À ma sortie, j' apprends que mon ex-fiancé , le père de mes enfants s'est marié à ma meilleure amie.À qui profitait mon incarcération ?

“I’m sorry, Donna… the baby didn’t make it.” Those words shattered her world. Her husband’s betrayal finished the job. Once Luna of Ironclad, Donna is cast aside—rejected, beaten, and sold like cattle. The people who once bowed before her now laughed at her humiliation. Even her closest servants turned against her. “Five years without an heir. She has no value left.” But on the auction block, when all hope was lost, a stranger’s voice cut through the crowd. “One million.” The hall fell silent. His presence makes even Alphas bow their heads. And when his eyes meet hers, Donna felt it— the undeniable pull of a bond she thought was lost forever after being rejected. “She is mine,” he declared. “My mate.” Broken. Betrayed. Branded again by fate. Donna’s story is just about to begin.

In the fifth year of being Mrs. Cloud, my brother-in-law passed away. My mother, stressed by the thought of my older sister spending her youth in widowhood, wanted her to have a child with the help of my husband. I refused outright, but my protests were useless. My mother brought people to block the door, and I was left to watch helplessly as my husband and my half-sister entered the bedroom together. "She's your sister. What's the harm in letting her have him?" I thought that my husband couldn't possibly do anything with my sister since she was family. I thought he would draw the line, out of decency, out of respect. However, as time passed, my heart grew cold. Only then did I realize that I was the only one who cared about this matter. While I clutched our daughter in my arms and cried in silent devastation, he was going at it with my sister.

This book blends the mafia, werewolf, and contracted marriage troop to make a striking romantic and suspense-filled novel. Death or marriage! Tells the story of Janelle Ronan and her breathtaking, childhood crush, Truce King, a man who had always been rumoured to be anything but ordinary. Fate spins their romance into action when Truce's father is murdered and he’s forced to take over his father’s place as the next Mafia Godfather of the Inner Circle. The story takes a mysterious twist when Janelle and Ronan fall in love, but there’s a stumbling block, Truce’s true identity which is shockingly out of the norm and far from human. Janelle is faced with the task of revenge for the murder of the two men she had called father and loyalty and love for the mysterious Truce King. Compiled with the betrayal from trusted ones and a long bloody fight for survival. Would Janelle Ronan the stunning mafia bride, survive? There are only two outcomes for her in this novel. Victory or insanity, and in its wake, death.

La veille du mariage, l'amie d'enfance de mon fiancé m'a percutée et j'ai eu une hémorragie grave, ma vie a été mise en danger. Ma meilleure amie lui a téléphoné, mais mon fiancé n'a pas répondu. Il a seulement laissé un message. « Élise a attrapé un rhume, je n'ai pas le temps. » Mon amie a ensuite appelé son petit ami, un acteur très influent. Mais il a dit : « Élise est malade, c'est à ce moment-là qu'elle a le plus besoin de moi. » Après avoir été opérée et réanimée toute la nuit. Nous nous sommes regardées dans la chambre d'hôpital et avons dit d'une seule voix : « Je ne veux plus me marier. » Mais nous ne nous sommes pas attendues à ça : Quand les deux hommes ont reçu l'annonce de l'annulation du mariage, ils ont complètement perdu la tête.

J'étais mariée à Victor Hérault pendant huit ans. Il a ramené quatre-vingt-dix-neuf femmes à la maison. Et ce soir, je regardais la centième. Une fille jeune, arrogante. Elle m'a jeté un regard provocateur avant de se tourner vers lui : « Victor, c'est ta femme inutile, celle-là ? » Il s'est affalé contre le dossier de son fauteuil et a répondu d'un ton paresseux. « Oui. » La fille s'est approchée de moi, m'a donné une tape sur la joue et a souri : « Ce soir, tu vas découvrir ce qu'une vraie femme sait faire ! » Ce soir-là, j'ai été forcée d'écouter leurs gémissements toute la nuit, dans le salon. Le lendemain matin, comme si de rien n'était, Victor m'a demandé de préparer le petit déjeuner. Je l'ai refusé. Il semblait oublier que notre mariage n'a jamais été d'amour, mais un simple contrat. Et aujourd'hui, c'était le troisième jour avant la fin de ce contrat.

“Spread those thighs, little one.” His voice was a low growl as his hand closed around her hips. “Y-yes, Daddy,” she gasped, trembling as he dragged her down to his mouth. “Mmmhh… Daddy’s good girl,” he muttered darkly against her slick heat. “From this moment, your body, your screams, your soul—belong to me.” **************************************** He bought her with blood money. He keeps her with chains and silk. She swears she’ll never bend, but in his world of shadows and sin, defiance only feeds his hunger. In Naples, he’s “Il Diavolo”—the devil every man fears. To her, he’s the ruthless savior who dragged her from an auction block straight into hell. And hell has never felt so addictive. Claimed by the Don is a dark mafia romance laced with filthy dominance, dangerous obsession, and a love story sharp enough to cut.

J'ai fui ce monde. Mais un coup de fil m'a ramenée… aux motos, au sang, et à lui. Kendrick. Le bras droit de mon frère. Froid, balafré, mortel. L'homme que je n'aurais jamais dû désirer… mais celui qui me faisait vibrer à chaque fois qu'il me regardait. Il m'a plaquée au sol d'une main, sa voix un grognement sourd. « Tu te crois en sécurité, petite ? Le seul endroit où tu seras jamais en sécurité, c'est sur ma bite. Je vais te baiser si fort que tes cris résonneront dans la chambre de ton frère. » Je sais que je devrais le repousser. Je devrais lutter. Mais quand ses doigts se sont refermés sur ma gorge, que sa bouche a pris la mienne et que sa bite s'est frottée contre moi, je n'ai rien pu faire d'autre que gémir comme une chienne pour en avoir plus.

Ma mère m'a demandé d'organiser un voyage en famille. Alors que nous contournions une zone dangereuse, ma petite sœur Lydia et moi avons été attaquées par des loups errants. Pour la protéger, j'ai intercepté leurs griffes et ai été projetée dans une mine d'argent. Le dos déchiré par la chute, une profonde blessure m'a traversée jusqu'aux os. Et ma jambe droite, elle était enfoncée dans des éclats d'argent. La toxine m'empoisonnait lentement, brûlant à vif moi et ma louve. Elle gémissait de douleur, sur le point de mourir. Mais ma mère, en tant que guérisseuse en chef de notre meute, avait réuni tous ses camarades autour de Lydia, pour s'occuper de ses égratignures légères. Je pleurais et la suppliais de me soigner en premier : « Maman… Le poison de l'argent va me ronger le cœur, je ne tiendrai plus longtemps... » Elle s'est retournée, l'air exaspéré, et a hurlé : « Tu essayes encore d'attirer mon attention à ce moment ? Tu sais que Lydia a failli se faire lacérer le visage par ces griffes d'argent ? Notre meute n'a jamais eu une louve aussi cruelle que toi ! » À ce moment-là, j'ai entendu le dernier cri de ma louve, qui me disait adieu. Finalement, je me suis endormie dans le froid, sans jamais me réveiller...

Mon frère Dylan, parce que sa maîtresse Rosalie avait exprimé le désir d'assister à une pluie de météores, avait emmené tous ses gardes personnels à la campagne pour lui organiser ce spectacle romantique. Cette nuit-là, des anciens rivaux qu'il avait écrasés en ont profité pour s'introduire chez nous, bien décidés à exterminer toute la famille en guise de vengeance. Ma mère m'a protégée de son corps, subissant des blessures mortelles. J'ai appelé Dylan en pleurs, le suppliant de revenir. Heureusement, il a fini par rentrer avec ses gardes. Les intrus étaient alors capturés, mais des nouvelles horribles nous sont parvenue de la campagne : Rosalie s'était suicidée, laissant une lettre m'accusant d'avoir volontairement éloigné Dylan, ce qui l'avait conduite à être torturée par des ennemis. Dylan a brûlé froidement sa lettre d'adieu tout en murmurant : « Ce n'est pas grave. » Plus tard, notre père, déçu par son comportement, m'a promis la direction de l'entreprise familiale. Mais le soir même, après le banquet de célébration, Dylan est entré dans ma chambre et m'a assassinée. Ses derniers mots ont glacé mon sang : « Une personne aussi malfaisante que toi méritait de mourir ! » « C'est toi qui devrais être mort ! L'héritage me revient de droit ! » Je suis morte les yeux grands ouverts, pleine d'amertume. Quand j'ai rouvert les yeux... j'ai entendu à nouveau les intrus défoncer la porte d'entrée...