Greedy Quotes About Money

When struggling waitress Elira Cruz was forced into entering a contract marriage with cold, ruthless billionaire Caelan Ferrer, she thought she was sealing just another business deal: one year, no emotions, no strings. But behind that icy stare lay hurtful memories Elira unknowingly played a part in. Snowed in by her messy kindness, the man who swore never to love again slowly began to thaw. Secrets begin to unfold underneath. A hidden link ties them much closer than either one would have imagined. Will their fake marriage survive the truth...or will love become the price of revenge?

After two years of marriage, Joshua suddenly asked for a divorce.He said, "She's back. Let's get a divorce, and you can ask for whatever you want."Two years of marriage could not withstand a single turn of events. As the saying goes, 'If the ex sheds a tear, the current lover will surely lose.'Without making a fuss, Cynthia chose to comply and presented her conditions."I want your most expensive supercar.""Okay.""And the villa in the outskirts.""Deal.""And let's split the tens of billions we earned during our two-year marriage.""Excuse me, what?"

After my husband's brother died, he took Miranda, his widowed sister-in-law in. He claimed that he would give me his love—but gave all his money to her. He said that since she had no official status, being with him would make her the subject of gossip, so he took her with him and left me behind in the countryside. Every month, he wrote me three love letters, yet sent all his allowance to her. During the famine, she and her two children sat in a warm little house eating well, while my two children died before I could return from selling my blood. One froze to death, the other starved to death. Later, my husband finally came back, but he didn’t shed a single tear for the children. Instead, he told me he wanted a divorce. "Nathalie, to apply for housing, we need a marriage certificate. It hasn’t been easy for Miranda all these years. I want to give her a home. Don’t worry, even if I marry her, I’ll still divorce her afterward—because you’re the only one I love." In the end, I was devastated and threw myself into the icy river. When I opened my eyes again, I was back on the day my children were about to die. This time, I shook them awake, ready to go reclaim everything that was rightfully mine.

Bruce Styles has a thriving career as a field agent in the FBI, a list of women at his beck and call, and great family and friends. His life is perfect until he sets his sights on Margo St. John. After Bruce had ghosted Margo's best friend and stiffed her with an exuberate dinner bill last year, she wanted nothing to do with the playboy. Thinking that if she gives him what he wants he would go away, Margo agrees to go out on a date with him. After dinner – and a one night stand, Margo resumes her life. However, Bruce has other ideas. Margo has a strange effect on him and he can't let it – or her go. When she disappears after Christmas Day, Bruce exploits every resource to locate her. What he finds is more than he bargained for.

At three months pregnant, I was diagnosed with an ectopic pregnancy. My husband, a doctor, was overwhelmed with worry, pulling every string he could to arrange surgery and remove the baby. "As long as you're okay, it doesn’t matter if we don’t have our own child. We can always adopt. I can't lose you, Evelyn!" Heartbroken, I blamed myself for being useless, for failing to carry our child, and for disappointing my husband. But then, I accidentally saw his chat messages with another woman on the phone. "Don’t worry, I already told her she had an ectopic pregnancy." "I’ll have her sign the adoption papers soon, then find a way to bring you into our home." "Asher is my only son. I will make sure he inherits everything I have!" That was when I realized that the husband I loved so deeply had long since built another family behind my back.

I'd spent six months saving every penny for prenatal care, but the money vanished overnight. Panicking, I called my fiancé, only to see him on another woman's social media. The man's busy silhouette radiated excitement, with a luxury handbag sitting at the edge of the photo. The caption read: "Mr. Wellington is such a gentleman! Today's happiness starts with snagging the last designer bag at the boutique~" When I came out of surgery, my furious fiancé finally showed up. His first words were an accusation. "Can you stop treating me like I'm on a leash?" "My friend was feeling down, so I bought her a bag and kept her company. What's wrong with that? Why are you so petty!"

Lorsque je suis allée refaire le certificat de liaison conjugale, l'agent du service administratif m'a annoncé : « Votre ancien certificat de liaison est un faux. Nous n'avons aucune trace de votre enregistrement ici. » Je n'en croyais pas mes oreilles et j'ai insisté : « Sébastien et moi sommes pourtant officiellement liés depuis cinq ans… Comment est-ce possible ? Pouvez-vous vérifier à nouveau, s'il vous plaît ? » Cyrille a compulsé une seconde fois nos dossiers et a conclu : « Les documents de l'Alpha Sébastien sont bien là… Mais selon nos archives, son partenaire officiel n'est pas vous. » Ma voix s'est brisée : « Qui, alors ? » « Lorie. » Sa réponse était nette. À ce nom, j'ai serré le dossier de la chaise jusqu'à blêmir, luttant pour ne pas m'effondrer. Avant que Cyrille ne prononce le nom de Lorie, j'espérais encore une erreur. Mais maintenant, tout prenait un sens terriblement cohérent. Lorie… n'était autre que l'amie d'enfance de Sébastien ! À cet instant, tant de choses trouvaient enfin une explication : ces cinq années passées comme son partenaire, sans qu'il ne me marque jamais. Notre cérémonie de liaison, cinq ans plus tôt, n'avait été qu'une mascarade. J'avais tout abandonné pour lui, croyant à un bonheur possible. Mais ces cinq années de « félicité » n'étaient qu'une illusion, soigneusement fabriquée par lui. Puisque rien de tout cela ne m'appartenait vraiment… il était temps de partir...

Les Hommes-Bêtes étaient réputés pour leur force guerrière. Pour consolider le pouvoir de notre clan, mon père nous a offertes, ma demi-sœur Anaïs Moineau et moi, en mariage aux deux de ces peuples. Dans ma vie antérieure, Anaïs avait épousé le roi des Dragons, dont la richesse rivalisait avec celle de toutes les autres races réunies, tandis que j'avais été contrainte de m'unir au clan démuni des Lions. Le roi des Dragons, Gaylord Dieulafoy, homme froid et impassible, ne vivait que pour ses ambitions, négligeant complètement Anaïs. Rongée par la solitude, elle avait séduit le jeune maître volage des Renards. Leur adultère avait été découvert, et Gaylord l'avait répudiée. Notre famille en était couverte de honte. Sous la pression, notre père, pourtant si indulgent envers elle, avait dû la chasser. En revanche, Brice Gardet, le roi des Lions, était dévoué et passionné. Notre union était heureuse et, en moins d'un an, j'avais mis au monde des enfants, dotés de pouvoirs divins. Grâce à ça, Brice était devenu le souverain de tous les clans des Hommes-Bêtes, et moi, sa reine. Mais la jalousie d'Anaïs avait tout détruit. Le jour de la fête pour le premier anniversaire de mon enfant, elle l'avait étranglé, puis avait mis le feu à ma demeure pour m'y brûler vive. Quand j'ai rouvert les yeux, nous étions de retour au jour des alliances. Cette fois, Anaïs a exigé d'épouser Brice, me « cédant » ainsi Gaylord. Je l'ai accepté. Dotée d'une dot dix fois moindre que la sienne, j'ai épousé Gaylord. Par la suite ? Anaïs a épuisé toute sa dot à soutenir le Lion, et son incapacité à procréer l'a contrainte à s'accoupler avec d'autres Hommes-Bêtes. Moi qui n'aspirais qu'à un enfant et une existence paisible après la tragédie de ma vie précédente, j'ai dû faire face à une autre réalité : pourquoi mon mari, réputé froid et abstinent, me réclamait-il sans cesse depuis notre nuit nuptiale ? Et pourquoi personne ne m'avait avertie que les Dragons possédaient deux pénis… tous deux épineux ?

Mon petit ami Jacques m'avait promis une grande cérémonie de marquage pour mes 20 ans. Pourtant, le jour de mon anniversaire, c'est devant tout le monde qu'il a solennellement demandé à ma demi-sœur Lydia de devenir son âme sœur. Sous les acclamations générales, je suis restée là, telle une pitre abandonnée, le cœur brisé. Alors que la douleur de la trahison m'engloutissait, Samuel, l'héritier Alpha de la Meute du Fantôme Noir, a surgi pour déclarer sa flamme : « Annie, je t'aime en secret depuis longtemps. Deviens ma Luna, veux-tu ? » Je l'ai accepté, et pendant cinq ans de mariage, il m'a chérie, gâtée, se souvenant de chacun de mes goûts. Jusqu'au jour où j'ai surpris sa conversation avec un Bêta et mon bonheur s'est brisé : « Samuel, Lydia est enfin devenue la Luna de le Meute de Rose Blanche. Vas-tu continuer à jouer un mari modèle devant Annie ? » « Puisque je ne peux avoir Lydia, peu importe qui partage ma vie. Au moins, comme ça, Annie ne viendra pas gâcher son bonheur. » Dans le coffre de son bureau, il conservait précieusement chaque cadeau de Lydia : pendentifs en crocs de loup, lettres marquées de ses empreintes... Même sur sa précieuse armure d'écailles, chaque plaque portait gravé le nom de Lydia. « Lydia, mon unique amour. Mes griffes trancheront tous les obstacles pour ton bonheur. » « Je t'offrirai mon cœur de loup battant, si tu le désires. » « Je te volerais même la lune, s'il le fallait ! » Ce que je croyais être cinq années de mariage heureux n'étaient qu'un mirage, et une fois la vérité révélée, tout s'est dissipé comme une brume. J'ai demandé à quitter la meute. Et dans deux jours, j'aurais disparu de la vie de Samuel pour toujours...

Mon amour, Éric Valmont. Il m'aimait à la folie. Tout le monde disait qu'il était le mari idéal. Mais il m'a trahie. Trois fois. La première fois, c'était il y a trois ans. Son ami, Lucien Caron, est mort en le sauvant. Éric m'a caché qu'il avait épousé Margaux Lefèvre, la fiancée de Lucien, pour « la protéger ». Le jour où je l'ai découvert, j'ai voulu partir. Mais il a fait partir Margaux à l'étranger dans la nuit et s'est agenouillé devant moi, suppliant : « Claire, Lucien est mort à cause de moi… Je dois prendre soin de sa fiancée. Ce mariage n'est qu'une protection pour elle, rien de plus. Dès que j'aurai vengé Lucien, je divorcerai. Je t'aime, toi, et seulement toi. » Cette fois-là, je l'ai pardonné. Un an plus tard, lors d'une conférence de presse, Éric a publiquement présenté Margaux comme « l'épouse du chef ». Il m'a encore expliqué : « Margaux est la fille unique de la famille Lefèvre, puissante dans le milieu. Notre alliance n'a qu'un but : venger Lucien. Nous avons déjà convenu qu'après, je divorcerai… et je t'épouserai aussitôt. » Et, encore une fois, je l'ai cru. Puis, il y a un an, lors d'un gala, on lui a tendu un piège. Drogué, il a passé la nuit avec Margaux. Il a tout caché… jusqu'à ce que, quinze jours plus tôt, je le surprenne à l'hôpital, accompagnant Margaux à une échographie. Quand j'ai compris, il a baissé les yeux, incapable de me regarder, et a murmuré : « Claire… ce n'était qu'un accident. Quand l'enfant naîtra, je l'enverrai loin. Mes parents s'en occuperont. Jamais ni elle ni l'enfant ne croiseront ta route. » Sous couvert d'amour, Éric m'a poussée, pas à pas, à tout accepter. Mais aujourd'hui, je le sais : il n'y aura plus jamais de « nous ». Il est temps pour moi de partir.