Poem About Tree

At three months pregnant, I was diagnosed with an ectopic pregnancy. My husband, a doctor, was overwhelmed with worry, pulling every string he could to arrange surgery and remove the baby. "As long as you're okay, it doesn’t matter if we don’t have our own child. We can always adopt. I can't lose you, Evelyn!" Heartbroken, I blamed myself for being useless, for failing to carry our child, and for disappointing my husband. But then, I accidentally saw his chat messages with another woman on the phone. "Don’t worry, I already told her she had an ectopic pregnancy." "I’ll have her sign the adoption papers soon, then find a way to bring you into our home." "Asher is my only son. I will make sure he inherits everything I have!" That was when I realized that the husband I loved so deeply had long since built another family behind my back.

Mon petit ami Jacques m'avait promis une grande cérémonie de marquage pour mes 20 ans. Pourtant, le jour de mon anniversaire, c'est devant tout le monde qu'il a solennellement demandé à ma demi-sœur Lydia de devenir son âme sœur. Sous les acclamations générales, je suis restée là, telle une pitre abandonnée, le cœur brisé. Alors que la douleur de la trahison m'engloutissait, Samuel, l'héritier Alpha de la Meute du Fantôme Noir, a surgi pour déclarer sa flamme : « Annie, je t'aime en secret depuis longtemps. Deviens ma Luna, veux-tu ? » Je l'ai accepté, et pendant cinq ans de mariage, il m'a chérie, gâtée, se souvenant de chacun de mes goûts. Jusqu'au jour où j'ai surpris sa conversation avec un Bêta et mon bonheur s'est brisé : « Samuel, Lydia est enfin devenue la Luna de le Meute de Rose Blanche. Vas-tu continuer à jouer un mari modèle devant Annie ? » « Puisque je ne peux avoir Lydia, peu importe qui partage ma vie. Au moins, comme ça, Annie ne viendra pas gâcher son bonheur. » Dans le coffre de son bureau, il conservait précieusement chaque cadeau de Lydia : pendentifs en crocs de loup, lettres marquées de ses empreintes... Même sur sa précieuse armure d'écailles, chaque plaque portait gravé le nom de Lydia. « Lydia, mon unique amour. Mes griffes trancheront tous les obstacles pour ton bonheur. » « Je t'offrirai mon cœur de loup battant, si tu le désires. » « Je te volerais même la lune, s'il le fallait ! » Ce que je croyais être cinq années de mariage heureux n'étaient qu'un mirage, et une fois la vérité révélée, tout s'est dissipé comme une brume. J'ai demandé à quitter la meute. Et dans deux jours, j'aurais disparu de la vie de Samuel pour toujours...

Lorsque je suis allée refaire le certificat de liaison conjugale, l'agent du service administratif m'a annoncé : « Votre ancien certificat de liaison est un faux. Nous n'avons aucune trace de votre enregistrement ici. » Je n'en croyais pas mes oreilles et j'ai insisté : « Sébastien et moi sommes pourtant officiellement liés depuis cinq ans… Comment est-ce possible ? Pouvez-vous vérifier à nouveau, s'il vous plaît ? » Cyrille a compulsé une seconde fois nos dossiers et a conclu : « Les documents de l'Alpha Sébastien sont bien là… Mais selon nos archives, son partenaire officiel n'est pas vous. » Ma voix s'est brisée : « Qui, alors ? » « Lorie. » Sa réponse était nette. À ce nom, j'ai serré le dossier de la chaise jusqu'à blêmir, luttant pour ne pas m'effondrer. Avant que Cyrille ne prononce le nom de Lorie, j'espérais encore une erreur. Mais maintenant, tout prenait un sens terriblement cohérent. Lorie… n'était autre que l'amie d'enfance de Sébastien ! À cet instant, tant de choses trouvaient enfin une explication : ces cinq années passées comme son partenaire, sans qu'il ne me marque jamais. Notre cérémonie de liaison, cinq ans plus tôt, n'avait été qu'une mascarade. J'avais tout abandonné pour lui, croyant à un bonheur possible. Mais ces cinq années de « félicité » n'étaient qu'une illusion, soigneusement fabriquée par lui. Puisque rien de tout cela ne m'appartenait vraiment… il était temps de partir...

Mon amour, Éric Valmont. Il m'aimait à la folie. Tout le monde disait qu'il était le mari idéal. Mais il m'a trahie. Trois fois. La première fois, c'était il y a trois ans. Son ami, Lucien Caron, est mort en le sauvant. Éric m'a caché qu'il avait épousé Margaux Lefèvre, la fiancée de Lucien, pour « la protéger ». Le jour où je l'ai découvert, j'ai voulu partir. Mais il a fait partir Margaux à l'étranger dans la nuit et s'est agenouillé devant moi, suppliant : « Claire, Lucien est mort à cause de moi… Je dois prendre soin de sa fiancée. Ce mariage n'est qu'une protection pour elle, rien de plus. Dès que j'aurai vengé Lucien, je divorcerai. Je t'aime, toi, et seulement toi. » Cette fois-là, je l'ai pardonné. Un an plus tard, lors d'une conférence de presse, Éric a publiquement présenté Margaux comme « l'épouse du chef ». Il m'a encore expliqué : « Margaux est la fille unique de la famille Lefèvre, puissante dans le milieu. Notre alliance n'a qu'un but : venger Lucien. Nous avons déjà convenu qu'après, je divorcerai… et je t'épouserai aussitôt. » Et, encore une fois, je l'ai cru. Puis, il y a un an, lors d'un gala, on lui a tendu un piège. Drogué, il a passé la nuit avec Margaux. Il a tout caché… jusqu'à ce que, quinze jours plus tôt, je le surprenne à l'hôpital, accompagnant Margaux à une échographie. Quand j'ai compris, il a baissé les yeux, incapable de me regarder, et a murmuré : « Claire… ce n'était qu'un accident. Quand l'enfant naîtra, je l'enverrai loin. Mes parents s'en occuperont. Jamais ni elle ni l'enfant ne croiseront ta route. » Sous couvert d'amour, Éric m'a poussée, pas à pas, à tout accepter. Mais aujourd'hui, je le sais : il n'y aura plus jamais de « nous ». Il est temps pour moi de partir.

Les Hommes-Bêtes étaient réputés pour leur force guerrière. Pour consolider le pouvoir de notre clan, mon père nous a offertes, ma demi-sœur Anaïs Moineau et moi, en mariage aux deux de ces peuples. Dans ma vie antérieure, Anaïs avait épousé le roi des Dragons, dont la richesse rivalisait avec celle de toutes les autres races réunies, tandis que j'avais été contrainte de m'unir au clan démuni des Lions. Le roi des Dragons, Gaylord Dieulafoy, homme froid et impassible, ne vivait que pour ses ambitions, négligeant complètement Anaïs. Rongée par la solitude, elle avait séduit le jeune maître volage des Renards. Leur adultère avait été découvert, et Gaylord l'avait répudiée. Notre famille en était couverte de honte. Sous la pression, notre père, pourtant si indulgent envers elle, avait dû la chasser. En revanche, Brice Gardet, le roi des Lions, était dévoué et passionné. Notre union était heureuse et, en moins d'un an, j'avais mis au monde des enfants, dotés de pouvoirs divins. Grâce à ça, Brice était devenu le souverain de tous les clans des Hommes-Bêtes, et moi, sa reine. Mais la jalousie d'Anaïs avait tout détruit. Le jour de la fête pour le premier anniversaire de mon enfant, elle l'avait étranglé, puis avait mis le feu à ma demeure pour m'y brûler vive. Quand j'ai rouvert les yeux, nous étions de retour au jour des alliances. Cette fois, Anaïs a exigé d'épouser Brice, me « cédant » ainsi Gaylord. Je l'ai accepté. Dotée d'une dot dix fois moindre que la sienne, j'ai épousé Gaylord. Par la suite ? Anaïs a épuisé toute sa dot à soutenir le Lion, et son incapacité à procréer l'a contrainte à s'accoupler avec d'autres Hommes-Bêtes. Moi qui n'aspirais qu'à un enfant et une existence paisible après la tragédie de ma vie précédente, j'ai dû faire face à une autre réalité : pourquoi mon mari, réputé froid et abstinent, me réclamait-il sans cesse depuis notre nuit nuptiale ? Et pourquoi personne ne m'avait avertie que les Dragons possédaient deux pénis… tous deux épineux ?

When my husband threatened me with divorce for the hundredth time, demanding I sacrifice myself for my sister, I did not cry or make a scene. I simply signed my name on the divorce papers and willingly handed over the man I had loved for ten years to my sister. A few days later, my sister spoke recklessly at a banquet and offended a powerful family. Once again, I stepped forward to take responsibility, bearing all the consequences in her place. When they later proposed that I become a test subject for my sister's drug research, I gladly accepted. Mom and Dad said I had finally grown into someone mature and responsible. Even my cold husband stood by my hospital bed and, for the first time in so long, gently stroked my cheek. He said tenderly, "Don't be afraid. The experiment won't be life-threatening. When you get out, I'll cook you a big meal." However, he did not know that regardless of whether the experiment was dangerous or not, he did not have to wait for me because I was already dying from a terminal illness.

I make my way to the orphanage after receiving my cancer diagnosis, hoping to bid farewell to the orphan, Lillian Lowe, whom I was sponsoring financially. I unexpectedly find my husband, Henry Graham, who is meant to be on a business trip, and my sister, Felicity Sullivan, who is meant to be on a vacation. Their fingers are intertwined, while they use their free hands to playfully pinch Lillian's cheeks. Lillian rushes into their embrace, weeping pitifully. "Can you get rid of that mean lady at home? I just want to go home with Mommy and Daddy." I finally understand, at that moment, that Henry, whom I thought had loved me the most, is having an affair with Felicity. They even have a child together. Mom and Dad urge me to divorce Henry and make way for his new family. Lillian, the girl I once held dearly in my heart, curses me to an early death. Henry, the one who betrayed me, insists on keeping our marriage. It's too late, though. I'm already dying, just as they wished. Lillian, who once cried so much at the orphanage, now lives in a mansion with a father, a mother, and a pair of doting grandparents. Their perfect little life seems like a never-ending fairy tale. It is only when my lifeless body is before them that everyone suddenly loses their minds.

I died on my birthday, but neither my parents nor my husband noticed. They were too busy pouring all their attention into planning my twin sister, Esme Shaw's, birthday party. While she was surrounded by people helping her pick out a gown, I was tied up and thrown into the basement. With what little strength I had left, I forced my broken fingers to press in the code—9395. It was a signal my husband, Edwin Grant, and I had once agreed on. It was a straightforward way to call for help in the event of danger. I never thought I would actually need it one day. But when I sent it, he didn't believe me. His reply was cold, "Claudia, just because I didn't take you shopping for a new dress, you've decided to put on a show? "You can still wear last year's gown. Stop making trouble. I'll see you at the party later." What he didn't know was that Esme had already shredded that gown into pieces. And what he couldn't imagine was that the moment after he hung up, I was already gone. So, when the celebration began, I never appeared. But when everyone saw the birthday gift I had prepared for Esme ahead of time, the entire room lost its mind.

I've planned seven wedding ceremonies in total, and not once has my fiance, Zachary Gardner, ever shown up for it. The first time, his adopted younger sister, Louise Foster, bursts into tears because she lost her passport at the airport. It was the dead of winter, but he dumped me by the side of the road and left me. The second time, Louise's dog sprained its ankle. Zachary stuffed the ring back into its box and rushed to the animal hospital to accompany her. Every time I argue with him about it, he declares nonchalantly, "We can get married anytime, but I can't let Louise be upset." Everyone around us agrees with him, saying that we're all family anyway, so I shouldn't be so petty. None of them has seen Zachary and Louise kissing fiercely on the dance floor. Today is the seventh wedding ceremony. Once again, he turns to leave after getting a call. I grab the corner of his shirt and say in a choked voice, "If you leave this time, Zachary, I won't marry you anymore." He stops in his tracks and peels off my fingers. "Wait for me," he says before rushing off. What he doesn't know is that this time, I won't be waiting for him any longer.

After I landed in the hospital—again—from working myself into the ground, Jacob swore he was done playing house stockbroker. "Starting tomorrow, I'll do anything. Haul bricks, deliver pizza, whatever. I'm not letting you carry this alone." His eyes were glassy as he stormed out of the exam room like he was about to save the day or something. Then the doctor walked in and handed me a report. I was pregnant. Again. Heart racing, I chased after Jacob... and froze. He was standing outside some super VIP room. The same guys who used to bang on our door for money were suddenly all respectful. "Mr. Klein, should we block her door again tomorrow?" Jacob twirled our engagement ring around his finger. "No need. She already lost one baby paying off those debts. The test's over. Time she knew who I really am." Then my best friend—Lillian Morvain—strolled out and wrapped her arms around his waist like she belonged there. "Jacob, don't go soft. Your tests usually last at least five years. What if she's just another gold digger? Plus... I'd miss you." He hesitated. Smirked. "Fine. We'll do it your way. She's not going anywhere anyway." I stood there, clutching my stomach, sliding down the wall like the air had been punched out of me. Later, I pushed open the office door. "Dr. Spencer, I need a termination. Three days from now."