Ma'am Yes Ma'am

Scarlet Quinn Reyes, at the age of sixteen, she was infamous for being a liberated playgirl. Boyfriend here, boyfriend there. Basta mayaman at kayang ibigay ang mga luho niya, pasado na iyon sa standards niya. Para sa kaniya, ang mundo ay isang malaking playground. Kayang-kaya niyang paikutin sa palad ang mga lalaki na para bang mga laruan. Her usual targets were much older men. She faked her age, even her personality, just to get what she wanted. Not until Renzo Riku Alcantara came into the picture. He was Scarlet sister’s cousin-in-law, known for being kind and responsible. Bukod pa roon, siya rin ay ubod ng yaman at hindi rin maitatanggi ang angkin nitong kakisigan—mga katangian na nagtulak kay Scarlet para siya ang susunod na targetin. But unlike the men Scarlet had toyed with, Renzo was not swayed by her charm. Ang gusto pa nga niya ay ituwid ang landas ng dalaga para magbago ito. Nagpakakuya siya kay Scarlet, tipong halos lahat ng mga nagiging kasintahan ng dalaga ay ipinapakulong niya. Sa sobrang pagdidisiplina niya kay Scarlet, hindi niya namalayang sarili na pala niya ang dapat disiplinahin... dahil unti-unti na siyang nahuhulog sa dalaga. Ngunit pinigilan niya ang damdamin dahil bata pa ito. Nagpakalayo-layo siya. Saka lang siya bumalik noong debut party ni Scarlet. Ang kaso… buntis na ang dalaga. Ngunit iniwan siya ng tunay na ama ng dinadala niya, kaya si Renzo mismo ang umako at nagpaka-responsable sa bata. Pero sa pagbabalik ng tunay na ama, pipiliin kaya siya ni Scarlet... o mananatili siya kay Renzo?

Upon hearing about my husband's surgery, I braved a typhoon and torrential rain, driving four hours back to the city. When I arrived at the hospital, my husband, Xander Gray, was lying on the hospital bed, calling out loudly, "I want my wife! Get my wife here!" His buddies around him joked about how his wife had him completely whipped. Everyone said he loved me to death. Blushing, I walked over with a happy smile and held his hand, saying, "I'm here." To my surprise, he shook off my hand in disgust and snarled, "Get lost! You're not my wife! My wife is Beverly Long!"

Alice Harper marries her stepsister’s fiancé, Ryan Bennett, in a contract marriage to save her family from financial ruin, unaware of the storm ahead. After giving birth, her jealous step sister Clara steals her child and manipulates Ryan into divorcing Alice and exiling her from the country. Alone and heartbroken, Alice rebuilds her life abroad and discovers she gave birth to twins. Five years later, Alice returns to Australia as a wealthy doctor, determined to reclaim her child, uncover the truth, and seek revenge. However, Clara, now married to Ryan, will stop at nothing to protect her secrets, even as new enemies arise and old wounds are reopened.

My name is Isekai is a story about a man that transmigrated to an alternate universe, Takamatsu thought that since he transmigrated that he should have a more better chance, he thought that he should be the hero of the his new word just Like every other transmigrant but was left to be disappointed since there was even a greater Plot behind his transmigration That he was just a chess Piece in

NOTE: MATURED CONTENT. Excerpt. "On your knees," he commanded, his voice dripping with dominance and lust. "Now." "Please," I whimpered, but he silenced me with a swift slap across my cheek. "Silence!" he barked. "You know what I want. Now open your mouth and take it." As I unzipped his pants and pulled his hard dick out, My lips parted as he shoved his hard cock between them, his hand tangled in my hair as he guided me. "Suck it!! Suck it slut!!" He slapped me again, making me feel more wanted. I loved the pain because I was used to Noah spanking me so hard. "Suck it you little bitch!!" He stroked my hair, his eyes shut as he thrust so hard and fast that I could barely breathe. ************** Britney Williams, the pack's Omega gets married to Alpha Liam Michaelson, a successful billionaire in New York City but she never had enough in bed and the sex he gave her. It happened that Britney's past life wasn't just the type a regular kind of girl would have. She was a Nymphomaniac, the sex freak. It was all about fun and that meant mad, Psycho fun with her first Alpha. Things were going well in her marriage until she couldn't cope with the fact that her husband wasn't satisfying her so hard in bed like "HE" did in the past. When I say "HE?", I mean Britney's ex boyfriend, Alpha Noah Lex. What happens when the beautiful and most elegant but sex driving Britney gets to find out that she just can't go a day without thinking about Alpha Noah's touch? Or the fact that she gets to meet Noah at a store which led to something crazy...... Find out more on; BITTEN BY THE DOMINANT ALPHA:

Quand Tessa débarque à Paris pour commencer son BTS, elle croit emménager chez Paul, le frère tranquille de sa meilleure amie. Mais en ouvrant la porte, c’est un autre visage qui l’attend : Noah Delcourt. Son premier amour. Son premier connard, aussi. Il l’a humiliée à seize ans, jetée pour une blonde parfaite, et elle ne lui a jamais pardonné. Aujourd’hui, le destin les enferme sous le même toit. Lui, héritier d’un empire hôtelier, arrogant, sûr de lui, persuadé qu’elle n’est “pas son genre”. Elle, étudiante fière, déterminée à décrocher son diplôme coûte que coûte, même si ça veut dire supporter son mépris et ses piques quotidiennes. Mais plus les jours passent, plus la frontière entre rancune et désir se brouille. Car vivre avec son ex… c’est vivre avec la tentation. Et parfois, la haine n’est qu’une autre façon d’aimer.

Quelle est la première chose que tu ferais si tu renaissais ? Moi ? Je commencerais par divorcer de mon mari, Gabriel Delacroix. Oui, Gabriel Delacroix, le même homme qui dirige la moitié du monde criminel depuis l'ombre. Le Parrain. L'homme le plus riche du monde. Celui dont rêvent toutes les femmes ; son visage était partout sur les magazines, nommé « L'homme le plus sexy du monde » cinq années de suite. Dans ma vie précédente, j'avais tout essayé pour qu'il me regarde comme si j'avais de l'importance. Je l'avais épousé. J'avais donné naissance à son fils. J'avais avalé toute ma fierté en essayant d'être l'épouse parfaite. Mais ça n'avait pas marché. Pour lui, je n'étais pas différente d'une serveuse à qui il laisserait un pourboire — oubliable, remplaçable, invisible. Alors cette fois, je ne supplie pas. Je ne fais pas semblant. Je remets à Madeleine Girard la clé de ma place dans sa vie, et je m'en vais. C'est le premier amour de Gabriel, et aussi l'ombre qui avait hanté chacun de mes jours dans ma vie précédente. Madeleine était assise en face de moi ; elle a cligné des yeux comme si elle n'avait pas bien compris ce que je venais de dire. « Tu as tellement essayé de me repousser », a-t-elle dit lentement, les yeux plissés. « Et maintenant tu veux que je sois avec Gabriel ? » « Oui. C'est tout ce que je demande. Parle à Gabriel. Dis-lui de signer les papiers du divorce. » J'ai regardé son visage confus et j'ai continué : « Tout le monde sait que je ne pourrais jamais abandonner Gabriel. Alors si je dis que je veux divorcer, il ne me croira pas une seule seconde. Mais toi ? C'est toi qui peux faire en sorte que ça arrive… n'est-ce pas ? » Elle a ri, parce qu'elle avait enfin sa chance. J'ai ri aussi, parce que j'étais enfin libre.

Parce que la fille de son premier amour avait été enfermée dans la voiture et avait succombé à un coup de chaleur, mon père, dans un accès de rage irrationnelle, m’a attachée et enfermée dans le coffre de la voiture. Ses yeux, dénués de toute pitié, se sont posés sur moi avec un dégoût palpable. « Je n’ai pas de fille aussi vile que toi », m’a-t-il lancé, « reste ici et paie le prix de ta faute ! » Je l’ai supplié de me pardonner, ma seule requête étant de pouvoir respirer l’air frais à nouveau. Mais sa réponse était aussi glaciale que l’acier : « Personne ne peut la laisser sortir à moins qu’elle ne soit morte. » La voiture, garée dans l’obscurité du garage, offrait un silence lourd. Pendant des heures, puis des jours, mes appels désespérés se perdaient dans l’indifférence totale du monde extérieur, ne pouvant pas percer l’épaisse solitude de cet endroit. Le temps s’est étiré dans une lente torture, et ce n’est qu’au septième jour que mon père, enfin, s’est souvenu que, malgré tout, j’étais sa fille. Mais il ignorait alors que j’étais déjà morte, engloutie par l’obscurité de ce coffre, mon âme éteinte à jamais...

Le jour où mon père et son ex sont apparus à un gala et sont devenus un sujet brûlant sur les réseaux, tout le monde se moquait de ma mère. Elle avait sacrifié une brillante carrière pour entrer dans une famille puissante, mais après trente ans, elle n'avait ni statut ni reconnaissance. Elle n'avait même pas le courage de reprocher quoi que ce soit à la maîtresse. Après une crise de larmes, ma mère m'a regardée, épuisée. « C'est lui qui m'a trahie en premier, alors je ne veux plus de lui. » « Rosalie, tu veux partir avec moi ? » C'est à ce moment-là que j'ai reçu un message de mon copain, avec qui j'étais depuis sept ans. « Rosalie, ce n'est qu'un papier à signer. Tu peux rester ma copine, non ? » Je suis restée silencieuse quelques secondes, puis j'ai hoché la tête. Alors, le jour même de leur mariage, ma mère et moi avons disparu dans l'incendie de la villa.

« Mademoiselle Lebrun, nous avions suivi vos instructions à la lettre : le corps ‘mort' vous ressemblait en tous points. Nous devions le livrer dans dix jours, directement sur le lieu de votre mariage avec Monsieur Humbert. » Au bout du fil, la voix calme de l'employé procurait enfin un peu de répit à Doriane Lebrun, dont les nerfs étaient à vif depuis des semaines. « Parfait, je vous remercie », répondait-elle. « Tout est en ordre, rassurez-vous. Aucune suspicion n'est possible : l'identification sera indiscutable. » Doriane sentait alors son souffle lui revenir, comme si un poids immense se soulevait. Elle prenait encore quelques minutes pour confirmer les derniers détails de l'opération avant de raccrocher. Puis, recomposant son masque de sérénité, elle franchissait la porte de la loge privée. À l'intérieur, les rires et les conversations s'éteignaient instantanément à son entrée, comme coupés au couteau.