All Chapters of La fille ronde qui conquis les cœurs : Chapter 11 - Chapter 20

Des jours après un tiraillements avec le clochard de Henri, je décidai de suivre les conseils de la direction : « Pas de disputes avec son camarade...pas de violence non plus. Et surtout, on arrête de se provoquer...»Pendant des semaines, Henri Carter avait gardé sa place. C'était Cédric qui tentait des approches." Salut Lisette, c'est ça ?" Demanda t-il en prenant place près de moi.Nous étions à notre pause déjeuner. Je fis un léger sourire, il installa son plateau, et s'assit à côté." Salut." Répondis-je faiblement.Vitoria était devenue une copine, une compagne à qui je pouvais parler. Une preuve que tout allait changer. Avant, je n'avais aucune amie. Mais là, Victoria me suffisait. J'étais l'aise avec elle. Je me sentais bien avec elle." Je peux me joindre à vous ?" Demanda t-il, un sourire sur le bord des lèvres." Oui,'' répondit Victoria en souriant.C'était une fille maigre.Je sais, elle ne s'est jamais sentie également à sa place. Tiens, les propos des filles le montra

Après avoir été abattue psychologiquement par mon professeur de danse. Croiser le chemin de ce salopard de Henri Carter n'était vraiment pas la bonne chose qui devrait se produire dans ma vie. En un seul jour, j'en avais marre ! Mais, j'étais face à lui et sa petite bande trop dérangent.— Hé tout le monde ! Bouboule était en cours de danse. S'écria le tintin de Paul. Il attira de l'attention des autres sur lui. — Les mecs, il y'a un changement. Vous ne voyez pas ?! Bouboule sort du cours de danse. C'est une première. Déclara Paul.— Waouh, comme j'aurais aimé voir celà ! Déclara; le moins que rien de Hervé. Pensez-vous qu'elle sait faire quelques avec ce corps, d'enfer ? Il me provoqua.— Je ne sais pas. Mais Henri nous répondra. Déclara Paul, il plaça une main sur l'épaule de ce salopard d'Henri. Un sourire sur le visage.— Que penses-tu Henri ? A-t-elle assuré ou s'est fait-elle renvoyée par Joyce. Tu sais, ta petite chérie ne perd pas le temps.— Elle a eu raison de la renvoyer

Vendredi à la sortie scolaire, je me suis organisée pour rejoindre le groupe. Ça n'avait pas été facile de prendre cette grande décision mais...— Où va celle là ? Demanda Ornella avec un langage dénigrant.Joyce et Kaycia se retournèrent vers moi. L'air critique. Elles ne s'étaient pas exprimées toute suite. Mais leur regard me laissa honteuse. Je regardai toute les filles. Elles étaient belles, sublimes dans leur tenues de pom-pom girls. À côté, j'étais grasse, encombrante à la limite dans ma tenue hors classe.C'était démodée comme l'a déclaré Kaycia :— Elle fiche quoi ici avec cette horreur... bleukk. Pleurait Ornella.— Elle attend peut-être que Kaycia et Joyce lui demandent de foudre le Camp. Déclara, l'une des filles avec elles.Je gardais ma position pendant des minutes. Joyce m'observa à distance. Comme elle ne prononça aucun mot, je décidai d'aller dans le bus scolaire.— Hé ! Gros bébé. Où comptes- tu aller de cette façon ? Demanda Kaycia en me faisant obstacle.— Je vais

Dans la soirée, je suis sortie pour m'amuser avec les autres. Je fis la rencontre de Henri.— Bonsoir bouboule. Dit-il en me coupant le chemin. J'ai entendu dire; tu avais un message pour nous? Demanda t'il les bras croisés.— Elles ne te l'ont pas dit? Demandai-je confiante à mon courage de l'affronter, les pieds fermes sur terre.— Eh Bah oui. Répondit-il en cassant ses lèvres d'une manière ridicule.— Tu veux l'entendre de ma bouche encore une fois. Si non, je peux répéter le sais-tu ?— Ça sera mieux non? Rétorqua t'il.— Je ne serai plus un jouet pour vous. Je ne laisserai personne me faire chier dorénavant. Déclarai- je fermement.— La seule personne qui fait chier les autres ici Lisette, eh bien c'est toi. Intervint Hervé.Je me retournais pour lui faire face. Il me regardait avec dégoût et je faisais de même.— Je peux savoir en quoi je suis chiante ? Mais je pourrais vous dire pourquoi vous êtes chiant ! Vous savez, hein, les garçons ?— Um... Soufflèrent t- ils un peu désemp

Deux jours après, les murmures autours de mon histoire avec le professeur Luther tournèrent autour de chaque conversation dans la bouche de mes ennemis. Il ne manquait qu'une simple occasion pour qu'ils tombèrent dans les oreilles de la fondatrice.J'étais anxieuse de devoir le voir perdre son travail et de devoir nous quitter. Mes ennemis eux avaient hâtes de nous afficher à la fin, de nous exposer au grand jour.Ce soir là, nous devrions passer notre dernière nuit à l'académie de vacances. Une fête était organisée.C'était enfaite, un bal avec les jeunes.J'avais bien commencer l'entraînement pour perdre un peu de poids. Mais, dans ma robe là face au miroir alors que je me regardais, j'avais l'impression de ne n'avoir rien changé. Je pensais même avoir pris encore plus de poids, j'étais gênée. Était-ce parce que je pensais trop aux chantages émotionnels de Joyce. Et ma victoire face à elle alors ?Mince! Je n'avais pas confiance en moi dans une telle robe aussi serrée. Un ventre ron