Albert Speer Architecture

Albert Roosevelt was the crush I was never meant to have. Like an idiot, I believed loving someone meant giving them everything, even if they didn't care about you. So, I trailed after him like a desperate puppy, bending over backward to meet his every whim. When he couldn't afford tuition, I begged Dad to fund him, sending him to the best schools. When his worn-out clothes made him a laughingstock, I pitied him and showered him with designer labels. And what did he do? He used what I gave him to chase after a gold-digging campus belle. To keep up appearances, he blew through money like it grew on trees. He even spread rumors that he was the real heir to the Roosevelts. To him, I was just an ATM. "Your family's loaded. It's not like you'll miss a few hundred grand. If you're gonna be stingy, maybe you should stop following me around," he said when his wallet ran dry. And like a fool, I believed that if I kept paying, someday, he'd love me back. After graduation, I funded his startup. The second it took off, he married the campus belle. He had the nerve to claim he earned everything through nothing but hard work. So, I crashed his wedding, and he buried a knife in my chest. "Only when you're dead, Eve Roosevelt. Only then will my pathetic past stay buried." When I opened my eyes again, I was face-to-face with a scowling Albert. "You can't scrape together a few hundred thousand dollars? It's Bianca's birthday. Are you trying to humiliate me?" I looked around the room and rolled my eyes. "Sure, I'll pay. But first? Kneel. You look pretty enough. Consider it charity, peasant."

Le jour de ma cérémonie avec Vincent Richard, le futur Alpha, la bague en pierre de lune qui m'était destinée, la future Luna, a mystérieusement disparu de l'écrin. À sa place se trouve une languette de canette déjà noircie par l'oxydation. Les applaudissements des invités s'éteignent immédiatement. Ils se tournent tous vers moi. Dans le silence, Joséphine Albert, l'amour d'enfance de Vincent, sort de la foule. Elle lève la main gauche et fait un signe de la main, la bague en pierre de lune sur l'annulaire. Puis, elle sort une bague assortie et la glisse au doigt de Vincent. « Tu dois être terrifiée, Angela, n'est-ce pas ? En fait, c'est moi qui porte la bague en ce moment. Cette languette de canette n'est pas un objet ordinaire, tu sais. Vincent me l'avait donnée quand nous étions encore des enfants. Elle symbolise l'amour éternel qui ne s'éteindra jamais. Maintenant, je te la donne. » Les paroles de Joséphine me transpercent le cœur. Je tremble violemment, comme si mon cœur était coupé en mille morceaux. Cependant, Vincent se contente de rire. « Joséphine a toujours des idées ridicules. Elle plaisante, Angela. Ne prends pas ses paroles au sérieux. » « Oh, je ne le ferai pas. » Je jette la languette de la canette dans le feu de joie, laissant échapper un petit rire sec. « Cette cérémonie est annulée. » Vincent m'attrape la main avant de me serrer dans ses bras. « Arrête de chercher à semer la zizanie, Angela ! Nous avons trouvé l'anneau, n'est-ce pas ? Cette alliance affectera l'avenir de nos meutes ! Ce n'est pas toi qui prends les décisions ici ! » Je me dégage de l'étreinte de Vincent, captant une trace d'odeur écœurante qui flotte autour de lui, une odeur qui n'est pas la mienne. « Il est vrai que la meute du Lac de la Lune va former une alliance avec la meute du Pierre Brun, mais mon futur compagnon n'est pas nécessairement toi. »