Sam et Avery sont deux personnes différentes, ils sont frère et sœur. victime d'une malédiction générationnel, ils sont condamné à se partager la même existence, chaque année ils alternent cette année c'est Sam le garçon qui vit et l'année prochaine Sam disparait et laisse place à Avery. malgré le fait qu'ils soient frères chacun à son caractère et sa personnalité. par le plus incroyable des hasard, Avery rencontre Sergey, un jeune baron du pétrole et de l'immobilier, propriétaire de plusieurs filiales et société dans le monde, il à battit son empire de ses propres mains. les deux vont se lancer dans une relation torride de soumis et dominants, qui va laisser naitre entre eux des sentiments amoureux que ni l'un ni l'autre ne pourra contrôler. cependant Sergey porte sur ses épaules au lourd fardeau, sa femme et sa fille ont été salement assassiner par un inconnu un soir, et il s'était promis de les venger, en détruisant tout ce qui à un trait à voir avec le meurtrier de sa femme. alors comment réagir a-t-il quand il découvrira que celui-ci n'est autre que le frère de celle dont il est fou amoureux, et surtout que l'éliminer lui reviendrait par la même à l'éliminer elle. laisser a-t-il le passer derrière lui pour se consacrer au futur? ou les démons de sont passé seront plus forts que les anges de son présent?
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Je regarde encore le parquer sur lequel se trouve une grosse flaque de sang, je ne savais pas que le corps humain pouvait contenir tant de sang, ou peut-être que c'était le fait que ce soit deux corps, sa chevelure blond platine qui autrefois m'avait séduit est aujourd'hui tinté de rouge par son propre sang ou celui de sa fille, je ne saurais le dire. L'enfant est un dommage collatéral et je ne pouvais pas permettre qu'il y ait des témoins et cette petite fouine, c'est une fois de plus trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Je devrais peut-être ressentir quelque chose de voir ce petit être innocent sans vie baignant dans tout ce sang, mais ce n'est pas le cœur d'ailleurs, c'est à se demander si j'ai un cœur, il est difficile d'en avoir un avec une existence panachée comme la mienne. Ça n'excuse pas mes actes, je suis ce que beaucoup qualifieraient d'être ignoble, je suis foncièrement mauvais, je me complais dans ça, je ne suis pas une âme qu'on peut sauver et de toute façon, je n'en ai pas envie. La logique humaine voudrait qu'il y ait du bon en chaque homme, mais sur cette règle, je fais l'exception, il n'y a aucun plaisir à tirer à être quelqu'un de bien, et il n'y a aucune once de bien en moi, je suis mauvais et j'aime ça. Un coup d'œil sur ma montre fut me fit réaliser que je devais partir, j'avais encore beaucoup à faire avant le saint Graal à commencer par quitter le pays. Je regardai encore les deux cadavres et avec un grand plaisir, je réalisai que le sang avait arrêté de couler et je me décidai enfin de quitter les lieux, un grand sourire aux lèvres. Aujourd'hui... POINT DE VUE SAM AVERY Mes yeux s'ouvrirent, et bien évidement j'étais nue comme un verre, je les refermai avec force, j'essayais de deviner dans quoi j'allais me retrouver aujourd'hui, je me donnais à ce jeu depuis bientôt six ans ou douze ans, le tout dépend du point de vue de tout un chacun. Vu l'odeur, c'était sans doute un hôtel miteux, avec une salle de bain tout à fait traceuse, et dégoutante, dans un quartier pas net, je suis presque sûr qu'en sortant, je trouverais des jeunes en train de se shooter dans un coin de la rue et des petits dealeurs dans un autre. Okay allons y, j'attrapai la couverture qui cachait mon corps de mes deux mains et j'ouvris d'abords mon œil gauche, et le mur blanc sales avec des graffitis noirs dessinant des choses qui n'avaient pas vraiment de sens, j'ouvris le second œil et je me levai en sursaut putain Sam ne pouvait-il pas faire d'effort, c'est comme ci chaque fois, il s'arrangeait de me laisser dans un endroit pire que le précédent ça commençait vraiment à me saouler, la pièce ne ressemblait littéralement à rien, le plancher était cassé à certains endroits, la commode était faite d'un vieux bois, donnant l'impression que si je m'appuyais un peu trop dessus ça tomberait sur le côté, je suis sûr que les termites y avaient logé tout un monde. Je regardais la porte qui mène sans doute à la salle de bain et pour ma propre santé mentale, je ferais mieux d'éviter d'ouvrir cette porte. Dans le coin du lit, je vis des vêtements pliés, je me précipitai vers ceux-ci et par chance, c'était un ensemble jogging capuche que je m'empressai d'enfiler, laissant tomber le drap sur le sol. Bien évidement monsieur n'avait même pas laisser un dollar trainer quelque part. Dans un souffle, j'enfilai ma capuche laissant mes cheveux à l'intérieur. Quand je mis mes mains dans ma poche, je trouvai un billet et ça me fit sourire au moins, j'avais quelques choses. Je gardai à tête baissée alors que je longeais le long du couloir qui me mènera je l'espère vers la sortie. L'odeur du tabac, de la sueur, et du vomi polluait l'air. Ce n'était pas éclairé, je ne sais pas si ce lieu avait un jour été lavé, il y avait des déchets de verres en plastiques, des mégots le long du couloir. Je fermais les yeux de dégouts quand la semelle de cette babouche trop grande pour moi que portait mon pied gauche se posait sur une capote déjà utilisée et quelques gouttes de spermes jaillir sur le sol, c'était quoi cet endroit sérieux ? - Hé, mais monsieur, vous n'avez pas réglé la note. Entendis-je alors que je traversais la réception du moins si on pouvait appeler ça ainsi. Je continuai de marcher l'air de rien. Hé ! ou comptes-tu aller ainsi ? cette fois-ci, je fus tiré en arrière de force et en me retournant ma capuche retomba sur mes épaules. Et je vis le visage de celui qui me tenait un costaud barbu un air de vikings sauf que ces tatouages ressemblaient plus à un gribouillage d'enfant qu'à autre chose. - Quoi ? quelle note ? demandais-je les sourcils froncés - Calme-toi petit chiwawa, on t'a pris pour quelqu'un d'autre. Et les mains en l'air en signe de capitulation, il fit quelque pas en arrière, je m'empressai de remettre ma capuche et de quitter les lieux. Je me mis à marcher tout en regardant de gauche à droite, j'avais besoin de trouver une cabine téléphonique, au 21ᵉ siècle ? oui, je sais que c'est le cas, mais je n'ai pas le choix, je ne sais même pas dans quel coin pourris du monde, je suis et la seule personne qui peut me sortir de cette situation c'est Nelsa, il fallait que je l'appelle pour qu'elle m'envoie mes papiers afin que je puisse la rejoindre. Je crus halluciner quant au bout de presque une heure de marche, j'aperçus une cabine, il y avait un groupe de jeunes sur le côté, j'hésitai fortement avant de m'approcher de celle-ci, ils avaient l'air de fumer tout et n'importe quoi bien que j'aurais parié sur le cannabis vu la forte odeur de terre, d'herbe et de putois qui polluait l'air. Je soufflai trois fois, j'avais bien fait la rue donc je pouvais me défendre, essayais-je de me rassurer intérieurement, car de ce que je sais des groupes de personne pintée comme ça sont des problèmes sur pattes qu'il vaut mieux éviter, mais je n'ai pas le choix là. Je m'avançai donc vers la cabine, que les divinités me protègent, car le coin était déserté, je pourrais bien me faire tuer ici que personne ne le remarquerait. - Hé frère, si tu veux passer un coup de fil, je peux te passer mon tel, tu le fais et tu me donnes les pièces. Ce n'est pas une bonne idée les gars ? - Weh, weh tu as raison. Répondirent le petit groupe. Pour éviter les problèmes, je m'avançai vers eux et je tannai la main sans parler, s'il se rendait compte que j'étais une fille, ils pourraient bien profiter de ma position de faiblesse pour me duper ou abuser de moi. Quand mes doigts entrèrent avec l'objet métallique, je fis quelque pas en arrière alors qu'ils reprirent leurs débats, je composai rapidement le numéro de Nelsa et prie toutes les divinités pour qu'elle décroche ? - Very (se prononce vri) ?, chuchota-t-elle à l'autre bout du fil à mon plus grand soulagement - Oui. Chuchotais-je à mon tour - Putain tu es ou ? je pensais que tu revenais hier - Non, c'était aujourd'hui et je ne sais pas où je suis, toi, où es-tu ? - À New York, je cherche un moyen de savoir où je suis et s'il est possible, je te rejoins dès que possible. Mais qu'est-ce que tu fous à new york ? - Longue histoire - Pourquoi tu chuchotes ? - Je suis au travail et toi pourquoi tu chuchotes ? - Je ne sais pas, parce que tu le fais ? d'ailleurs depuis quand tu travail de jour toi ? - Longue histoire, je t'ai dit, bon, fais un effort d'arriver à Brooklyn et quand tu y es appel moi si j'ai fini le travail, je passe te récupérer sinon je t'indiquerai un lieu de rencontre. - D'accords. Chuchotais-je à mon tour - Bon faut que je te laisse. Et Very, elle fit une petite pause et reprise. Je suis contente que tu sois de retour. - Moi aussi. Souris-je et elle raccrocha. J'envoya ma main dans ma poche et sortis le billet qui s'y trouvait et après avoir raclé ma gorge, je m'approchai du petit groupe et je tendis le billet et le téléphone, quelque seconde plus tard, ils me tendirent d'autres billets, j'étais décidément chanceuse ? - La gare, c'est par où ? demandais-je avec ma voix la plus grave. - Continue sur la route, tu traverses le pond, tu tournes à droite et tu traverseras un second pond, continue surtout droit et sur quelques mètres, tu verras les escaliers sur ta gauche tu les suis ils te mèneront à la gare. - Merci. - Quoi c'est tout ? rigola une voix juste à côté. Tu t'es cru chez les bonnes sœurs ? file un billet pour le renseignement. Sans faire d'histoire, je fis ce qui était demandé et je m'en allai sans demander mon reste.Avec Monsieur les choses aussi se passaient bien, un peu trop bien d’ailleurs et surtout plus que ce que j’avais espéré. Sur le plan sexuel vous vous doutez bien que c’était l’apothéose, on avait exploré tellement d’aspect sur le sexe que je n’en comptais plus, chaque fois qu’il en avait envie, je me rendais disponible et chaque fois que j’en avais envie, il se rendait disponible, peu importe le lieu où le moment. C’était tellement récurant que je ne portais mes sous-vêtements que pendant mes périodes, car avec lui, on ne savait jamais quand est-ce que l’opportunité pouvait se présenter. Je ne sais pas dans quelle pièce de sa maison, on ne l’a pas fait, on a inauguré chaque meuble chaque surface, j’avais même déjà mes effets personnels chez lui de façon que je n’ai pas à me tracasser pour le travail si j’y passe la nuit. Je connaissais tous ses gardes et aussi la majeure partie de son entourage, il avait un cercle très réduit. J’avais appris qu’il était orphelin et fils unique, cepend
- Oh non les filles, ne vous arrêtez pas juste pour moi, continué, c'était très divertissant. - Papa !, c'était censé être une surprise, tu ne dois pas voir ton gâteau avant. Répondit sa fille en tapant du pied sur le sol.- Ne t’inquiète pas, je vois tout sauf le gâteau en ce moment. Et je t’avais dit que je ne voulais rien pour mon anniversaire, tu n’avais à déranger Avery, et… - Nes…la, je veux dire Nesla, je m’appelle Nesla. Enchanté monsieur, je suis Nesla. Répéta-t-elle pour la troisième fois sous mon regard ébahis, que lui arrivait-il tout d’un coup ? l’amie d’Avery, désolé de m’être invité ainsi chez vous, Avery m’a appelé à la rescousse quand votre fille à une panne de gâteau et...- Enchanté Nesla, je suis Stevenson, Lui coupa-t-elle. Et tu n’as pas à t’adresser à moi de façon si formelle, tu es là bien venue à la maison, il se racla la gorge avant de reprendre. Je veux dire, ça ne me dérange pas que tu sois là. Non plutôt ça fait plaisir… bref, je vais prendre ma douche,
- Ah !, c'est long ! tu ne peux pas faire plus vite ? demanda-t-elle d’une vois plus vive. Et surtout, tu peux venir avec ton amie ? ma future maman ? - Il faudrait d’abord que je réussisse à tirer cette larve du lit. Rigolais-je en regardant Nes toujours étalé dans le lit, cette fois-ci, elle était en étoile de mer. Une vraie calamité cette fille, je ne vous le fais pas dire.- Merci Ave, tu es mon sauveur, mon Messi. Je vais essayer de nettoyer la cuisine en attendant votre arrivée. - D’accord, Nes est un cordon bleu et elle adore cuisiner, donc je vais t’envoyer une liste de course que tu pourras commander pour gagner en temps.- D’accords merci, J’attends ton retour. Conclu-t-elle avant de raccrocher.Dans quel pétrin je m’étais fourré encore, je positionnai mes mains sur les hanches en regardant Nes, il était déjà dix heures pourtant elle dormait encore comme s’il était deux heures du matin. Je m’avançai vers le lit et décida d’opter pour la méthode douce. Alors, je pris délica
Viktor n'a plus rien dit du reste de la journée, et sa présence a refermé monsieur, il était redevenu le même qu'au début, on n'avait même pas encore quitté notre cocon que la bulle avait déjà éclaté. La journée avec nous et on a pris le jet ensemble pour rentrer sur NY, je n’ai fait que dormir durant tout le trajet et plus drôle encore, j’ai voyagé avec cette tenue qui me faisait ressembler à rien. À l’atterrissage, il y avait deux voitures, les deux frères sont partis ensemble dans une et l’autre étaient chargés de me ramener à la maison. Juste avant de se séparer monsieur m’a remis mon téléphone, chose que j’avais complètement oublié, j’avais vraiment vécu comme dans une sorte de bulles fermés, en vérifiant mes messages, je vis qu’un message avait été envoyé à Nesla « ton amie ne sera pas en mesure de te répondre dans les prochaines semaines, mais ne t’inquiètes pas, elle va bien » un message auquel elle avait répondu « d’accord monsieur ». J’ai ressenti un Léger pincement au cœur
Sans pouvoir me contrôler, je lui sautai dans les bras, j’étais heureuse, tellement heureuse, je n’avais jamais su que vivre était si bon. Surtout que c’était mil fois mieux qu’exister sinon je n’aurais pas perdu tout ce temps à n’être qu’une figurante de ma propre vie.Après avoir pris ma douche, je me rendis compte que ma valise n’était pas dans la garde-robe, monsieur ne m’avait pas dit de m’habiller, si ? peut-être, il voulait que je reste nu comme je le suis depuis notre arrivée à Londres. Alors sûr de cette idée, je sortis de la chambre marchant vers la terrasse, un moment, j'eus l’impression d’entendre des voix, mais je n’en fus pas sûr, car ce fut bref.- Monsieur, dis-je en me rapprochant de la terrasse, je tirai les volets et aussi tôt mes yeux tombèrent sur Viktor, un hoquet de surprise s’échappa de mes lèvres alors que lui ses yeux s’agrandissaient. Que faisait-il là et pourquoi me regardait-il comme ça ? monsieur qui me tournait le dos se retourna aussitôt et ses yeux s’a
Je suis réveillé depuis quelques minutes et je me demande ce qu’il peut bien être en train de faire, il n’est pas dans la pièce et je ne sais pas si je peux e lever du lit pour le chercher, la seule chose que j’ai le droit de faire sans avoir son accord, c'est respirer. Savez-vous le bonheur que ça procure d’appartenir à quelqu’un ? d’être guidé par lui ? ça nous retire la pression et le poids des responsabilités, beaucoup de gens prendrait ça comme une mauvaise chose, mais pour comprendre ce qu’il en est, il faut l’avoir vécu, et malheureusement des hommes comme Sergey ne sont pas à la portée de tout le monde. J’entendis des pas dans la pièce et je me mis à regarder attentivement l’entrée de la chambre, quand je le vis enfin un grand sourire pris possession de mon visage, il était vêtu d’une culotte en coton et d’un T-shirt. Je lui ai dit dernièrement que j’aimais ses jambes, et qu’il en avait de très belle, alors depuis un certain temps, je le vois plus en short, et j’aime ça. Je ne
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