Sam et Avery sont deux personnes différentes, ils sont frère et sœur. victime d'une malédiction générationnel, ils sont condamné à se partager la même existence, chaque année ils alternent cette année c'est Sam le garçon qui vit et l'année prochaine Sam disparait et laisse place à Avery. malgré le fait qu'ils soient frères chacun à son caractère et sa personnalité. par le plus incroyable des hasard, Avery rencontre Sergey, un jeune baron du pétrole et de l'immobilier, propriétaire de plusieurs filiales et société dans le monde, il à battit son empire de ses propres mains. les deux vont se lancer dans une relation torride de soumis et dominants, qui va laisser naitre entre eux des sentiments amoureux que ni l'un ni l'autre ne pourra contrôler. cependant Sergey porte sur ses épaules au lourd fardeau, sa femme et sa fille ont été salement assassiner par un inconnu un soir, et il s'était promis de les venger, en détruisant tout ce qui à un trait à voir avec le meurtrier de sa femme. alors comment réagir a-t-il quand il découvrira que celui-ci n'est autre que le frère de celle dont il est fou amoureux, et surtout que l'éliminer lui reviendrait par la même à l'éliminer elle. laisser a-t-il le passer derrière lui pour se consacrer au futur? ou les démons de sont passé seront plus forts que les anges de son présent?
View More4 ans plus tôt
Je regarde encore le parquer sur lequel se trouve une grosse flaque de sang, je ne savais pas que le corps humain pouvait contenir tant de sang, ou peut-être que c'était le fait que ce soit deux corps, sa chevelure blond platine qui autrefois m'avait séduit est aujourd'hui tinté de rouge par son propre sang ou celui de sa fille, je ne saurais le dire. L'enfant est un dommage collatéral et je ne pouvais pas permettre qu'il y ait des témoins et cette petite fouine, c'est une fois de plus trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Je devrais peut-être ressentir quelque chose de voir ce petit être innocent sans vie baignant dans tout ce sang, mais ce n'est pas le cœur d'ailleurs, c'est à se demander si j'ai un cœur, il est difficile d'en avoir un avec une existence panachée comme la mienne. Ça n'excuse pas mes actes, je suis ce que beaucoup qualifieraient d'être ignoble, je suis foncièrement mauvais, je me complais dans ça, je ne suis pas une âme qu'on peut sauver et de toute façon, je n'en ai pas envie. La logique humaine voudrait qu'il y ait du bon en chaque homme, mais sur cette règle, je fais l'exception, il n'y a aucun plaisir à tirer à être quelqu'un de bien, et il n'y a aucune once de bien en moi, je suis mauvais et j'aime ça. Un coup d'œil sur ma montre fut me fit réaliser que je devais partir, j'avais encore beaucoup à faire avant le saint Graal à commencer par quitter le pays. Je regardai encore les deux cadavres et avec un grand plaisir, je réalisai que le sang avait arrêté de couler et je me décidai enfin de quitter les lieux, un grand sourire aux lèvres. Aujourd'hui... POINT DE VUE SAM AVERY Mes yeux s'ouvrirent, et bien évidement j'étais nue comme un verre, je les refermai avec force, j'essayais de deviner dans quoi j'allais me retrouver aujourd'hui, je me donnais à ce jeu depuis bientôt six ans ou douze ans, le tout dépend du point de vue de tout un chacun. Vu l'odeur, c'était sans doute un hôtel miteux, avec une salle de bain tout à fait traceuse, et dégoutante, dans un quartier pas net, je suis presque sûr qu'en sortant, je trouverais des jeunes en train de se shooter dans un coin de la rue et des petits dealeurs dans un autre. Okay allons y, j'attrapai la couverture qui cachait mon corps de mes deux mains et j'ouvris d'abords mon œil gauche, et le mur blanc sales avec des graffitis noirs dessinant des choses qui n'avaient pas vraiment de sens, j'ouvris le second œil et je me levai en sursaut putain Sam ne pouvait-il pas faire d'effort, c'est comme ci chaque fois, il s'arrangeait de me laisser dans un endroit pire que le précédent ça commençait vraiment à me saouler, la pièce ne ressemblait littéralement à rien, le plancher était cassé à certains endroits, la commode était faite d'un vieux bois, donnant l'impression que si je m'appuyais un peu trop dessus ça tomberait sur le côté, je suis sûr que les termites y avaient logé tout un monde. Je regardais la porte qui mène sans doute à la salle de bain et pour ma propre santé mentale, je ferais mieux d'éviter d'ouvrir cette porte. Dans le coin du lit, je vis des vêtements pliés, je me précipitai vers ceux-ci et par chance, c'était un ensemble jogging capuche que je m'empressai d'enfiler, laissant tomber le drap sur le sol. Bien évidement monsieur n'avait même pas laisser un dollar trainer quelque part. Dans un souffle, j'enfilai ma capuche laissant mes cheveux à l'intérieur. Quand je mis mes mains dans ma poche, je trouvai un billet et ça me fit sourire au moins, j'avais quelques choses. Je gardai à tête baissée alors que je longeais le long du couloir qui me mènera je l'espère vers la sortie. L'odeur du tabac, de la sueur, et du vomi polluait l'air. Ce n'était pas éclairé, je ne sais pas si ce lieu avait un jour été lavé, il y avait des déchets de verres en plastiques, des mégots le long du couloir. Je fermais les yeux de dégouts quand la semelle de cette babouche trop grande pour moi que portait mon pied gauche se posait sur une capote déjà utilisée et quelques gouttes de spermes jaillir sur le sol, c'était quoi cet endroit sérieux ? - Hé, mais monsieur, vous n'avez pas réglé la note. Entendis-je alors que je traversais la réception du moins si on pouvait appeler ça ainsi. Je continuai de marcher l'air de rien. Hé ! ou comptes-tu aller ainsi ? cette fois-ci, je fus tiré en arrière de force et en me retournant ma capuche retomba sur mes épaules. Et je vis le visage de celui qui me tenait un costaud barbu un air de vikings sauf que ces tatouages ressemblaient plus à un gribouillage d'enfant qu'à autre chose. - Quoi ? quelle note ? demandais-je les sourcils froncés - Calme-toi petit chiwawa, on t'a pris pour quelqu'un d'autre. Et les mains en l'air en signe de capitulation, il fit quelque pas en arrière, je m'empressai de remettre ma capuche et de quitter les lieux. Je me mis à marcher tout en regardant de gauche à droite, j'avais besoin de trouver une cabine téléphonique, au 21ᵉ siècle ? oui, je sais que c'est le cas, mais je n'ai pas le choix, je ne sais même pas dans quel coin pourris du monde, je suis et la seule personne qui peut me sortir de cette situation c'est Nelsa, il fallait que je l'appelle pour qu'elle m'envoie mes papiers afin que je puisse la rejoindre. Je crus halluciner quant au bout de presque une heure de marche, j'aperçus une cabine, il y avait un groupe de jeunes sur le côté, j'hésitai fortement avant de m'approcher de celle-ci, ils avaient l'air de fumer tout et n'importe quoi bien que j'aurais parié sur le cannabis vu la forte odeur de terre, d'herbe et de putois qui polluait l'air. Je soufflai trois fois, j'avais bien fait la rue donc je pouvais me défendre, essayais-je de me rassurer intérieurement, car de ce que je sais des groupes de personne pintée comme ça sont des problèmes sur pattes qu'il vaut mieux éviter, mais je n'ai pas le choix là. Je m'avançai donc vers la cabine, que les divinités me protègent, car le coin était déserté, je pourrais bien me faire tuer ici que personne ne le remarquerait. - Hé frère, si tu veux passer un coup de fil, je peux te passer mon tel, tu le fais et tu me donnes les pièces. Ce n'est pas une bonne idée les gars ? - Weh, weh tu as raison. Répondirent le petit groupe. Pour éviter les problèmes, je m'avançai vers eux et je tannai la main sans parler, s'il se rendait compte que j'étais une fille, ils pourraient bien profiter de ma position de faiblesse pour me duper ou abuser de moi. Quand mes doigts entrèrent avec l'objet métallique, je fis quelque pas en arrière alors qu'ils reprirent leurs débats, je composai rapidement le numéro de Nelsa et prie toutes les divinités pour qu'elle décroche ? - Very (se prononce vri) ?, chuchota-t-elle à l'autre bout du fil à mon plus grand soulagement - Oui. Chuchotais-je à mon tour - Putain tu es ou ? je pensais que tu revenais hier - Non, c'était aujourd'hui et je ne sais pas où je suis, toi, où es-tu ? - À New York, je cherche un moyen de savoir où je suis et s'il est possible, je te rejoins dès que possible. Mais qu'est-ce que tu fous à new york ? - Longue histoire - Pourquoi tu chuchotes ? - Je suis au travail et toi pourquoi tu chuchotes ? - Je ne sais pas, parce que tu le fais ? d'ailleurs depuis quand tu travail de jour toi ? - Longue histoire, je t'ai dit, bon, fais un effort d'arriver à Brooklyn et quand tu y es appel moi si j'ai fini le travail, je passe te récupérer sinon je t'indiquerai un lieu de rencontre. - D'accords. Chuchotais-je à mon tour - Bon faut que je te laisse. Et Very, elle fit une petite pause et reprise. Je suis contente que tu sois de retour. - Moi aussi. Souris-je et elle raccrocha. J'envoya ma main dans ma poche et sortis le billet qui s'y trouvait et après avoir raclé ma gorge, je m'approchai du petit groupe et je tendis le billet et le téléphone, quelque seconde plus tard, ils me tendirent d'autres billets, j'étais décidément chanceuse ? - La gare, c'est par où ? demandais-je avec ma voix la plus grave. - Continue sur la route, tu traverses le pond, tu tournes à droite et tu traverseras un second pond, continue surtout droit et sur quelques mètres, tu verras les escaliers sur ta gauche tu les suis ils te mèneront à la gare. - Merci. - Quoi c'est tout ? rigola une voix juste à côté. Tu t'es cru chez les bonnes sœurs ? file un billet pour le renseignement. Sans faire d'histoire, je fis ce qui était demandé et je m'en allai sans demander mon reste.- Il va venir avec sa femme, je ne pense pas que ses enfants aient fait le déplacement, donc tu vas surement t’occuper avec sa femme, à faire des choses de femmes. Dit-il en me soulevant du sol pour que je puisse enrouler mes jambes sur sa taille et mes bras dans son cou alors qu’il marchait en direction de notre chambre- Et il à une femme, rigolais-je- Oui, c'était une bonne sœur, mais il l’a Kidnappé - Dans un couvent ?, demandais-je surprise.- Plus ou moins, - Et dire que je pensais que tu étais l’homme le plus timbré de la terre. - Crois-moi qu’il est pire que moi, bien pire. Dit-il calmement alors qu’on entrait dans la chambre- Et pourquoi on l’appel le diable ?- Pourquoi tu poses tant de questions sur lui ? je dois m’inquiéter ? demanda-t-il sur le ton de la blague. Je lui fis une légère tape sur le torse- Tu sais déjà que je suis programmé pour t’aimer toi. - Hm. De toute façon si tu le regardes longtemps, sa femme va te sauter à la gorge, c’est une vraie tigresse. -
Que faisait Sergey avec une photo de lui sur son bureau ? J’entendis des pas derrière moi. La photo m’échappa des mains et se posa doucement sur le tapis de velours, portée par l’air. Je me retournai, le cœur affolé, pour tomber nez à nez avec Sergey. Mais par où était-il entré ? La porte ne s’était pourtant pas ouverte...- Que fais-tu là ? demanda-t-il avec douceur, même si son regard dur et froid restait rivé sur la photo à terre.- Je… je ne me… Je te… Je veux dire… tu n’étais pas dans le lit...- Désolé. J’ai toujours du mal à dormir dans cette maison.- C’est qui, sur la photo ? lançai-je brusquement. Il s’abaissa pour la ramasser. Mon cœur battait si fort que ma vision se brouillait.- C’est l’assassin de ma femme et de ma fille, répondit-il calmement. Pourquoi ? Tu le connais ?- C’est mon frère.- C’est l’assassin de ma femme et de ma fille. Dit-il calmement, pourquoi ? tu le connais ?- C’est mon frère. Aurais-je voulu dire, mais je suis bien trop lâche pour le dire, je vena
Mais il sait se faire pardonner avec ses mains. Son humour décalé. Ses excuses murmurées contre ma nuque et cette façon de me déshabiller comme si c’était la première fois. Toujours cette intensité, toujours cette foutue intensité. C’est ça, notre vie, pas de répit, c’est électrique, excessif, parfois épuisant mais c’est aussi passionné, vibrant, vivant. Il me fait rire quand j’ai envie de pleurer parce que ma sœur me manque, il me fait hurler quand j’ai envie de le mordre il me fait l’amour comme si j’étais la seule chose qui l’empêchait de devenir fou et il me baise comme s’il voulait imprimer son nom sous ma peau, comme si je portais toutes ses failles entre les cuisses. Je suis son assistante, sa complice, sa petite tempête privée. Et même quand il m’agace au plus haut point, même quand je rêve de démissionner juste pour le faire enrager. Je sais que je suis exactement là où je veux être à ses côtés, dans sa vie, dans son lit, dans ses bras. Même si, parfois, j’ai envie de l’étran
- Je n’ai pas l’intention de partir de toute façon, dis-je au bout d’un moment. Où veux-tu que j’aille ?- Loin de moi. C’est ce que toute personne saine d’esprit ferait. Elle me fuirait avec la dernière énergie. Moi, je tuerais pour toi. Je tuerais n’importe qui pour toi. À cet instant, je ne compris pas la gravité de la situation… ou plutôt, la franchise qui suintait de chaque syllabe. Mais je comprendrais… ce fameux jour où je me retrouverais avec du sang sur les mains, au sens littéral du terme.- Je ne suis pas saine d’esprit, répondis-je simplement. Je pensais que tu l’avais compris depuis le temps. Rien de ce qui nous concerne n’est sain. Ni même logique. Mais je m’en fous. Tu me rends heureuse.- Tu me rends heureux aussi. Je ne savais même pas que c’était encore possible après la mort de Lisa. Mais il s’avère que la vie avait prévu autre chose pour moi. Et je te jure, sur ma vie, que ça ne se finira pas comme la dernière fois. Je ne le permettrais pas.Je n’ajoutai rien. Je s
- Je vais te préparer un bain ne bouge pas. Il déposa cette fois-ci ses lèvres contre les miennes. Avant de s’éloigner et de reprendre sa conversation avec son interlocuteur. Je m’emmitouflai un peu plus dans les draps satinés, les sentant caresser ma peau nue, la nuit était magique comme à chaque fois, je ne sais pas combien d’orgasme, j'ai eu ni à quel moment je me suis endormi, mais je sais juste, j'ai des courbatures et je n’ai pas besoins de voir ma peau pour savoir que celle-ci est recouverte de bleue.Au bout d’un moment, il revint dans la chambre, il avait apparemment fini son appel, car son téléphone n’était plus dans ses mains. Il marcha droit vers moi et retira délicatement les couvertures dévoilant mon corps nue. La lueur de désir qui passa dans ses yeux émeraude n’échappa pas à mon regard inquisiteur. Il me porta et une fois de plus, je m’enivrais de son parfum, je pense que ce dernier contenait des aphrodisiaques, car je ne comprends pas pourquoi il suscitait mon désir à
Des petits gémissements s’échappèrent de mes lèvres de façon incontrôlées, alors que mon bassin lui bougeait de lui-même de l’avant vers l’arrière. Je n’entendis aucun bruit, mais je sentis l’air de la chambre changé et je compris qu’il était dans la pièce, j’aurais tué pour pouvoir voir l’expression de son visage à cet instant. Je le sentais plus près de moi, je pouvais sentir sa chaleur, si près de moi, et je me liquéfiais sous l’effet du désir de son toucher, j’avais tellement envie de sentir sa peau sur la mienne que des larmes de frustrations se mirent à couler sur mes joues.- Monsieur… gémis-je en pleurant. Mais il claqua sa langue contre son palais. Signe que je devais me taire, mais je fis tout le contraire, je voulais son toucher. Alors, je redis pour la deuxième fois mmm, monsieur… et là une jolie claque résonna sur ma fesse, me faisant gémir plus fort en poussant mon bassin vers lui. Mais il le claqua de nouveau exactement au même endroit.- Tu es une vilaine fille, tu le
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