++++LE LENDEMAIN+++++Ismaël est sorti hier pour rentrer vers une heure du matin mais bon je m’en fiche déjà trois jours et je craque déjà. Je viens de me réveiller et il est treize heures passé. Je retrouve Ndiémé dans la cuisineMoi : prépare-moi le petit déjeunerElle : …Moi : n’est-ce pas à toi que je parleElle : bonjour à vous aussiMoi : bref je veux un plateau d’œuf au platElle : okJe sors de là en soupirant, cette fille je ne sais pas pourquoi mais je ne la blaire pas. Je vais vers le salon pour regarder la télé et voir les actualités.Je passe la journée à discuter avec Tatania via Face time, je ne lui ai pas expliqué toute l’histoire mais je lui ai juste fait savoir que j’allais devoir rester quelques temps au Sénégal.(****)Je le rejoins en bas lorsque la fille est venue me dire que le diner était servi. J’avais envie de bouder le diner mais j’ai terriblement faim. Je viens retrouver monsieur qui avait déjà entamé son plat. La fille vient poser la carafe et Ismaël prof
Il m’a conduit dans une magnifique maison, Il y a cinq chambres, trois à l’étage et deux en bas. La cuisine est au premier, elle est particulièrement belle avec des appareils ménagers haut de gamme et des plans de travail en granit étincelant.Après une visite rapide, il m’a laissé pour aller je ne sais où après m’avoir déposé un plat à réchauffer en cas de besoin.La nuit approche et comme la première fois que je me suis confronté à cette situation, je cogite. Je ne sais pas si encore une fois, il va vouloir réclamer son dû. J’ai peur qu’il choisisse d’exiger son droit sur moi comme sa femme que je représente aux yeux du monde.A peine que j’entends la porte s’ouvrir sur lui.Moi : qu’est-ce que tu fais ici ?Il plisse le regard en fronçant les sourcils.Ismaël : dois je te rappeler que tu es dans ma chambre ?Moi : alors je veux une autre chambre.Il éclate de rire.Ismaël : celle-ci sera notre seule chambre et ne me chauffe pas, ne commence pas. Sois une épouse modèle et tiens-toi
********ISMAËL NDAW********Maman : alors tu as entendu la nouvelle ?Moi : ouiMaman : c’est quoi ta décision ?Moi : je ne préfère pas en parler.L’évocation du passé ne m’enchante guère mais les souvenirs sont aussi frais qu’avant. Lorsque je suis rentré, trouvant la chambre vide excepté sa belle-sœur assît le visage embué de larmes. Je lui ai alors posé des questions sur Assy et quand elle m’a répondu qu’elle était partie, je croyais qu’elle se dégourdissait les jambes même quand elle a répété sa phrase. J’avais cru qu’elle avait fui chez ses chez parents, ma famille m’a conseillé d’aller la chercher. Mais le coup de grâce madame n’y était pas, personne ne savait où elle pouvait se trouver.Elle avait fuguée…La semaine suivante des rumeurs couraient de partout, si une partie racontait que c’est parce que j’étais impuissant, l’autre partie chuchotait que j’en avais une grosse et que la petite n’a pas pu supporter la première nuit.Les spéculations y allaient de bon train, mais le
En rouvrant les yeux je retrouve le cher monsieur avec un plateau de déjeuner. Il ne me regarde même pas, il a le regard scotché sur son phone.Ismaël : ma mère demande ce qu’il te faut ?Moi (avec la voix cassée) : dis-lui que je n’en ai besoin de rien.Ismaël : okCertes je sens comment mon corps est courbaturée mais je refuse de leur donner le sentiment que j’accepte. Tout à l’heure j’ai essayé de renvoyer mes tantes quand elles ont voulu me faire un bain traditionnel. Je leur ai rétorqué que je n’en avais pas envie, Elles ont fini par m’amener de force sous la douche pour me nettoyer avant de m’écraser tout le corps avec leur soi-disant massage. Et puis de partir, elles ont même dit qu’elles vont repasser demain.Je n’ai même pas la force de me lever du lit tellement je sens des courbatures un peu partout sur mon corps je suis furieuse, j’en veux au monde entier d’avoir laissé une telle chose se passer. Le nœud que j’ai à travers la gorge risque de m’exploser le cœur.Il pianote a
Il ne restait plus pour lui faire obstacle que ma culotte, dans laquelle je le sens introduire ses doigts habiles et inquisiteurs. Je le sens glisser la paume de sa main entre mes cuisses, puis caresser et pétrir ma peau sensible et brûlante. Le plaisir fait place à une sorte de douleur étrange, et je sers soudain les jambes autour de sa main.Lorsqu'il commence à se servir du talon de sa main pour me donner du plaisir, je suis aussitôt submergée de sensations, et frissonne à son contact. Il me goute avec sa langaue puis se redresse sur ses bras en me chevauchant.Une petite voix en moi m’ordonne de mettre un terme à tout cela.Je suis tellement bouleversée que je ne désire qu’une seule chose, me rouler en boule et pleurer.Je referme brusquement les yeux.Mais il n’en a pas encore terminé avec moi. Il rampe le long de mon corps et m’embrasse de nouveau sur la bouche. Il a un autre goût maintenant, un goût salé avec une nuance légèrement musquée. Je réalise que c’est mon goût. Je retr
+++++QUELQUES HEURES APRÈS +++++J’entends le bruit de la serrure quand je me lève épuiser après avoir tambouriné des minutes durant.Je me relève presque en sursaut quand je vois la porte s’ouvrir et il n’a le temps de poser un pied de plus que je lui balance mes chaussures que sur le coup de la colère j’avais balancé après n’avoir plus rien à faire dans la chambre.Ismaël : arrête !Il aboie mais je m’en fous de ses états d’âme, je ne suis pas un animal pour qu’il pense à m’enfermer.Moi : tu crois que je suis ta chienne ou quoi ?Il réduit la distance avant d’arriver à me retenir par les bras.Moi : je ne suis pas ta propriété.Ismaël : calme-toi !Moi : je ne me calme pas, je me calmerais que quand je l’aurais décidé.Ismaël : arrête de te comporter comme une gamine.Je ne relève pas l’insulte.Ismaël (balançant le sachet qu’il tenait en main) : je reparsIl ferme la porte en le claquant, je tombe en sanglot quand j’entends la voix de sa sœur au loin.(******)Le soir, après le dî