Dont Worry Artinya

Le dos de Lana heurta le mur alors que Lancelot s'avançait vers elle, les yeux remplis de frustration et d'autre chose. Quelque chose de plus dangereux . « Je ne t'appartiens pas », cracha-t-elle en levant le menton. Lance sourit, d'un sourire qui lui donna des frissons dans le dos. Ses mains s'abattirent contre le mur de chaque côté de sa tête, l'emprisonnant. « Ah bon ? » Sa voix était grave. « Alors pourquoi me regardes-tu comme si tu voulais que je te prenne ici même ? » Elle se retrouva soudain incapable de respirer et se maudit pour la façon dont son corps la trahissait. Son regard se posa sur ses lèvres et il se pencha juste assez pour qu'elle sente son souffle, sa chaleur. « Menteuse. » Elle appuya ses paumes contre son torse, avec l'intention de le repousser, mais dès qu'elle le toucha, ses doigts se recroquevillèrent, le rapprochant d'elle au contraire. « Tu vois ? Tu parles comme si tu me détestais, mais ton corps ? » Son genou se glissa entre ses cuisses, les écartant légèrement. « Ton corps raconte une toute autre histoire, ma chérie. » Lana retint son souffle, le cœur battant à tout rompre contre ses côtes. « Tu es un salaud arrogant. » « Et toi, murmura-t-il en effleurant ses lèvres contre sa mâchoire, la taquinant, la ruinant, tu trembles. « Je te déteste », murmura-t-elle, mais sa voix était essoufflée, faible. Il releva enfin la tête, sa bouche à quelques centimètres de la sienne. « Non, ce n'est pas vrai », dit-il avec assurance. « Tu me désires, Lana. Tu m'as toujours désiré. » Son pouls battait dans ses oreilles tandis que ses doigts descendaient le long de son bras, puis plus bas, effleurant à peine la courbe de sa taille.

"Chris." The said man looked up at his mate and beta. One look,he understood what had happened. Without further ado,the man behind her walked out of the door closing it behind him. He stood up and stalked towards her. Grabbing her chin he said, "Darling, do you badly want to go outside and get taken by those men? They would sell you to a pimp house?! Why don't you just understand that I'm just trying to keep you safe?! Why can't you just stay here quietly?" Isabelle looked up into his eyes. He was taken aback by her boldness. No one ever dared to look into this eyes but it was to be expected after all, she was his mate. His equal. "What good is this place? At least out there, I won't be confined like a fucking prisoner! I so much hate this place. I can't breathe normally. It's all so suffocating! There's no one to keep me company, no phone no nothing. You as well, oh yeah, you treat me like I'm some disease that you'll contract if you get close to me. Like a plague! But don't you worry, cause I'm very happy with that behaviour. But at least just let me live my normal life. Why can't I just do that?!" She yelled tears trickling down her face. Chris who couldn't bear to see her cry moved his hands from her chin pulling her into his embrace. She fought against him for a while before she later calmed down and just sobbed into his cloth. "I'll let you go out. I'll give you my phone to use for the meantime. Just please stop crying." He whispered his voice breaking. He leaned to his table and took his phone sliding it into her pocket.

"Is my touch angering Ms. Gomez?" His fingers traced her bare back, as he whispered in her ears. "Don't worry, I'll fuck you more better and harder than that so called love of yours, Doll," His tongue licked her earlobe. She fisted her palms "So hard that you will beg me to stop," He nibbled her earlobe "What else can we expect from a monster like you. A fucking monster who had tried to force himself on an 19 year old girl," She blurted out. A painful hiss escaped from her mouth, as he grabbed her hairs and pulled them. Her eyes filled with more tears, recalling that inhumanity he had tried to do with her when she was just 19. "I have already paid for that fucking thing, Melanie, with my everything and now you will have to pay for what I had to endure in all these fucking 4 years, just because of you," He groaned, like a caged animal. "You didn't trust me but that fucking love of your life and now look," He brushed his lips over her cheeks. "That love of your life has sold you to me," He pushed her on the bed. "I guess that's enough talk for tonight," His gaze scanned every inch of her naked body, making her horrified. "After all, it's our first wedding night, Mrs Melanie Adrian Salvatore," He hovered over her and she immediately tried to back away but he pinned her on the bed. His hungry vicious eyes bored deeper into her terrified ones. His thumb started tracing over her lower lip. "Now let's make this night the most memorable and painful night of my wife's life," He brushed his lips against hers. "So, she can remember our first wedding night, till the last breath of her life,"

Léa n’aurait jamais imaginé qu’un simple dîner marquerait le début d’un bouleversement dans sa vie. Elle aimait Thomas, ou du moins, c'est ce qu’elle croyait. Leur relation avait toujours été stable, sans vagues, ancrée dans une routine confortable. Thomas, avec sa douceur et son calme rassurant, lui avait apporté un équilibre dont elle avait tant besoin. Ils formaient un couple harmonieux, ou du moins, c'était ce qu'elle avait voulu croire. Puis, il y avait eu cette rencontre. Théophile, le frère jumeau de Thomas, avait toujours été présent dans leur vie, une ombre familière en toile de fond, avec son sourire charmeur et son esprit vif. Mais ce n’est qu’à ce moment-là, après des années d’équilibre, que quelque chose changea. Ce qui n’aurait dû être qu’une visite anodine de Théophile devint une rencontre déterminante. Les liens qui l’unissaient à Thomas s’effritaient lentement, tandis que ses sentiments pour Théophile grandissaient en intensité. Au fil des jours, son amour pour Thomas s’estompa, et son regard, son cœur, tout en elle n’avait plus d’yeux que pour Théophile. Et bientôt, Léa se retrouva déchirée entre deux hommes identiques en apparence, mais fondamentalement différents en essence. Comment une relation stable et prévisible pouvait-elle être balayée par une passion naissante pour un frère jumeau ? Léa était sur le point de découvrir que l’amour, loin d’être simple, était souvent imprévisible et cruel. Elle avait fait un choix de cœur, mais ce choix allait tout changer – pour elle, pour Thomas, et pour Théophile. L’histoire qui s’ouvrait devant elle n’était plus celle d’un amour unique, mais d’un amour partagé. Un amour pour deux.

Trois jours avant ma cérémonie de marquage, quelqu’un a incendié la boutique nuptiale alors que j'étais en train d’essayer ma robe. Alpha Marcus a jeté l'incendiaire en prison, le condamnant à la peine la plus sévère autorisée par nos lois. Allongée sur mon lit d’hôpital, le corps couvert de brûlures au troisième degré, je refusais d’ouvrir complètement les yeux, incapable d’accepter l’horreur de ma défiguration. Dans un état semi-conscient, j’ai entendu Marcus parler avec la guérisseuse de la meute. « Alpha, nous pouvons encore la guérir complètement avec la magie ancienne. Si nous attendons plus longtemps, Sarah gardera ces cicatrices à vie ! Vous voulez juste que Mademoiselle Rachel devienne votre Luna lors de la cérémonie. C'est d’une cruauté inqualifiable ! » « Laisse-lui ces cicatrices. Je prendrai soin d’elle jusqu’à la fin de ses jours, mais si elle guérit, elle viendra semer le trouble à la cérémonie. » « J’ai promis à Rachel que son enfant serait accueilli dans la meute avec tous les honneurs. Tant que Sarah sera complètement défigurée, elle sera assez reconnaissante pour élever l’enfant de Rachel comme le sien. Ces cicatrices sont nécessaires — au moins ainsi, elle n’osera jamais maltraiter le petit. » Dans un coin de la chambre, hors de leur regard, une larme a coulé sur ma joue brûlée. Alors, c’était ça, la vérité. La cérémonie dont j’avais tant rêvé n’était qu’un mensonge. Le lien d’âme que j’espérais tant était en réalité ma condamnation à mort. Si c’était ainsi, alors je lui donnerais exactement ce qu’il voulait.

At nine months pregnant, I was in the final stretch of my term, and my body heavy with a baby due any day. But my husband, Vito Falcone, underboss of the family, had locked me away. He held me in a sterile underground medical room and injected me with a labor suppressant. As I screamed in agony, he coldly told me to endure it. Because his brother's widow, Scarlett, was expected to go into labor at the exact same time. A blood oath he'd made with his late brother declared that the firstborn son would inherit the family's lucrative West Coast territory. "That inheritance belongs to Scarlett's child," he said. "With Daemon gone, she is utterly alone and destitute. You have my love, Alessia. All of it. I just need her to deliver safely. Then it's your turn." The drug was a constant, agonizing torment. I begged him to take me to a hospital. He grabbed me by the throat, forcing me to meet his icy gaze. "Stop the act! I know you're fine. You’re just trying to steal the inheritance." "To get ahead of Scarlett, you'll stop at nothing." My face was ashen. My body convulsed as I managed a desperate whisper. "The baby's coming. I don't care about the inheritance. I just love you, and I want our child to be born safely!" He sneered. "If you were really that innocent, if you had an ounce of love for me, you wouldn't have forced Scarlett to sign that prenup, waiving her child's inheritance rights." "Don't worry, I'll be back for you after she's given birth. you're carrying my own flesh and blood, after all." He kept a vigil outside Scarlett's delivery room all night. It was only after seeing the newborn in her arms that he remembered me. He finally sent his second in command, Marco, to release me. But when Marco finally called, his voice was shaking. "Boss... the missus and the baby... they're gone." In that moment, Vito Falcone shattered.

Alessia n'aurait jamais dû croiser la route de Lorenzo Valente, un mafieux impitoyable à la tête d'un empire criminel. Pourtant, dès leur première rencontre, une attirance aussi violente qu'incontrôlable s’est installée entre eux. Lorenzo, charismatique mais froid, l’a prise sous son aile, mais jamais avec la promesse d’une exclusivité. Alessia, pourtant, s’est abandonnée à lui, espérant qu’il finirait par la choisir, par la sauver de la solitude et du vide qui la ronge. Mais Lorenzo est un homme de pouvoir, incapable de s’attacher à une seule femme. le cœur d’Alessia est brisé lorsqu’elle réalise qu’elle doit partager Lorenzo avec quatre autres femmes : Bianca, une héritière arrogante et influente, qui considère Alessia comme une rivale indigne de Lorenzo. Clara, une amante manipulatrice, sensuelle et perfide, qui pousse Lorenzo à se détourner d’Alessia. Giulia, une femme calme et mystérieuse, dont la discrétion masque une volonté de s’imposer dans le cœur de Lorenzo. Valeria, une ancienne maîtresse sadique et cruelle, qui prend plaisir à humilier Alessia à chaque occasion. Alessia est consciente de chaque regard, chaque baiser volé, chaque nuit passée avec une autre. Elle assiste, impuissante, à ce jeu de domination où Lorenzo semble se délecter de son tourment. Pourtant, malgré la douleur, elle ne parvient pas à le haïr. Pire encore, Lorenzo la garde proche, protecteur et possessif, incapable de la laisser partir alors qu'il refuse de la choisir ouvertement. Dans ce tourbillon de trahison et de passion, Alessia devra faire face à un choix cruel : accepter de n’être qu’une parmi d’autres, ou se détacher définitivement de l’homme qui a pris son cœur en otage. Mais dans le monde de la mafia, s’éloigner de Lorenzo pourrait bien signer sa perte…

La légende raconte qu’Alexios, un vampire millénaire, ne peut aimer qu’une seule fois tous les mille ans. Mais lorsque son regard se pose sur trois jeunes femmes en même temps, son destin vacille. Léna, la lumière Léna est une chasseuse de vampires. Elle a passé sa vie à traquer les créatures de la nuit, ignorant que son propre cœur était capable de flancher. Pourtant, face à Alexios, elle vacille. Sa beauté immortelle l’effraie autant qu’elle l’attire. Elle lutte contre l’évidence : un monstre ne peut pas aimer, et elle ne peut pas l’aimer en retour… n’est-ce pas ? Cassandra, l’ombre Cassandra est une sorcière dont la famille a juré allégeance aux vampires depuis des générations. Son sang est une offrande, et elle-même rêve d’être sienne. Elle connaît les ténèbres qui habitent Alexios, et elle les embrasse, certaine qu’elle est la seule capable de comprendre son âme damnée. Mais il ne la regarde pas comme elle l’espérait… Evy, la passion Evy est humaine, une simple serveuse dans une taverne où Alexios aime se fondre dans l’anonymat. Elle ne connaît rien aux légendes, rien aux serments de sang, rien aux guerres entre chasseurs et vampires. Mais elle le voit, lui. Pas le vampire, pas l’immortel. Juste Alexios. Et il n’a jamais été aussi troublé que lorsqu’il est avec elle. Le choix impossible Trois femmes. Trois âmes prêtes à se damner pour lui. Mais un vampire ne peut aimer qu’une seule fois tous les mille ans. Léna est le combat. Cassandra est la dévotion. Eby est la simplicité.

Mon ami d'enfance m'avait promis de m'épouser dès que nous serions en âge, mais le jour de mon mariage, c'était à ma demi-sœur Sabrina Hugh qu'il avait passé la bague au doigt. Ce jour-là, Victor Lozé, l'héritier redouté de la mafia, était intervenu comme un chevalier blanc. Devant toute l'assistance, il avait déclaré m'aimer en secret depuis des années. Durant nos cinq années de mariage, il exauçait chacun de mes souhaits, même les plus futiles. J'étais persuadée d'être le centre de son univers... Cette certitude s'est brisée net le jour où, en époussetant sa bibliothèque, j'ai découvert un dossier ultra-confidentiel. La première page portait le nom de Sabrina, surmonté de l'inscription en gros caractères rouges : « PRIORITÉ ABSOLUE ». Il était suivi d'un rapport de mission que je connaissais trop bien : il détaillait la nuit où l'on avait tenté de m'assassiner. Je l'avais échappé belle après une hémorragie qui avait failli m'emporter. À mon réveil à l'hôpital, on m'avait appris que j'avais perdu un enfant, un être dont j'avais ignoré jusqu'à l'existence. J'avais sangloté dans les bras de Victor, sans lui révéler cette perte. Je ne voulais pas l'inquiéter davantage. Aujourd'hui, je comprenais tout : Sabrina avait aussi été attaquée cette nuit-là, et mon mari avait donné cet ordre : « Sauvez Sabrina d'abord. » Mes larmes maculaient l'encre jusqu'à la rendre illisible. « Très bien », ai-je murmuré dans le silence, la voix tremblante mais résolue, « si ce mariage n'est qu'un mensonge, alors je disparaîtrai de ta vie. Pour toujours. »

Unang araw sa trabaho ni Jean at hindi niya inaasahan na ang nakaaway pala niya sa shop ng kaniyang kaibigan ay ang magiging boss pala niya. “Good morning Ms. Jean Salazar! Remember me?” Sarkastikong sabi nito. At ako naman ay halos manigas sa kinatatayuan ko! At parang gusto ko na lang bumuka ang lupa at lumubog dito! Di ako makapag salita dahil parang walang lumabas na boses sa lalamunan ko, pinagpapawisan ako kahit ang lamig naman sa loob! Napakurap naman ako at tumikhim bago nagsalita. “Huh? Ah ehem,  g-good m-morning sir! I'm Jean Salazar sir! Nice to meet y-you!” "You can sit down Ms. Salazar baka sabihin mo wala akong manners?” sir Sandrex. “Po? si-sige po sir, t-thank you!” utal-utal kong sagot. “So Ms. Salazar, alam kong nagulat ka sa nalaman mo! Right? Na ang gago palang nakabungguan mo kahapon ay ang magiging boss mo ngayon!” sir Sandrex “S-sir! I...” “Ssshhh, Ms. Salazar don't worry I don't mix personal matters in my business!” sir Sandrex. 'Lord! Please gawin mo na kong invisible ngayon!' Binubulong ko to sa sarili ko habang nakatingin ako sa supladong lalaki na to! Aba, Malay ko bang siya pala ang magiging boss ko! Tadhana nga naman oo! Hinawakan nito ang magkabilang armrest ng upuan at inilapit ang muka sa akin! Na halos na aamoy ko na ang mabango nitong hininga at ang pabango nito na alam kong mamahalin! Ang lapit ng muka niya na halos ilang dangkal na lang ay lalapat na ang matangos niyang ilong sa ilong ko! Lord! Please ibuka mo na talaga ang lupa! Now na! “Afraid of what I'm going to do Ms. Salazar? Look straight into my eyes! And tell me what you said yesterday!” Sir Sandrex with his husky voice.