Lahat ng Kabanata ng SLAVE : Kabanata 1 - Kabanata 10

- c'est bien ma fille si Angeline ( sa tante ) pouvait en faire autantdit-il en soufflant d' exaspération .Elle sait qu'il n'en dira pas plus , elle rentre s'habiller ,prends son sac à dos dans lequel se trouve sa tenue de service , son make up et tout ce qu'il lui faut .quand elle ressort, elle les trouve sur une natte , en train de manger- ma fille mange ton repas avant de partir .dit son grand-père- non Aupah je suis déjà en retard- haaa c'est que je vais tuer ça_haaa je mangerai son plat alorsdit Nestore le bon a rien- pourquoi ?? donne ça aux Ivan la_pourquoi donne mon plat aux enfants ( Ivan , Etan et Linda )Les jumeaux avaient pratiquement le même âge que Linda qui elle avait 6 ans et eux 8 ans ils mangeaient donc ensemble , Nestore mangeait seul tout comme mon grand père .Samuel , Jean et Roma mangeaient ensemble , Samuel et Roma étaient au lycée ; l' un en seconde l' autre en première et jean faisait sa deuxième année d' université- ma soeur tu vas au boulotPOV

Sally et moi étions arrivés à après barrage muni de nos achats- tchièeee apprenti la n'a pas rater la femme la dès . c'est bien fait , elle voulait dire quoi elle comprend trop français . c est pas nous tous on a eu la chance de faire papier . Si on casse la c'est pas parce-que on fait exprès, c'est parce qu'on connait pas ._l'Apprenti lui a réglé son compte . Elle voulait se faire voir , humilier l'Apprenti.Nous n'avons pas tous eu la chance d'avoir accès à l'éducation , si nous parlons un mauvais français ce n'est pas fait exprès . Nous ne connaissons pas , personne ne nous l'a apprit .Me dit Sally alors que nous prenions le second véhicule .Moi j'avais eu la chance lorsque ma mère était encore en vie , d'avoir une formation académique et cela jusqu'au collège précisément la classe de 5 ème.j'étais une brillante élève . Après la mort de ma mère , mon grand-père me recueillit et j'ai eu la chance de continuer jusqu'en classe de 3 ème.C'est à ce moment que les enfants sont venus

-Allo mademoiselle NashNash ne reconnaissait pas la voix non plus.Tout les yeux étaient braqués sur elle. Aussi bien ceux de sa patronne que ceux de l'amie de cette dernière .Sur la gazinière une marmite était posée , elle-même sur le feu, à l'intérieur se trouvait de l'eau destiné a déboucher le levier .- oui c'est bien moi puis je vous aiderl'amie de sa patronne la fixa avec des yeux globuleux.Elle ne s'attendait pas à ce qu'une fille comme Nash ait un niveau de langage aussi soutenu .- C'est moi le médecin qui m'occupe du cas de votre grand-père .Toute de suite la jeune fille s'affole - Quoi il est là- bas ? J'arrive tout de suite .Nash s'approcha de la bouteille de gaz , le téléphone toujours coller à son oreille pour saisir son sac et s'en aller.Au même moment la gazinière explosa , la projetant contre l'amie de sa patronne devant la porte .Son téléphone se retrouva à côté de la bouteille de gaz . quelque chose lui dit qu'elle devait vite sortir, que ce n' était pas f

— Tu as compris ? Fais tes affaires. Demande à Marcial de te remettre ton salaire du mois. Tu es renvoyée.Nash n’eut pas la force de parler, encore moins de demander pardon. Elle en avait assez de toujours subir cette chienne de vie. Ce gros porc avait pratiquement déchiré sa tenue, qu’elle s’efforçait maintenant de maintenir contre elle pour cacher la nudité de sa poitrine.Marcial lui lança un regard de pitié. Il ne pouvait rien faire : le boss avait parlé.Vêtue à la hâte, son sac sur le dos, elle rentra à la maison. Devant la porte de l’appartement, elle trouva Jean et les jumeaux assis. Les deux petits pleuraient. Aussitôt, elle pensa à son grand-père.— Et Aupah, il est où ?Elle entra précipitamment dans la chambre et le trouva couché sur le lit, lui aussi en larmes.— Aupah, ça va ? Pourquoi tu pleures ?Au même moment, Angéline, sa tante, entra titubante dans la chambre, ivre. Elle se laissa tomber lourdement sur le lit.— Espèce de mauvaise femme, de mauvaise mère ! Ta fill

— Hééé ! Réveille-toi ! Vous les filles-là, vous êtes trop mauvaises. La dame t’a donné du travail et toi, tu viens brûler son restaurant !lança le policier en la poussant violemment dans la cellule du commissariat.Nash se trouva un petit coin où elle s’assit. L’hygiène des lieux laissait clairement à désirer, mais au moins, elle était seule.Dans la cellule voisine, occupée par des hommes, elle entendait des éclats de voix. Ils semblaient en pleine dispute, peut-être même en train de se battre.— Haaaaa !!!Un cri perçant retentit soudain.— Taisez-vous, y a quoi même ?! Vous ne savez pas qu’il fait nuit ?Fermez-la ! Que se passe-t-il ?! Vous n’avez donc aucune idée de l’heure qu’il est ?!hurla un officier de police en s’approchant en trombe pour voir ce qui se passait.Sans hésiter, il dégaina son arme et la pointa en direction des détenus, tout en fouillant ses poches à la recherche d’un trousseau de clés.Dans la précipitation, il ouvrit la cellule et tira le corps d’un homme