บททั้งหมดของ Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: บทที่ 161 - บทที่ 170

PDV d'AlexandreQuand j'ai quitté la terrasse, j'étais beaucoup plus calme. J'y ai passé environ quarante minutes à réfléchir et à prier Dieu de veiller sur mon fils. Lorsque je suis entré dans mon bureau, j'ai demandé s'il y avait des nouvelles, et on m'a dit que non. Ensuite, j'ai décidé de passer un peu de temps avec Catherine pour voir comment elle allait. Je suis entré dans le bureau de Pascal mais je ne l'ai pas vue.« Où est Catherine ? », ai-je demandé à haute voix.« Que veux-tu dire ? Elle a dit qu'elle allait rester avec toi pendant un moment. », a répondu Melissa en fronçant les sourcils.« Elle n'est pas avec moi, elle n'est pas dans mon bureau et elle n'est pas à la réception. Où est-elle ? », ai-je grogné.« Calme-toi, Alexandre, elle est peut-être allée à la salle de pause. », a dit Tess, et immédiatement tout le monde s'est mis à chercher Cat.« Sandie, tu as vu Cat ? », ai-je demandé en revenant à la réception.« Désolée, Alexandre, mais non. La réception était

PDV d'AlexandreNous sommes entrés dans mon bureau et c'était le chaos, des gens parlaient et travaillaient sur des ordinateurs pendant que Melissa organisait toutes les informations entrantes. Fred, que j'ai découvert être également un pirate informatique notoire, s'est joint à Marcus.« Alexandre, nous avons réussi à accéder au téléphone de Cat. », m'a informé Marcus. « Et nous avons obtenu des images d'autres bâtiments dans la rue. Nous avons maintenant la plaque d'immatriculation de la voiture qui l'a emmenée. »« Enfin, une bonne nouvelle. » Une partie de la tension que je ressentais s'est dissipée.« Pas si bonne : la plaque est fausse, mais au moins nous avons une voiture et nous avons lancé une alerte pour les modèles de la même couleur. », m'a prévenu l'un des officiers de police.« Et qu'en est-il du téléphone ? », ai-je demandé, me penchant entre les chaises de Fred et de Marcus.Fred a attrapé son téléphone et ouvert un message, le regardant rapidement avant de le jet

PDV d'AlexandreJ'étais très nerveux à attendre la moindre nouvelle. Les officiers de police au bureau ont découvert l'emplacement de l'antenne-relais et ont cartographié un périmètre de recherche. Des équipes étaient déjà en route.« Melissa... », a appelé la mère de Fred au téléphone.« Allô, Mme Thérèse. »« La police est arrivée avec deux chiens. Ils y vont. »« Dieu merci, ils sont là ! », ai-je murmuré.« Thérèse, sors de là maintenant. »« Pas question, je suis en sécurité où je suis, je vais attendre. », a insisté la mère de Fred.« Maman, comment peux-tu voir quelque chose à cette heure de la nuit ? », a demandé Fred.« Pendant que j'attendais devant la porte du salon, j'ai fait apporter tes jumelles. Je les aime bien, tu ferais mieux d'en acheter une autre paire parce que je garde celles-ci : elles ont une vision nocturne. » La mère de Fred était un sacré personnage.« Maman, pour l'amour de Dieu, tu n'es pas James Bond. », a dit Fred en mettant sa main sur son visa

PDV d'AlexandreJ'arpentais la pièce de long en large quand un des policiers m'a appelé, en disant que le détective qui cherchait Catherine voulait me parler. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. J'ai avalé ma salive avec difficulté et j'ai décroché le téléphone.« Bonsoir, monsieur le détective. », ai-je salué, dans l'attente des nouvelles.« Un instant, monsieur. Tenez, mettez-vous à l'aise. » Le détective a parlé à quelqu'un puis est sorti du cadre vidéo. À ce moment-là, l'image de Catherine est apparue.« Mon ange ! Tout va bien ? », ai-je demandé en larmes. « Tout le monde, elle a été retrouvée ! » Tous dans la pièce ont crié et applaudi.« Je vais bien, Alexandre, je suis désolée, mais... mon fils, ont-ils retrouvé mon fils ? » Elle pleurait et avait peur.« Mon ange, Pierre a été retrouvé à Besançon. Il va bien et vient ici en avion. Les parents de Fred viennent avec lui. » Je pouvais voir son expression s'adoucir en entendant ce que je disais, remarquant le soulagement

PDV d'AlexandreJe suis entré dans la salle de réunion et il y avait beaucoup trop de monde. Au fond de la pièce, plusieurs employés étaient assis sur des chaises alignées en rangées. Je les reconnaissais tous, y compris les directeurs de la comptabilité, des ventes, des opérations et de l'administration. Je savais déjà qu'ils participaient tous à la fraude orchestrée par Johnson.De l'autre côté, assis sur une chaise près de la table, se trouvait l'employé que nous pensions utiliser pour prendre les autres la main dans le sac. Mais avec l'enlèvement de Pierre et de Catherine, nous avions sauté des étapes dans l'audit. Il avait commis une erreur et s'était mis à étaler un style de vie luxueux qui contrastait avec le poste qu'il occupait dans l'entreprise. Ambitieux, négligent, il parlait trop. C'était à cause de cela que nous l'avions attrapé et nous savions qu'il était le maillon faible du groupe.Outre les employés, Alan et Larson étaient également présents dans la pièce, ainsi qu