Fauchée et au bord du désespoir, Malia accepte un poste mystérieux d’assistante personnelle pour un homme qu’elle n’a jamais vu. Elle pensait signer pour un job banal… jusqu’à ce qu’elle découvre son patron : Aydan Deveraux, un milliardaire aussi séduisant qu’arrogant. Froideur, tension, ordres étranges — Malia est prise dans un jeu de pouvoir où chaque regard la consume et chaque mission la trouble. Mais ce contrat cache des clauses qu’elle n’a jamais lues… et des secrets qui pourraient tout détruire. Entre passion, secrets et limites dangereuses, ce contrat pourrait changer sa vie à jamais.
view moreLe claquement sec de la porte d’entrée résonna comme un verdict. Malia resta figée sur le seuil, ses yeux fixés sur l’appartement vide, ses mains tremblant encore d’avoir signé ce qu’elle n’aurait jamais dû accepter.
Un contrat. Un simple contrat. Six mois, un salaire indécent, et une condition principale : obéir. C’était ce qu’on lui avait proposé. Et elle avait dit oui. La veille encore, elle jonglait entre trois jobs précaires, des dettes qui s’accumulaient, et une boîte mail remplie de refus polis. Elle avait presque abandonné l’idée de trouver un vrai travail, jusqu’à ce message étrange, tombé dans sa boîte de réception comme une délivrance — ou une malédiction. Objet : Offre de poste – Assistante personnelle Lieu : Confidentiel Salaire : 12 000€/mois Conditions : Discrétion absolue, flexibilité totale. Entretien demain à 9h. Aucune signature. Aucun nom. Juste une adresse. Elle y était allée, par curiosité, par besoin, par instinct de survie. Et maintenant, elle avait un contrat dans son sac, une boule dans le ventre, et aucune idée de ce dans quoi elle venait de s’embarquer. • Malia passa une main dans ses cheveux en bataille et s’effondra sur le canapé. Le silence de l’appartement contrastait avec le chaos dans sa tête. Elle n’avait toujours pas vu son futur employeur. Tout s’était fait par le biais d’un assistant froid et glacial, un certain Hugo, dont le regard était aussi perçant que ses mots étaient neutres. — Votre patron ne se présente jamais en personne ? avait-elle osé demander. Il avait à peine relevé les yeux. — Il sélectionne. Il observe. Il décide ensuite. Puis il lui avait tendu un contrat d’une dizaine de pages. Malia n’en avait lu que les grandes lignes. Trop de chiffres, trop de jargon juridique. Mais les termes essentiels étaient clairs : logement inclus, salaire exorbitant, et surtout… obligation de disponibilité totale. Et maintenant, elle se retrouvait là. Engagée. Prisonnière d’un contrat aux contours flous et à l’odeur de piège. Elle aurait dû refuser. Elle le savait. Mais comment dire non quand on n’a plus rien ? Quand l’électricité menace d’être coupée, que les loyers impayés s’empilent, et que les rêves d’avenir s’effondrent les uns après les autres ? • Un bip sonore la sortit de ses pensées. Son téléphone vibra : Nouveau message - Numéro inconnu “Vous commencerez demain. 7h. Une voiture viendra vous chercher. Soyez prête.” Pas de signature. Pas de merci. Juste un ordre sec, tranchant. Elle sentit un frisson lui parcourir l’échine. • Le lendemain, à 6h59, elle attendait déjà en bas de son immeuble. Le ciel était encore noir, l’air froid piquait ses joues. Une berline noire s’arrêta devant elle, les vitres teintées dissimulant son conducteur. Un homme en costume sombre en descendit et lui ouvrit la portière sans un mot. Elle hésita une seconde — une seconde de trop — avant de monter. Le silence régnait à bord. Aucun mot n’était échangé. Le chauffeur ne la regardait même pas. Tout semblait orchestré, millimétré. Comme si chaque détail de sa vie venait de lui être volé. • Trente minutes plus tard, ils pénétraient dans une propriété hors du temps. Un manoir moderne, aux vitres immenses, isolé sur une colline. L’endroit respirait l’opulence… et l’hostilité. Hugo l’attendait devant l’entrée, bras croisés, expression fermée. — Vous êtes ponctuelle. C’est un bon début. Malia ne répondit pas. Elle se contenta de hocher la tête, les yeux rivés sur la silhouette masculine aperçue à l’étage, derrière une baie vitrée. Un homme. Grand. Élégant. Presque une ombre. Son cœur se mit à battre plus fort sans qu’elle puisse l’expliquer. — Vous le verrez quand il l’aura décidé, lança Hugo en suivant son regard. — Il me voit, lui ? — Toujours. • Ce fut à cet instant qu’elle comprit. Ce contrat n’était pas un emploi. C’était une mise en scène. Un piège. Et elle venait d’y entrer les yeux ouverts. — 🖤 Merci d’avoir lu ce premier chapitre ! 💭 Que pensez-vous du mystérieux contrat de Malia ? Seriez-vous monté(e) dans cette voiture ? 📌 Laissez un commentaire et ajoutez l’histoire à votre bibliothèque pour ne rien manquer ! 🔥 À très vite dans le chapitre 2… les choses sérieuses ne font que commencer !Le soleil se levait à peine sur la ville, enveloppant les bâtiments d’une lueur orangée, mais l’air restait lourd, presque étouffant. Kael fixait l’horizon à travers la grande baie vitrée du bureau, ses mains appuyées contre le verre froid. Ses pensées tourbillonnaient comme une tempête incontrôlable. Chaque pas qu’il faisait depuis quelques jours l’éloignait davantage de ses certitudes et l’enfonçait dans un labyrinthe de doutes.Derrière lui, Liora entra en silence, portant une tasse de café qu’elle déposa sur le bureau. Elle savait qu’il n’en boirait probablement pas, mais c’était sa façon à elle de lui rappeler qu’il n’était pas seul, même lorsqu’il s’isolait volontairement.— Tu n’as pas dormi de la nuit, constata-t-elle doucement.Kael ne répondit pas immédiatement. Ses yeux restaient accrochés au lointain, comme s’il espérait y trouver une réponse. Finalement, il lâcha d’une voix basse, presque rauque :— Chaque fois que je pense avoir repr
Le lendemain matin, l’atmosphère dans la villa était lourde, presque étouffante. Kael s’était réveillé tôt, encore marqué par les révélations et les tensions de la veille. Ses traits fermés, ses yeux brillants de colère contenue, laissaient deviner que ses pensées ne trouvaient aucun repos. À ses côtés, Liora observait son visage avec inquiétude, sans oser rompre le silence qui les séparait depuis des heures.— Tu n’as presque pas dormi, murmura-t-elle en posant une main sur son bras.Il la regarda, un instant, puis détourna les yeux.— Comment dormir alors que tout ce que nous pensions tenir en main s’effrite ? Ces alliances, ces promesses, ces héritages… tout est piégé.Liora inspira profondément. Elle savait que Kael se battait contre ses propres démons, mais aussi contre des ennemis qui semblaient toujours avoir une longueur d’avance. Elle caressa doucement sa joue, espérant ramollir un peu sa rigidité.— Tu n’es pas seul dans cette batail
L’aube se levait à peine sur la ville encore assoupie, mais dans la suite luxueuse où Kael et Liora se trouvaient, le sommeil avait été chassé depuis longtemps. La nuit avait été marquée par des confidences, des silences lourds de sens et des regards qui parlaient davantage que les mots. Liora, assise près de la grande baie vitrée, observait l’horizon embrumé. Son cœur battait encore vite, partagé entre l’incertitude et l’espoir.Kael, derrière elle, se leva lentement du canapé où il s’était installé. Ses pas étaient calmes, mais chacun résonnait comme une promesse de vérité. Il s’approcha, posa une main ferme mais douce sur son épaule, et souffla :– Tu ne dors jamais assez, Liora.Elle détourna légèrement la tête, croisa ses yeux d’un bleu acier. Il y avait tant de choses qu’elle voulait lui dire, tant de reproches qu’elle retenait. Mais aussi une tendresse brûlante, incontrôlable.– Comment dormir quand tout ce qui m’entoure semble prêt à explo
Le passage souterrain s’étirait sous leurs pieds comme un couloir sans fin, taillé grossièrement dans la pierre. L’air y était lourd, saturé d’humidité et d’un parfum métallique qui rappelait à Liora l’odeur du sang séché. La flamme que portait le père de Kael projetait des ombres instables sur les murs, leur donnant des allures de silhouettes menaçantes.Chaque pas résonnait dans ce silence oppressant, et pourtant aucun des trois n’osait parler. Ce fut finalement Kael qui rompit la tension, sa voix basse mais tranchante.— Pourquoi tu nous as laissé croire que tu étais mort ?L’homme ne ralentit pas sa marche. Ses épaules voûtées semblaient porter le poids d’un siècle entier de secrets.— Parce que c’était la seule manière de vous protéger, répondit-il après un long silence. Les ennemis que vous affrontez aujourd’hui sont les mêmes que j’ai combattus toute ma vie. Ils pensaient m’avoir anéanti… je les ai laissés le croire.Kael serra les
La nuit enveloppait la ville d’un voile à la fois calme et menaçant. Dans les hauteurs des tours illuminées, là où se jouaient les destins et les trahisons, Kael et Liora se retrouvaient une fois encore à la croisée des chemins. Rien n’était encore gagné, mais tout pouvait basculer.Kael avait ce regard sombre, comme chargé de mille batailles qu’il n’avait jamais cessé de livrer. Ses poings étaient crispés, son souffle lourd. Liora, de son côté, se tenait droite, le cœur battant, mais la tête haute. Elle savait qu’un nouveau chapitre de leur destin s’ouvrait, et il ne laissait aucune place à l’erreur.— Tu savais, n’est-ce pas ? murmura Kael, la voix basse, presque tremblante, comme s’il contenait une rage prête à exploser.— Oui, répondit Liora sans baisser les yeux. Mais je n’avais pas le droit de parler. Si j’avais révélé la vérité trop tôt, nous aurions tout perdu.Kael fit quelques pas, son ombre se projetant sur les murs froids. Le silence qui su
La nuit était tombée sur la ville, mais ni Kael ni Liora n’avaient trouvé le repos. L’ombre de tout ce qu’ils avaient affronté planait encore autour d’eux, et malgré l’apparente accalmie, chacun savait que le combat n’était pas terminé. Le danger restait tapi, prêt à surgir au moindre faux pas.Kael se tenait près de la fenêtre, une main posée sur le rebord, fixant les lumières de la ville qui scintillaient dans l’obscurité. Son esprit ne cessait de tourner, repassant en boucle les dernières révélations. Derrière lui, Liora observait son dos, silencieuse. Elle percevait la tension dans ses épaules, la rigidité de sa mâchoire.— Tu ne dors pas, murmura-t-elle, comme si sa voix risquait de briser un équilibre fragile.Il se retourna légèrement, ses yeux sombres capturant les siens.— Et toi ?Elle haussa les épaules en esquissant un sourire fatigué.— Impossible. Avec tout ce qui s’est passé… j’ai l’impression que si je ferme les y
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