Isim Ma'rifah

Mon compagnon, ainsi que mon frère, m'ont détestée pendant douze ans. Ils croyaient toujours que j'avais volé les recherches sur les herbes médicinales de leur précieuse Sarah, et que je l'avais harcelée pendant douze ans pour la réduire au silence. Lors de ma cérémonie de marquage, ils ont dévoilé mes « crimes » au monde entier. « C'est une brute qui maltraite les membres de sa meute, et une voleuse, qui a volé les formules d'herbes de Sarah ! » Mais Sarah a souri à travers ses larmes : « La formule n'a plus d'importance. » « Du moment qu'elles peuvent sauver notre meute du poison d'argent, peu importe qui les a créées. » « Je lui ai déjà pardonné. » Elle est devenue l'ange miséricordieux de la meute. J'ai été condamnée par tous, jusqu'au jour où le loup-garou que j'avais sauvé grâce à mes remèdes a versé de l'eau argentée sur ma tête. Et dans mon désespoir, j'ai entraîné Sarah dans la mort avec moi. Quand j'ai rouvert les yeux, j'étais de retour en deuxième année de lycée. Sarah tenait une petite lame en argent et se tailladait le bras tout en me demandant avec un sourire : « T'as réfléchi à comment t'allais t'excuser ? » Quelque chose en moi a soudain craqué. Ma puissance d'Alpha a jailli, la forçant à se mettre à genoux. J'ai arraché la lame : « Laisse-moi te montrer ce qu'est une vraie coupure. »

Le jour de la cérémonie d'union, mes parents ont soudainement ramené mon compagnon à la maison et ont déclaré que, finalement, son rituel de marquage aurait lieu avec une autre. « Ta sœur a été empoisonnée par du venin de loup, il n'y a aucun remède. Son dernier souhait est de devenir la compagne de David. » « Tu es sa sœur, montre un peu de compassion, aide ta sœur, s'il te plaît. » Mon compagnon m'a aussi suppliée à côté : « Ne t'inquiète pas, ce n'est qu'une formalité. Une fois qu'elle sera morte, toi et moi resterons les seuls, les véritables compagnons. » J'ai refusé, mais mes parents m'ont alors forcée à boire une potion pour bloquer le lien mental, m'ont attachée, puis jetée dans la mine d'argent derrière la villa. « Une fois la cérémonie terminée, nous viendrons te détacher. » Mais à peine étaient-ils partis qu'un loup-garou voyou cruel m'a attaquée. Il m'a torturée de toutes les façons possibles avant de me tuer. Ce n'est que lorsque mon corps a commencé à pourrir qu'ils se sont souvenus qu'il restait encore moi, ligotée au fond de la mine d'argent.

« Mademoiselle Lebrun, nous avions suivi vos instructions à la lettre : le corps ‘mort' vous ressemblait en tous points. Nous devions le livrer dans dix jours, directement sur le lieu de votre mariage avec Monsieur Humbert. » Au bout du fil, la voix calme de l'employé procurait enfin un peu de répit à Doriane Lebrun, dont les nerfs étaient à vif depuis des semaines. « Parfait, je vous remercie », répondait-elle. « Tout est en ordre, rassurez-vous. Aucune suspicion n'est possible : l'identification sera indiscutable. » Doriane sentait alors son souffle lui revenir, comme si un poids immense se soulevait. Elle prenait encore quelques minutes pour confirmer les derniers détails de l'opération avant de raccrocher. Puis, recomposant son masque de sérénité, elle franchissait la porte de la loge privée. À l'intérieur, les rires et les conversations s'éteignaient instantanément à son entrée, comme coupés au couteau.

Parce que la fille de son premier amour avait été enfermée dans la voiture et avait succombé à un coup de chaleur, mon père, dans un accès de rage irrationnelle, m’a attachée et enfermée dans le coffre de la voiture. Ses yeux, dénués de toute pitié, se sont posés sur moi avec un dégoût palpable. « Je n’ai pas de fille aussi vile que toi », m’a-t-il lancé, « reste ici et paie le prix de ta faute ! » Je l’ai supplié de me pardonner, ma seule requête étant de pouvoir respirer l’air frais à nouveau. Mais sa réponse était aussi glaciale que l’acier : « Personne ne peut la laisser sortir à moins qu’elle ne soit morte. » La voiture, garée dans l’obscurité du garage, offrait un silence lourd. Pendant des heures, puis des jours, mes appels désespérés se perdaient dans l’indifférence totale du monde extérieur, ne pouvant pas percer l’épaisse solitude de cet endroit. Le temps s’est étiré dans une lente torture, et ce n’est qu’au septième jour que mon père, enfin, s’est souvenu que, malgré tout, j’étais sa fille. Mais il ignorait alors que j’étais déjà morte, engloutie par l’obscurité de ce coffre, mon âme éteinte à jamais...

Lorsque le criminel me torture à mort, je suis enceinte de trois mois. Mais mon mari Marc – le détective le plus éminent de la ville – est à l’hôpital avec son premier amour, Emma, l’accompagnant pour son examen médical. Il y a trois jours, il m’a demandé de donner mon rein à Emma. Lorsque j’ai refusé, en lui expliquant que j’attendais notre enfant depuis deux mois, son regard s’est glacé. « Arrête de mentir », a-t-il grondé. « Tu es juste égoïste, tu essaies de laisser Emma mourir. » Il s’est arrêté sur l’autoroute sombre. « Descends », a-t-il ordonné. « Rentre chez toi à pied, puisque tu es aussi sans cœur. » Je suis restée là, dans l’obscurité, et j’ai été kidnappée par le criminel vengeur, que Marc avait autrefois emprisonné. Il m’a coupé la langue. Avec une satisfaction cruelle, il a utilisé mon téléphone pour appeler mon mari. La réponse de Marc a été brève et froide : « Peu importe ce que c’est, l’examen médical d’Emma est plus important ! Elle a besoin de moi maintenant. » Le criminel a laissé échapper un rire sombre. « Eh bien, eh bien… On dirait que le grand détective valorise plus la vie de son ex que celle de sa femme actuelle. » Lorsque Marc arrive sur la scène du crime, des heures plus tard, il est horrifié par la brutalité infligée au cadavre. Il condamne avec colère le meurtrier pour avoir traité une femme enceinte avec autant de cruauté. Mais il ne connaît pas que le corps mutilé devant lui est celui de sa propre femme – moi.

Après que j'ai été diagnostiquée d'un cancer de l'estomac, mon mari a cherché des médecins partout pour me sauver. Je croyais que c’était parce qu’il m'aimait profondément. Mais une fois que ma maladie s’est stabilisée, il m'a enlevé un de mes reins, celui du côté gauche, pour le donner à son premier amour, qui était dans le coma depuis deux ans. Devant moi, il l’a embrassée. « Je vais enfin lui rendre ce qu’elle te doit. » « Tu vas t'en sortir. » Mais moi, j’étais déjà si fragile, et cette ablation m’a finalement coûté la vie. Lui, il est devenu complètement fou, hurlant aux médecins dans ses larmes : « Vous avez dit qu’elle ne mourrait pas, non ? »

Ditantang minum oleh temannya, Ziea Mahendra berakhir mabuk dan dipaksa melakukan one night stand oleh pria tak dikenal. Saat sadar dan mendapati dirinya tanpa busana satu ranjang dengan pria yang masih tertidur membelakanginya, Ziea merasa sangat hancur. Akan tetapi perasaan hancur tersebut harus berubah menjadi ketakutan dan bencana saat Ziea melihat wajah pria yang telah menodainya. Reigha Abbas Azam, sepupunya yang sangat dingin, cuek dan kejam, orang yang paling Ziea takuti di dunia ini. Karena takut pada Reigha, Ziea tak meminta pertanggung jawaban dan memilih menghindarinya. Namun, ternyata Reigha adalah calon suami yang disiapkan oleh ayahnya untuk Ziea, dan Reigha sengaja pulang dari luar negeri hanya untuk menikahi Ziea.  "Kak Reigha sama dengan tembok bernyawa. Aku tidak mau menikah dengan pria dingin, cuek dan otoriter seperti Kakak. Lagipula Kakak terlalu tua untukku, usia kita terpaut jauh." "Yakin? By the way, malam itu aku tidak memakai pengaman dan benihku keluar di dalammu, Ma Cherie." Saat itu juga wajah Ziea memucat!

Banyak konten 21+ Harap bijak dalam membaca, dan tidak untuk di tiru! Ini hanya fiksi. Aku tak tahu, apakah ini cinta atau nafsu? Hanya karena kami sering bertemu dan saling bertukar fikiran, saling mendengarkan keluh kesah, lambat laun perasaan itu tumbuh dengan sendirinya, tanpa aku sadari kami berhubungan di belakang mereka. Aku tau dia kakak ipar ku, tapi kami tak bisa mengendalikan diri, sehingga kami, menghianati pasangan kami satu sama lain, ma'afkan aku kak Novi! ma'afkan aku juga Suamiku, aku telah mengkhianati kalian. Ketika kalian sedang bekerja.

"Ma ... Stella tak mencintaiku, aku juga tidak pernah bisa mencintainya. Kami tidak akan bisa bersama." Bian Dominic. "Kalau begitu, berikan Mama cucu yang berasal oleh kalian berdua!" Calista Dominic. Stella Danasya Gracia harus menekan rasa sakit di hatinya demi menuruti permintaan ibu mertuanya yang menginginkan cucu. Pernikahan tanpa cinta yang dilakukannya dengan Bian Dominic, sudah berlangsung lima bulan dan itupun karena permintaan ibu mertuanya juga. Bian adalah anak tunggal, sekaligus CEO dan juga pewaris tahta kekayaan keluarganya. Dia sudah pernah menetapkan takkan pernah menghabiskan waktu layaknya suami istri dengan Stella. Namun, akibat permintaan ibunya, dia menuruti permintaan istrinya dan mulai melakukan percintaan itu. Mampukah dia menghadapi suaminya yang perlahan-lahan mulai terasa posesif tanpa dia pahami apa sebabnya?

Sebuah pesan masuk ke dalam gawaiku, tak ada firasat apapun saat itu. Dengan santai pesan itu kubuka. Sebuah foto yang dikirim oleh nomor tak dikenal. Mataku membulat sempurna, tak percaya dengan apa yang kulihat, hingga berkali-kali aku memperhatikan bahkan sampai men-zoom foto itu sedetail mungkin, takut jika mata ini salah menyimpulkan. [Maafkan saya, Bu!] tulis si pengirim foto. Aku tak menghiraukan pesannya, butir demi butir air mengalir dari sudut mata, mengaburkan penglihatan. Menandakan bahwa foto itu membuat luka didalam sana. Sebuah foto resepsi pernikahan yang berlatarkan salah satu pemandangan di Puncak, tertampang nyata, sangat indah begitu pula dengan senyum dari kedua mempelai yang terlihat sempurna dan bahagia. Mas Arya, pengantin laki-laki yang kini sedang bersanding dengan seorang wanita muda dan cantik itu adalah suamiku. Suami yang sudah sepuluh tahun ini kuhaturkan bakti kepadanya. "Ma, Mama kenapa menangis?" cepatku susut air mataku dengan ujung jari, dan mematikan ponselku agar gambar yang begitu mengiris hati itu tak sampai terlihat oleh Alisa, putriku. "Ga, sayang. Mata Mama kelilipan," ungkapku asal. Kuraih tubuh mungil Alisa dalam pelukan, gadis lima tahun ini begitu sangat berarti bagiku. "Kak Alif mana sayang?" tanyaku mengalihkan pembicaraan. "Ada, Ma lagi di kamar, muraja'ah," Aku tersenyum getir. 'Mas, kita sudah punya putra dan putri yang begitu membanggakan, aku juga meninggalkan karierku demi berbakti kepadamu, kenapa masih saja curang dibelakang ku?' bisikku dalam hati. "Ma, Ayah kapan pulang?" Alisa bersandar didadaku, tanganku terulur membelai rambut panjang nan hitam milik Alisa. "Baru juga dua hari, Ayah pergi Nak, udah rindu aja," ujarku menggoda sambil menekan emosi dihati. Dua hari yang lalu, Mas Arya pamit akan ke Kalimantan mau mengurus bisnisnya. Aku yang tak begitu mengikuti perkembangan perusahaan, percaya saja padanya. Tak mungkin rasanya, Mas Arya mengkhianatiku dia lelaki yang baik, sholeh, penyayang dan selalu romantis. Namun, apa yang terjadi benar-benar diluar bayanganku