Union Cave

A century ago, the war between humans and beastkin nearly destroyed the world. To restore order, the five major beast clans—Dragon, Tiger, Leopard, Serpent, and Peacock—formed an alliance with humanity. Under the Treaty of Balance, every hundred years, a union between humans and beastkin must occur. The first child born of this union—a half-beast—will inherit the throne and rule over the Human-Beast Alliance. In my past life, I chose Max, the Dragon Clan's heir. Known for his unwavering devotion and noble bloodline, he seemed the perfect mate. I gave birth to the first half-beast child of the generation—a rare white dragon. Our son was named the next ruler, and Max rose to unmatched power. My half-sister, Alice, chose the Tiger Clan—seduced by beauty, blinded by arrogance. Her husband betrayed her, and she was left barren and disgraced. She envied me. Hated me. One night, she drugged me, set our home on fire, and watched as the flames devoured me and my son. But fate was not done with me. When I opened my eyes, I had returned to the day of the choosing ceremony—the moment that would decide our mates, our fates, and the future ruler of the realm. Only this time… Alice had already climbed into Max’s bed. She had been reborn too. But what she didn’t know was this: Max is not the devoted prince she remembers. He is brutal. Possessive. A beast of blood, not love. And this time, I won't make the same mistake.

Aujourd’hui, c’est notre troisième anniversaire de mariage. Le dîner est prêt… mais il n’est jamais rentré. Notre union n’a jamais été faite d’amour, juste d’un malentendu. Trois ans sans enfant, une belle-mère qui ne m’a jamais acceptée, un mari distant, et pourtant… je l’aime encore. Il y a trois jours, j’ai appris que j’étais enceinte. Ce soir, j’espérais lui annoncer la nouvelle. Mais une notification a tout brisé : une photo de lui, en train d’embrasser ma sœur. J’ai reconnu le lieu. J’ai pris mes clés. Je suis rentrée seule. J’ai passé la nuit à pleurer. Dans la chambre d’à côté, ils ont fait l’amour. Et moi, recroquevillée sur un canapé, j’ai touché le fond. Le matin, c’est sa mère qui m’a réveillée avec un seau d’eau glacée. Elle m’a hurlé que je n’étais plus sa belle-fille, que je n’avais plus rien à faire ici. Alors je suis partie , trempée, humiliée, brisée. Mais dans ma poche, il y a ce papier froissé. Le prénom d’un inconnu. Un regard posé sur moi, hier soir. Le seul qui m’ait vraiment vue. Peut-être que c’est là que tout commence.