l’alpha de la meutes eu deux enfants avec deux femmes différentes, le premier était née d'une mère oméga tandis que l'autre fut née de la luna deux ans plus tard, malgré que les deux frères soit née d'une mère différente leur père les élèves à la même enseigne pour y préserver sont héritage en voulant que ses enfants reigne et veille de la manière la plus juste qui soit sur la meute, la hiérarchie désigné que l'aîné soit l’alpha mais il refusa et souhaite que le second enfant le soit car il ne s'en sentais pas digne, malgré l'insistance de son père qui se résoudra à respecter la décision de l'aîné qui souhaite épauler son frère à sa manière, comme une ombre qui veille sur la lumière, voici l'histoire de deux frères qui malgré leur souhait de veiller l'un sur l'autre, verront leur destin changer de manière assez brutal et inattendu
Lihat lebih banyakPoint de vue : AlexLa chaleur du soleil filtrait à travers les feuillages denses de la forêt, projetant des ombres mouvantes et dansantes sur le sol battu du terrain d’entraînement. Chaque muscle de mes bras hurlait, endolori, alors que j’enfonçais mes poings dans le tronc d’arbre abîmé, encore et encore. Le bois craquait sous mes mouvements brusques, et mon souffle, court et haché, se mêlait au bruissement du vent dans les feuilles. Pourtant, aucun de ces bruits, aussi puissants soient-ils, n’était suffisant pour couvrir le tumulte qui grondait en moi. Je frappais, je frappais encore, pour évacuer cette anxiété qui me rongeait, pour tenter d’oublier, ne serait-ce qu’un instant, le regard de mon frère et ce vide grandissant entre ce qu’il était et ce qu’il devenait.Ce terrain d’entraînement, normalement animé, était vide à cette heure de la fin de journée, baigné par une lumière pâle et douce qui avait quelque chose d’irréel. Il n’y avait que le crissement de mes bottes sur la ter
Point de vue : Rayan La chambre était silencieuse. Trop silencieuse. Lina était partie depuis peu, appelée pour soigner un membre de la meute blessé lors d’un entraînement. Elle m’avait lancé un dernier regard inquiet avant de franchir le seuil, mais je l’avais rassurée d’un signe de tête. J’avais besoin de ce moment. De solitude. De vérité. Depuis mon réveil, il y avait une absence. Pas seulement dans les gestes ou les mots. Une absence en moi. Le genre de vide qu’on ne peut ignorer, surtout quand on a passé sa vie avec une autre voix dans sa tête. Une voix rude, sarcastique, râleuse… mais fidèle. Karma. Mon loup. Mon autre moi. Je m’assis sur le lit, le dos droit, les coudes sur les genoux. Mon regard se perdit sur le parquet, les lignes du bois devenant floues sous la tension qui montait. Cela faisait une semaine. Une semaine depuis la morsure. Une semaine sans entendre un seul mot de lui. Rien. Comme s’il avait disparu. Mais je savais qu’il était là. Je le sentais. En veille.
Point de vue : RayanLa pièce était baignée d’une lumière dorée. L’apaisement d’un coucher de soleil filtrait à travers les rideaux, projetant des formes incertaines sur le mur de ma chambre. Mon regard s’était perdu dans ces dessins mouvants, presque hypnotiques. Lina était là, assise à mes côtés. Silencieuse. Présente.Depuis mon réveil, une semaine après cette morsure, je n’avais pas encore pris le temps de rester seul avec elle. Pas vraiment. Toujours quelqu’un dans la pièce, toujours un regard posé sur moi. Mais ce soir, enfin, on était juste deux. Rayan et Lina. Pas de transformation, pas de médecine, pas de meute. Juste nous.Je tournai la tête vers elle. Ses yeux suivaient les mouvements de ma poitrine, comme si elle cherchait à deviner mon état à travers ma respiration. Je savais qu’elle ne voulait pas briser ce calme. Mais il y avait tant à dire.— Tu regrettes ? murmurai-je.Elle cligna des yeux, surprise.— De rester ? Non. Jamais.Elle se rapprocha, posant une main sur la
Point de vue : AlexLa poussière soulevée par mes coups retombait en même temps que mon souffle. Chaque impact contre le tronc d'entraînement résonnait dans mes bras, mais pas assez fort pour couvrir le tumulte en moi. Je frappais pour évacuer, pour oublier, pour m'éloigner du regard de mon frère et de ce vide grandissant entre ce qu’il était et ce qu’il devenait.Le terrain d'entraînement était vide à cette heure, baigné par une lumière pâle de fin de journée. Juste le crissement de mes bottes, le bruit de mes poings, et ma respiration irrégulière. J’avais besoin de me sentir utile. Vivant. Ma place avait toujours été au second plan, mais depuis la morsure de Rayan, j’avais l’impression d’être coincé entre l’ombre et l’impuissance.— Tu vas détruire ce pauvre tronc, frère.Je me retournai. C'était Cael. L'un des rares que je considérais encore comme un véritable ami dans ce village. Calme, observateur, loyal jusqu’à l’os. Il avait ce don pour apparaître juste quand il le fallait. Il
Point de vue : AlexJe restai un moment figé dans le couloir, même après que mon père se soit éloigné. Les mots qu’on venait d’échanger me tournaient encore dans la tête. Ce n’était pas simplement de l’inquiétude. C’était un pressentiment, un vertige. Celui qu’on ressent juste avant que quelque chose ne cède.Je repassai une main sur mon visage, tentant de chasser cette sensation désagréable. Depuis que Rayan avait ouvert les yeux, c’était comme si une corde invisible s’était tendue entre nous tous. Trop fine pour être vue, mais si tendue qu’un simple souffle pourrait la rompre.Je finis par me détacher du mur et descendis lentement les marches, jusqu’à l’extérieur. Le village baignait dans une lumière dorée. Les enfants jouaient à l’écart, quelques adultes vaquaient à leurs tâches, comme si rien n’avait changé. Comme si mon frère n’était pas revenu d’entre les brumes, marqué par une morsure dont on ne savait rien.Un bruit derrière moi. Je me retournai, tombant sur Mathilda. Elle ne
Point de vue : Alex Je refermai doucement la porte derrière moi, laissant Rayan entouré de Lina, Mathilda et Rose. L’air frais du couloir me frappa de plein fouet, me tirant un frisson le long de l’échine. Il était réveillé. Conscient. Mais ce n’était pas ça qui m’inquiétait. C’était ce que je n’arrivais pas à nommer dans son regard. Je m’adossai contre le mur, frottant mes paumes l’une contre l’autre, pour faire passer ce foutu poids qui me serrait la poitrine depuis des jours. Un mélange de soulagement… et de peur. Rayan n’avait rien physiquement. Aucun changement visible. Mais quelque chose vibrait sous sa peau. Quelque chose d’endormi… ou de contenu. Des pas lourds résonnèrent dans le couloir. Mon père. Je le reconnus à sa démarche pesée, calme, presque trop mesurée pour un homme aussi massif. Il arriva à ma hauteur sans un mot, son regard ancré dans le mien. Il ne posa aucune question. Il savait. Il avait vu lui aussi. — Il a repris conscience, soufflai-je. Daryl hocha lent
Bienvenue dans Goodnovel monde de fiction. Si vous aimez ce roman, ou si vous êtes un idéaliste espérant explorer un monde parfait, et que vous souhaitez également devenir un auteur de roman original en ligne pour augmenter vos revenus, vous pouvez rejoindre notre famille pour lire ou créer différents types de livres, tels que le roman d'amour, la lecture épique, le roman de loup-garou, le roman fantastique, le roman historique et ainsi de suite. Si vous êtes un lecteur, vous pouvez choisir des romans de haute qualité ici. Si vous êtes un auteur, vous pouvez obtenir plus d'inspiration des autres pour créer des œuvres plus brillantes. De plus, vos œuvres sur notre plateforme attireront plus d'attention et gagneront plus d'adimiration des lecteurs.
Komen