We'd

Thor and I grew up together—we were the definition of childhood sweethearts. We'd promised to attend the same university, graduate, and marry right after senior year. Everyone envied us. They said we were a perfect match, destined for a lifetime together. And I believed that too. I truly thought I'd spend the rest of my life with him. Until the final semester of our senior year in high school, when a new transfer student named Lina joined our class. At first, the two barely spoke. But as they grew familiar, their bond deepened in ways I could no longer ignore. He started staying after school to tutor her, bringing her breakfast every morning. When she was upset, he'd take her for a drive along the coast. If she craved Italian steak, he'd have fresh cuts flown in. Even during her period, he'd quietly prepare everything she needed. I was furious. I confronted him, argued with him, and even threatened to break up. The first time I said it, he thought I was joking and coaxed me out of my anger. The second time, he dismissed it as another tantrum and tried different ways to please me. The third time, he broke down—standing outside my house in the pouring rain all night, half kneeling before me, begging for forgiveness. Again and again, I tried to leave, and every time, he refused to let me go. Yet with each reconciliation, something in him shifted. He started taking me for granted, assuming I would always come back. His patience wore thin. His apologies turned perfunctory. Even when he came to make peace, there was no sincerity left in his voice. So I said it for the hundredth time, and that was the last. That was the moment I finally gave up on him.

Alors que nous étions sur le point de partir pour le parc d'attractions, mon petit ami Bêta, Davy Carrelle, a apporté avec lui une mère et sa fille. Mais il manquait justement une place dans la voiture. Davy m'a alors demandé de descendre pour leur céder la mienne. Il a déclaré, d'un ton détaché : « Laura a du mal à s'occuper de son enfant seule. Laisse-les monter, je reviendrai te chercher plus tard. » Je suis descendue calmement, suivant des yeux le véhicule qui s'éloignait lentement de la meute. Trois heures plus tard, ils étaient bien arrivés au parc, où ils ont participé à un dîner-spectacle avec feux d'artifice. Quand mon meilleur ami a interrogé Davy sur son retard à venir me chercher, celui-ci était occupé à aider Laura à allumer un feu d'artifice. Visiblement pas pressé, il a même lâché, négligent : « Pourquoi si pressé ? Rébecca ne m'en voudra pas. Un peu de baratin, et elle oubliera sa crise. » Oui, la colère n'avait que d'effet sur ceux qui tenaient à nous... Si mon père, ma mère et mon frère s'en moquaient de moi, peu importe. Mais que Davy, lui aussi, m'ignorait à ce point… Alors, il était temps de quitter définitivement cet endroit qui ne m'apportait plus que chagrin...

Dans un bar, Léa Bernard a entendu Théo Marchand dire : « Léa est très belle. Je l'ai courtisée à l'époque, c'est parce qu'elle ressemble un peu à Élise Fontaine. Toutes ces années, j'ai toujours cherché l'ombre d'Élise en elle. » C'était alors qu'elle a compris qu'elle n'avait été qu'un simple substitut. Ce soir-là, elle a composé ce numéro qu'elle n'avait pas appelé depuis longtemps. « Allô, papa, j'accepte de rentrer à la maison pour le mariage arrangé. » Plus tard, Théo a revu ce visage qu'il avait tant désiré lors d'un banquet, et quand il a appris la véritable identité de Léa, il a complètement perdu la tête… Le jour où Léa avait refusé le mariage arrangé et avait quitté la maison, Alex Dubois s'était tenu devant la fenêtre, faisant tourner son vin rouge, un regard indéchiffrable dans les yeux, « Léa, un jour tu reviendras sagement à mes côtés. » On disait qu'Alex, l'héritier de la famille la plus puissante de Rivélys, était froid, austère et indifférent aux femmes, et Léa l'avait cru sans réserve. Ce n'était que plus tard que Léa a découvert à quel point Alex était fou derrière son apparence calme et austère.

I was the second princess of the Phoenix Court. And I fell in love with a lowly black serpent. In my past life, just to be with him, I purposely picked that black serpent during the Sacred Bonding ceremony when we each chose our companion beasts. After that, we spent every night together. I didn't care what the whole clan thought. I was determined to marry him. But on our wedding day, that same serpent I'd given my heart to drove an arrow straight through me, killing me while I was three months pregnant. As I lay dying, I heard him hiss bitterly in my ear, "If it weren't for you, I'd have been with Seraphine by now. You should've died a long time ago." That's when I finally got it. All he cared about was power. And he'd been in love with my older sister all along—the sister who was next in line for the Phoenix throne. When I opened my eyes again, we were back at that same moment—the Sacred Bonding ceremony. Before everyone, he dropped to his knees and confessed he loved my sister. He begged not to be bound to me. The whole clan looked at me with pity. But I only smiled and pointed to a small white serpent resting quietly off to the side. That black serpent thought clinging to my sister would make him powerful. What he didn't realize was that only the one I chose would become the true heir to the Phoenix Court.

We had a plan. It wasn't as far-fetched as plans to end world hunger or as extreme as plans for world domination. It was a simple plan, wasn't foolproof but it was going to work, it had to work. We were gonna prove that I wasn't a boy-crazed stalker who caused her parents death. We just had to make Kingston confess that the accusations against me were false. Infuriating Jeremy Vongov wasn't a part of the plan we'd anticipated. Yes, we sought out him as an ally but he declared war on us. This bastard heir with criminal ties thinks to make me his toy but I'll show him that I'm not the cowering and weak Dian Fibarthorn of four years ago. My name is Josephine Dukes and I get what I want. Or what I think I want. And right now, what I want is to repeatedly stab that irritating smirk off his chiseled face or make a few babies with him… And I might do both if he keeps staring at me like that.

“You’re beautiful,” he said, kissing me again. Our marks healed instantly, never hurting at all. My body felt the most relaxed I’d ever felt in my entire life. We were both breathing hard, both afraid to speak. We just looked at each other for what felt like hours. Finally, he said softly, “I can feel your feelings now.” It finally felt like my life was going right for once. Or so I thought…. I never belonged anywhere. First, my father and I were on the run, living as rogues. When we finally found a pack, it wasn’t long before I was the outcast—all because of my crazy dreams. Delilah the Insane, they’d call me. When I finally discovered that the soon-to-be Alpha was my mate, I thought everything would change. But then Andrew betrayed me too. I ran away, even though I was carrying his triplets. Now, he wants me back, along with our children. Will I ever truly belong? The Betrayed Luna is created by Claire Wilkins, an eGlobal Creative Publishing signed author.

Ma famille a été attaquée par des loups sauvages lorsque nous avons pénétré sur leur territoire. Ma louve a été gravement blessée, et finalement, c'était moi qui ai sauvé tout le monde. Alors que je m'effondrais, épuisée, personne n'est venu vers moi, ils ont tous couru vers ma sœur adoptive, Félicie, en se souciant de quelques égratignures superficielles. Lorsque les membres de la meute m'ont transportée à l'infirmerie, le guérisseur m'a annoncé la terrible nouvelle : ma louve avait été frappée par un poignard d'argent et que le petit d'un mois que je portais dans mon ventre ne survivrait pas. Pourtant, mon compagnon, Luc, a donné à Félicie le seul traitement qui pouvait sauver la vie. N'ayant pas d'autre choix, j'ai refusé les remèdes du guérisseur et j'ai soulagé la douleur de ma louve avec des herbes rudimentaires, sachant que cela ne nous donnerait que trois jours avant la mort. Au cours de ces derniers jours, j'ai tout laissé aller. J'ai donné à Félicie toutes mes possessions et l'argent de l'assurance, tandis que mes parents souriaient en signe d'approbation. J'ai signé sans hésiter l'accord de rupture de lien que Luc m'a glissé sur la table. Luc était satisfait, convaincu que j'étais attentionnée. Kévin, mon frère, a hoché la tête lorsque je lui ai dit de donner ma chambre à Félicie. Même mon fils Jérémie, quand je lui ai demandé d'appeler Félicie « maman », s'est écrié joyeusement. Personne ne m'a demandé pourquoi j'avais donné toutes mes affaires à Félicie, et leurs regards approbateurs en disaient long : « Bien. L'ancienne Emmanuelle est de retour. » Mais à mesure que le temps passait, une pensée me hantait : « Quand ils trouveront nos corps, celui de ma louve et celui de mon petit à naître, cette satisfaction se transformera-t-elle en regret ? »

À feu et à pertes Quand Angèle Derval perd son père, ruiné et poussé au suicide après un placement désastreux, elle ne pleure pas : elle prépare sa vengeance. Sa cible ? Néron Valesco, le milliardaire impitoyable responsable de la chute de son père. Angèle infiltre son entreprise, déterminée à séduire Néron, à gagner sa confiance, puis à l’anéantir de l’intérieur. Mais l’homme est plus dangereux qu’elle ne l’imaginait , froid , magnétique. Dévorant. Et il la veut tout entière. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est Rabis Valesco, le fils, tout aussi puissant, plus jeune, plus impulsif. Lui aussi la veut. Et il ne compte pas partager. Pris entre deux prédateurs, entre désir et vengeance, Angèle joue avec le feu. Mais dans cette guerre de pouvoir et de corps, elle pourrait bien être celle qui brûle la première…

The sixth year I gave up my family, my name, everything, to be with Marcus. That’s when I found out I was just a stand-in for the one he could never forget. And now, she was back. I accepted my family’s arrangement. The marriage alliance. The day my engagement dress arrived at the office, Marcus looked pissed. “I thought we agreed we’d get married when my career was more stable.” I said nothing. But when the wedding invitation arrived, Marcus finally broke. The groom wasn't him. It was the heir to the Moretti family.

Natalie West hadn't expected her life to take a drastic turn, the kind that sends her out of her husband's house into a cold night with a cruel divorce while having his unborn child in her belly and deep into the West's family house as the chosen heiress and wife to James West, the multi-billionaire. What happens when the lies she had known all her life are far better than the truth that actually exists? How does she handle a truth that turned her world upside down and sent it tumbling down brick by brick? And when her Ex-Husband comes chasing after her, confessing undying love, will she yield? Sometimes the lies we know are far better than the truth we are told. Well, we'd prefer it right?