C'mere Meaning

Je regardai le téléphone cherchant à comprendre ce qui n’a pas marché. On s’entendait tellement Yama et moi. C'était ma meilleure amie et maintenant c’est limite si on peut se parler quelques minutes sans que ça vire à la dispute. Je l’ai encouragée quand elle sortait avec son mari alors elle pourrait en faire de même pour moi. J’ai quand même le droit de passer du temps avec Salif autant qu’elle en passe avec son mari. Pourquoi les gens ne peuvent pas comprendre que j'aime cet homme et que j'ai besoin de lui ? »

I would always wonder why life seems to put me in more complicated situations? It all started with my family in debt , I was dying under the huge student loan . Which had only one solution get married to the Billionaire Alexander Kane . In return he saves me. Well fast forward I’m now in a loveless marriage with the billionaire who treats me just like a mere thing. As if that wasn’t enough….fate intervened it all changes when I got a stalker watching my every moves. Only realize it was my first lover back in high school. I escaped him because of his obsessive nature . Now he’s back to claim me when I’m married to the ruthless billionaire .

As a vampire, I once saved a stray wolf pup, my mortal enemy, from the streets. Little did I know that ten years later, he would lead his pack of wolves to destroy my clan and trap me in an ancient castle. Seeing my cold demeanor, he brought in a human woman as a substitute. The substitute, arrogant from her favoritism, treated me like a mere imitation, mocking me as though I was a seductress trying to mimic her appearance. She slashed my face with silverware, crushed my limbs with her boots, and then presented my bloodied form to Alex. "Honey, that wretched woman is using black magic to impersonate me. Look, she even has the same birthmark on her face!"

For three years, I played the role of a dutiful wife to my husband, Williams, until I found out I was just a mere substitute for his first love— the woman he truly loved.  When she returned, he threw divorce papers at me as if I meant nothing.  And when I refused to sign them, I was forced to donate my blood to his precious mistress, causing me to lose a child I never even knew I was carrying. Shattered and broken, I walked away with one purpose— avenging the death of my unborn child.  He realised his mistake, but it was too late. I was no longer his substitute, but a future he'll never touch.  “You were right, Williams. I was a substitute you never deserved.” 

"When Sophia's father falls deeply in debt to the ruthless billionaire Marcus Thompson, she's forced to pay the price. Taken from her home and held captive in Marcus's opulent mansion, Sophia must navigate the treacherous world of wealth and power. But as Marcus's gaze lingers on Sophia's beauty, he begins to realize that his desire for her goes far beyond mere possession. He's falling deeply in love with her, and will stop at nothing to make her his own. As Sophia struggles to escape her gilded cage, she must confront the darkness of Marcus's past and the depths of his obsession. Will she be able to break free from his grasp, or will she become the billionaire's captive forever?"

After being kidnapped by and forced to marry the man who raided and massacred her whole pack, Denae Lark found that her misfortune didn't end there... For she was cruelly mated to his son; Zaid Dragun. In a pack ruled by an alpha who treated his wives like chattels; mere possessions, she was to only stay true to him, but she found herself risking her life to meet up with his son. The temptation was like fire burning away at Denae's skin and she easily gave in, falling in love with the boy unconditionally... Her only downfall was that despite the matebond that pulled insistently at his heart strings, this boy did not love her back...she was nothing but a convenient whore to him...as well as his father's favorite wife.

Amidst the darkness, fire ignited. A bloody journey to the reality. Altara live a peaceful life, thought danger is a form of a mere accident. She's to decide her own fate and her own purpose, especially on what to believe: To see to herself the reality! Little did she know, the walk to darkness fill with hot and strange; with bombing and exploding that so good to the extreme! She fall in the arms of a hottest man. And her affection become a dangerous one... She thought on escaping. But how, when his alluring eyes drowned her, and deepened her dangerous affection? Will her despise to the bad guys be the one to take over, or his deadly ways so good to even thought of resisting? P.s. You can support the writer by leaving reviews to the story.

« Il n'est pas à toi ! » affirme-t-elle d'un air assuré et inébranlable. « De qui est-il l'enfant, alors ? » je m'interroge, mon regard se posant sur le garçon aux yeux bleus perçants comme les miens. Céline plisse les yeux, les mains serrées. « Il est à moi ! » « Et son père ? Qui est-il ? » Je baisse les mains paresseusement et la regarde intensément. « Ce ne sont pas tes affaires. » dit-elle sur la défensive. « Ça veut dire qu'il est à moi et que je le prends », conclus-je avec un sourire et je passe devant elle pour aller chercher l'enfant qui s'assoupit déjà. « Non, non, non ! » scande Céline en me barrant le passage. « S'il vous plaît, ne le prenez pas. Je vous en supplie ! » **** Après avoir réalisé qu'elle était enceinte, ce qui ne faisait pas partie du contrat qu'elle avait passé avec le milliardaire Bryan Martinez, Céline a quitté son manoir avant la fin du contrat. Lorsqu'ils se retrouvent et qu'il découvre le secret qu'elle lui cachait, il décide de la punir en prenant la garde de l'enfant. Que se passera-t-il lorsque le bébé voudra sa mère près de lui ? Ces retrouvailles permettront-elles de raviver l'amour qui les unissait avant son départ ? Quelle douceur la vengeance de Bryan apportera-t-elle à Céline ?

Aujourd’hui, c’est notre troisième anniversaire de mariage. Le dîner est prêt… mais il n’est jamais rentré. Notre union n’a jamais été faite d’amour, juste d’un malentendu. Trois ans sans enfant, une belle-mère qui ne m’a jamais acceptée, un mari distant, et pourtant… je l’aime encore. Il y a trois jours, j’ai appris que j’étais enceinte. Ce soir, j’espérais lui annoncer la nouvelle. Mais une notification a tout brisé : une photo de lui, en train d’embrasser ma sœur. J’ai reconnu le lieu. J’ai pris mes clés. Je suis rentrée seule. J’ai passé la nuit à pleurer. Dans la chambre d’à côté, ils ont fait l’amour. Et moi, recroquevillée sur un canapé, j’ai touché le fond. Le matin, c’est sa mère qui m’a réveillée avec un seau d’eau glacée. Elle m’a hurlé que je n’étais plus sa belle-fille, que je n’avais plus rien à faire ici. Alors je suis partie , trempée, humiliée, brisée. Mais dans ma poche, il y a ce papier froissé. Le prénom d’un inconnu. Un regard posé sur moi, hier soir. Le seul qui m’ait vraiment vue. Peut-être que c’est là que tout commence.

La nuit précédant notre 17 èmes mariage, mon mari mafieux m'a promis que cette fois-ci, la cérémonie se déroulerait sans encombre. « Je te promets que tout se passera bien cette fois-ci, Vicky », sa voix était solennelle, « j'ai dit à Joanne que demain, quelle que soit l'importance de l'affaire, elle devra se débrouiller toute seule ». Le bébé dans mon ventre avait cinq mois. André et moi étions ensemble depuis trois ans, j'étais enceinte de cinq mois et la cérémonie de mariage n'a pas encore eu lieu. Car avant cela, il avait l'annulée seize fois. A chaque fois, c'était à cause de sa sœur adoptive Joanne. La première fois, elle a dit qu'elle avait de la fièvre, et je suis restée avec lui toute la nuit à l'hôpital sans changer ma robe de mariée, et j'ai découvert qu'elle n'avait qu'un léger rhume. La deuxième fois, elle a dit qu'elle avait des problèmes cardiaques, et André m'a laissée pour y aller, mais elle était en fait en train de prendre le thé avec une amie. La troisième fois, elle a dit qu'elle avait peur du tonnerre, et il m'a quittée au milieu de ses vœux, me laissant seule face à une maison pleine. Mais cette fois-ci, c'était différent. Il y a trois jours, j'ai reçu une lettre du nord de l'Italie, qui était une invitation à revenir de la part de mon père, l'ancien parrain de la famille Durant, lui-même. S'il partait pour Joanne pour la dix-septième fois, je serais partie pour de bon.