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Si tu n'avais plus que 72 heures à vivre

Si tu n'avais plus que 72 heures à vivre

Le jour où j'ai décidé de donner mon corps à la science, ma famille s'est rassemblée autour de ma sœur adoptive, Chloé, pour fêter son admission dans un programme expérimental de pointe. Celle qui était censée avoir un cancer du cerveau, c'était moi. Mais Chloé avait profité de la position de mon mari, Zane, à l'hôpital pour échanger ses dossiers médicaux sains contre mon diagnostic en phase terminale. Elle m'a volé ainsi la seule chance que j'avais de survivre. Et le pire ? Tout le monde l'a applaudie. La douleur est devenue insupportable. J'ai lutté pour rester présente, jusqu'au moment où j'ai surpris les infirmières chuchotant : « Heureusement que le docteur Zane a obtenu cette place pour Chloé. Ils disaient qu'il ne lui restait que trois jours à vivre. » Alors, pendant les soixante-douze dernières heures de ma vie, j'ai tout lâché, en silence. Quand j'ai remis à Chloé les manuscrits originaux de mes romans, dans lesquels j'avais mis toute mon âme, mon père et mon frère m'ont adressé un sourire satisfait. Quand Zane a décidé d'exaucer le vœu soi-disant ultime de Chloé en l'épousant, il m'a tendu les papiers du divorce. J'ai signé sans la moindre hésitation. Il a soupiré et m'a félicitée d'être enfin raisonnable. Et quand c'est moi qui ai poussé notre fille, Olivia, à appeler Chloé « maman », Olivia s'est exclamée que sa nouvelle maman était la meilleure. « Ne t'inquiète pas, » m'a rassurée Zane. « C'est juste pour la protéger pour l'instant. Une fois qu'elle sera partie, tout reviendra vers toi. » J'ai tout donné à Chloé, exactement comme ils le voulaient. Alors pourquoi, quand ils ont découvert que tout cela n'était qu'un mensonge abject inventé par Chloé, sont-ils venus pleurer pour ça, en disant que c'est moi qu'ils avaient toujours voulu ?
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Mon Alpha , Mon addiction

Mon Alpha , Mon addiction

Le froid la mordait jusqu’à l’os. Ses pieds nus s’enfonçaient dans la neige épaisse, déchirée ici et là par des racines mortes. Le vent hurlait à travers les sapins, semblable à un chant ancien, sauvage et indomptable. Bella courait. Sans savoir où elle allait. Sans regarder derrière. Elle n’avait pas le droit de se retourner. Pas maintenant qu'elle avait réussi . Ses poumons brûlaient. Ses bras étaient couverts d’égratignures. Son corps tremblait violemment, aussi bien de douleur que de peur. Une partie d’elle ne croyait pas encore à sa propre fuite. L’autre, plus sauvage, refusait de mourir sans avoir tenté une dernière fois de s’échapper de cet enfer dans lequel elle a vécu ces dernières années Elle avait attendu ce moment depuis si longtemps. Éric n’était pas là. Parti en voyage d’affaires. Un autre mensonge probablement il est tellement doué pour sa . Mais ses gardes du corps, eux, étaient bien là. Fidèles. Cruels. Insensibles à ses supplications , impitoyables . Pourtant, cette nuit-là, elle avait réussi. Maintenant, elle ne savait plus depuis combien d’heures elle courait. Ses souvenirs se brouillaient. Elle avait pris un train clandestinement, traversé des forêts, volé de la nourriture dans des stations-service... Et puis, elle avait suivi les montagnes. Le nord. Toujours plus au nord. Jusqu’à ce que la civilisation disparaisse. Un silence surnaturel régnait ici. Pas de réseau. Pas d’humains. Juste des kilomètres de forêts enneigées, de vallées perdues et de ruines oubliées juste ce dont elle avait besoin elle était sur qu'ici il ne la retrouvera jamais . Bella avait marché jusqu’à ce que ses jambes menacent de lâcher. Et c’est là qu’elle l’avait vue : une vieille maison abandonnée, à moitié effondrée, perdue au milieu d’une clairière glaciale.
Loup-garou
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