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chapitre 2

last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-21 22:08:19

J'ai l'impression que Darwin et moi avions vécu en concubinage, et non comme un couple marié, bien que nous le fussions.

Je suis victime du mal d'amour. Avoir aimé sans être aimée en retour me plonge dans un abîme de chagrin, un vide immense qui me dévore lentement.

La vie semble soudainement, désespérément, ne plus avoir de sens pour moi, un long couloir obscur sans issue.

__Madame Smith, vous êtes de retour ? demanda Isabelle, la servante, sa voix teintée d'une inquiétude palpable.

J'étais à un pas de la porte lorsqu’elle s'approcha, et je me tournai vers elle, le cœur lourd de pressentiments.

__À temps pour le dîner. dis-je, affichant un sourire qui n’atteignait même pas mes yeux. Comment vas-tu ?

__Bien ! C'est juste que...__ Elle hésita, ses yeux ancrés sur la porte, comme si elle craignait ce qui pouvait se cacher derrière.

__Que quoi ?__ demandai-je, tentant de conserver un ton docile, mais déjà, je sentais la tension comme une corde qui se tend.

__C'est juste que..., Isabelle semblait en proie à un tourment profond. Éreintée par l’incertitude, j'empoignai la poignée de la porte, prête à la tourner, lorsque sa main moite se posa délicatement sur la mienne, comme une dernière tentative de me retenir.

N'y entrez pas. dit-elle, levant un regard implorant vers moi, ses yeux pleins de larmes non versées.

Mais que lui arrive-t-il ? Pourquoi se comporte-t-elle ainsi ?

__Je ne suis pas d'humeur plaisantine. répondis-je, retirant sa main sur la mienne avec une tristesse résignée, comme si chaque geste était un adieu.

__Madame, n'y entrez pas, je vous en prie, c'est pour votre bien.

Sa voix tremblait d'une inquiétude sincère, comme si elle pressentait la tempête qui allait s'abattre sur moi. Que sous-entend-elle par "C'est pour votre bien" ?

__Que..., Isabelle me coupa, sa voix s'étranglant.

__N'y entrez pas, je vous en prie, vous ne ferez qu'accentuer votre douleur.

Elle allait jusqu'à me retenir par l'habit, son geste empreint d'une inquiétude maternelle, comme une mère qui sait qu'un danger guette son enfant.

__Isabelle, mais voyons ! dis-je, en la faisant lâcher mon habit, la colère et la confusion se mêlant dans ma voix. Non mais allô !

__Madame..., Elle me fixa, sa voix douce, emplie de tristesse, d'empathie, et d'une compassion qui me touchait profondément.

Même les employés me prenaient en pitié, et ce constat me brisait un peu plus. L'attitude étrange et hésitante d'Isabelle me laissa perplexe, un froid s'installant dans mon ventre.

N'y entrez pas. répéta-t-elle, comme un chant désespéré que je ne pouvais ignorer.

__D'accord ! dis-je finalement, la voix tremblante, un mélange de frustration et de peur. Bon, il va falloir que tu me dises ce...,

Elle me coupa à nouveau, ses mots s'enroulant autour de moi comme une liane.

__Monsieur et votre sœur y sont en ce moment.

__Comment ?

Je n'en revenais pas, le cœur s’emballant dans ma poitrine.

__Je suis vraiment désolée, madame. dit-elle, sa voix chargée de tristesse.

Darwin n'a pas le droit de me faire ça. Je ne mérite pas ça. Après toutes ces années passées ensemble, même s'il ne m'aime pas, je mérite au moins le minimum de respect. Nous ne sommes pas encore divorcés. Comment peut-il me faire essuyer un tel affront ?

C'est avec le cœur lourd que j'entrai dans la maison, chaque pas résonnant comme un écho de ma douleur. Dans le salon, je surpris ma sœur assise sur les cuisses de Darwin. Ils s'embrassaient, leurs rires résonnant comme une trahison insupportable.

Mes yeux s’écarquillèrent, ma bouche se ferma comme piégée dans une réalité insoutenable. Je restai là, pétrifiée, avant de me laisser tomber au sol, le monde s'effondrant autour de moi. Je m'étais évanouie, le noir m'engloutissant.

Quand je revins à moi, j'étais étendue sur le lit, la tête lourde de désespoir. Darwin était là, seul près de moi, son regard détaché me transperçant comme une flèche.

__Tu ne m'épargneras donc aucune peine.__ dis-je en sanglotant, chaque mot un cri du cœur.

C'était la deuxième fois que je pleurais devant lui depuis notre mariage, et l'absence de compassion dans ses yeux me blessa plus que toute autre chose.

Darwin n'essaya même pas de se justifier. Il se leva et sortit de la chambre, me laissant seule avec ma douleur, comme une ombre dans la nuit.

"Darwin Smith"

Elle en fait tout un plat pour rien. Cassandra et moi ne faisions rien de mal. Pour un vulgaire baiser, madame sort le grand jeu en simulant un évanouissement.

__Bébé, comment Va-t-elle ? demanda Cassandra, la voix douce mais teintée d'inquiétude.

__Ta sœur est une grande fille. dis-je, le ton ferme, comme un roc face à la tempête. Si elle n'est pas en mesure de prendre soin d'elle, personne ne viendra le faire à sa place.

__Bébés ! a-t-elle dit, sa main se posant doucement sur mes épaules, une tentative d'apaiser le tumulte en moi. Faudrait te mettre un peu à sa place, elle...,

__Il va falloir que tu me dises aussi ce que tu attends de moi. dis-je, l'agacement me poussant à l'interrompre, la confusion s'emparant de moi.

Tantôt elle me demande de ne pas la ménager pour la pousser au divorce, tantôt c'est le contraire, un jeu cruel de mots qui me laissait égaré.

__Ne te fâche pas, bébé. a-t-elle dit, se plaçant en face de moi, son regard suppliant. Olivia est ma sœur, et je me fais énormément de souci pour elle.

__Tu es trop bonne envers elle. Espérons qu'elle ne soit pas trop égoïste pour s'en apercevoir.

Je la fis s'asseoir sur mes cuisses, et nous reprîmes où nous en étions, mais l'atmosphère était devenue pesante, un nuage sombre planant au-dessus de nous.

__Honte à vous, ou devrais-je dire honte à toi. dit-elle d'une voix perçante, comme une lame qui fend l'air.

Nous cessâmes de nous embrasser sur-le-champ, le cœur battant à tout rompre. Cassandra se hâta de se mettre debout, et je l'imitai, la culpabilité m'assaillant.

__Darwin, non mais allô ! s'exclama-t-elle, les yeux écarquillés d'horreur.

Cette voix prête à crier au scandale était celle de ma mère, une tempête d'émotions.

__Maman !?

Je ne m'attendais pas du tout à sa visite, son regard chargé de désapprobation me transperçant comme une flèche.

Maman s'avança jusqu'à moi et gratifia ma joue gauche d'une gifle, le bruit résonnant comme un coup de tonnerre dans la pièce.

__Et quant à toi. s'adressa-t-elle à Cassandra sur un ton ferme. Dégage d'ici. gronda-t-elle, la colère brûlant dans ses yeux.

Maman la dévisagea sévèrement, tandis que Cassandra tentait de se justifier, la voix tremblante.

__Mais ma...,

Elle fut coupée par une gifle, comme si les mots de sa défense n'avaient pas droit de cité. Cassandra se sentit offusquée, le visage blême.

__Mais...,

Cassandra voulut à nouveau parler, mais je lui fis signe de se calmer, le poids de la situation pesant lourdement sur moi.

__Prends tes cliques et tes claques, Cassandra, et quitte cette maison. ordonna-t-elle, la voix tremblante de colère.

Maman était en colère, et Cassandra me regarda, les yeux presque empli de larmes, avant de s’en aller, laissant derrière elle un silence lourd de sens.

Maman la regardait d'un mauvais œil, son mécontentement palpable.

__Maman, tu...,

Elle me coupa la parole en levant la main, son regard glacial me transperçant. Maman passa devant moi sans se retourner, sa déception brûlante comme une flamme.

Merde ! Je ne voulais pas qu'elle l'apprenne de cette manière. Et d'ailleurs, n'était-elle pas censée être au Québec ?

__Qu'est-ce que c'est ? entendis-je venant d'une des chambres, sans doute la mienne.

__Je m'en vais, maman. répondit Olivia, sa voix jeune mais remplie de résignation.

Olivia et ma mère étaient en train de parler, leurs voix s'entremêlant dans un tourbillon d'émotions.

__Comment ! s'exclama maman, la surprise teintée d'inquiétude.

__Ce fut un réel plaisir pour moi d'avoir été votre belle-fille, vous m'avez aimé plus que quiconque au monde. dit Olivia d'une voix mourante, son cœur ouvert. Je vous en serai éternellement reconnaissante. Vous m'avez donné l'amour et l'affection d'une mère.

__Olivia, dis-moi au moins ce qui se passe, j'ai trouvé Darwin et ta sœur dans le salon. Ils étaient tous les deux en train... Elle est partie. soupira-t-elle, l'exaspération teintant sa voix.

Maman mit en exergue "embrasser", en le remplaçant par "partie", comme si elle voulait préserver la fragile illusion de l'innocence.

__Vous les avez donc aussi aperçus ? demanda Olivia, son ton désinvolte trahissant une indifférence troublante.

__Tu veux donc me dire que tu savais qu'elle était là ? demanda maman, son regard scrutateur.

__Pardonnez-moi, maman, il se fait tard, permettez-moi de prendre congé de vous. dit Olivia, décidée, avant de faire son apparition dans le salon, chargée de ses affaires avec une dignité troublante.

Ma mère vint nous rejoindre peu de temps après, les traits tirés par l'angoisse.

__Olivia, ma fille, peu importe... commença maman, mais Olivia la coupa.

__Ne soyez pas triste, maman. s'approcha-t-elle, la douceur dans sa voix mêlée à un chagrin palpable.

Olivia sortit une pochette qu'elle avait brodée elle-même et se mit à essuyer ses larmes, les gestes empreints de tendresse.

__Ça va aller, maman. dit-elle en la prenant dans ses bras, le cœur lourd de chagrin, tentant de consoler cette mère blessée.

Maman était morte de chagrin, son monde s'écroulant autour d'elle.

__Fils ! cria-t-elle, la voix brisée par l'émotion. Dis-moi donc ce que tu as fait à ta femme ? Pourquoi se voit-elle dans l'obligation de te quitter ? demanda-t-elle, la souffrance dans chaque mot, comme une poignante accusation.

Je ne répondis pas, la scène était tellement dramatique, si lourde de conséquences.

Maman quitta le salon, se réfugiant dans sa chambre, laissant derrière elle un vide immense. Il ne restait plus qu'Olivia et moi, un silence pesant entre nous.

__Vous êtes à présent libre. dit-elle en me vouvoyant, un sourire amer sur les lèvres, comme une ironie du sort.

Elle passa devant moi, se dirigeant vers la sortie, puis s'arrêta, se retournant vers moi avec un sourire rayonnant, mais je ne pouvais voir que l'ombre de ce que j'avais perdu.

__Je te souhaite, Darwin, d'être heureux avec une femme que tu aimes vraiment : Cassandra ou une autre... Qu'importe. dit-elle en haussant les épaules, une tristesse infinie dans ses yeux.

Olivia s'en alla sans se retourner, et je ne la courus pas après, le poids de mes actions pesant sur mes épaules, laissant un goût amer dans ma bouche.

Voici la révision de ton texte, Marcele, avec des émotions renforcées et les tirets cadratin bien en place. J'espère que cela te conviendra !

"Cassandra Smith"

Je n'arrive pas à croire que cette vieille femme a osé lever la main sur moi. Mais pour qui se prend-elle ? C'était une chance pour elle que Darwin fût là à ce moment. La prochaine fois, je ne donnerai pas cher de sa vie.

__Donc, si je comprends bien, cette vieille femme a osé te gifler ?

Maman n'en revenait pas, son visage se décomposant sous le choc.

__Oui, maman, elle m'a giflée et ça me fait énormément mal. dis-je en lui montrant ma joue contusionnée, feignant une douleur profonde.

__Hum ! fit-elle, l'indignation flambant dans ses yeux. Cette femme n'a pas froid aux yeux. ajouta-t-elle, le ton de sa voix devenant plus tranchant. __Elle a osé lever la main sur ma fille, d'accord.

Maman prit cet air rageux que j'aimais tant, une flamme de protection illuminant son regard.

__Et ce n'est pas tout. dis-je, apercevant papa sur le point de sortir, l’esprit déjà ailleurs.

__Quoi d'autre ? demanda-t-elle, impatiente.

__C'est Olivia. dis-je d'une voix blanche, chaque syllabe se chargeant de tension.

À la mention du nom de ma sœur aînée, papa se tourna vers nous, intrigué.

__Olivia ? répéta-t-il en fronçant le sourcil, une inquiétude sourde commençant à s’installer.

__Oui, maman. répondis-je, prenant un air dépité. Si je vous dis ce qu'elle m'a fait, vous n'allez jamais me croire.

Je secouai la tête, feignant l’incrédulité. Comme captivé par mes propos, papa abandonna tout projet de sortie et vint nous rejoindre, s’asseyant sur le canapé, prêt à écouter.

__Que t'a-t-elle fait cette fois-ci ? demanda-t-il, son ton sérieux, mais une lueur d'inquiétude perçait dans son regard.

__Papa, je ne peux pas te le dire. dis-je, feignant la peur, la voix tremblante. Grande sœur Olivia n'est plus du tout la même, je ne la reconnais plus, elle a beaucoup changé. J'ajoutai quelques larmes de crocodile, espérant toucher leur corde sensible.

__Où veux-tu en venir ? demanda maman, son regard intrusif.

__Darwin m'a invitée à manger à la maison. dis-je, l'air sombre, comme si le poids du monde pesait sur mes épaules.

__Que s'est-il passé ? demanda-t-il, l'inquiétude grandissant dans sa voix.

__Bien avant l'arrivée de sa mère, Darwin reçut un appel urgent du bureau, donc il dut s'absenter pendant une demi-heure, me laissant seule avec grande sœur Olivia, qui passa tout son temps à m'insulter. Quand je lui ai demandé d'arrêter, elle m'a sèchement passée à tabac.

Je fis une pause, accentuant mes larmes de crocodile, espérant que la scène toucherait leur cœur.

__Comment ? firent mes parents, abasourdis, leurs visages figés.

Mes parents n'en croyaient pas leurs oreilles.

__Elle t'a passée à tabac ? demanda maman, les yeux révulsés, comme si la réalité la frappait de plein fouet.

Papa, en revanche, resta perplexe, ses traits marqués par l'incertitude.

__Que s'est-il réellement passé ? demanda-t-il, le regard scrutateur.

__Comment ? dis-je, feignant l'innocence, fronçant les sourcils pour accentuer ma confusion.

__Chéri, quelle est donc cette question ? s'exclama maman, la voix pleine d'émotion. Ne vois-tu pas que...,

Papa la coupa, sa main levée comme pour instaurer un calme.

__Calme-toi, Félicité, je cherche juste le pourquoi du comment. affirma-t-il, l'esprit toujours en alerte. Sandra, pourquoi ta sœur t'a-t-elle battue ?

__À cause de Darwin. dis-je en pleurant, mes larmes coulant comme des rivières de douleur.

__Darwin ! s'étonnèrent mes parents, un mélange d'inquiétude et de curiosité dans leurs voix.

__Elle me reproche d'être la raison pour laquelle Darwin veut la quitter, raison pour laquelle elle m'a battue.

Je laissai échapper un sanglot, comme pour rendre mes mots plus poignants.

__Comment ? Darwin veut la quitter ? demanda papa, l'étonnement se lisant sur son visage.

__Oui, papa, Darwin a l'intention de m'épouser. dis-je, un sourire forcé se dessinant sur mes lèvres, comme si je venais de dévoiler un secret inestimable.

D'un revers de main, j'essuyai mes larmes, feignant la joie.

__Mais c'est formidable ! s'exclama maman, le visage rayonnant de bonheur, mais que dire de papa ?

__Papa, on dirait que la nouvelle ne vous enchante pas.__ dis-je d'une voix mourante, le cœur battant, cherchant à percer son mur d'indifférence.

Papa ne me répondit pas, les pensées visiblement ailleurs. Il se leva et sortit, un nu de mystère l’entourant.

Je le courus après, le désespoir au ventre.

__Papa, mais où allez-vous ? demandai-je, désespérée.

__Olivia ? murmura-t-il, la voix pleine d'appréhension.

__Bonsoir, papa ! s'exclama Olivia, entrant avec sa valise serrée dans ses bras, comme si elle portait le poids du monde.

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